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Comportement organisationnel: l'individu

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Par   •  30 Novembre 2021  •  Dissertation  •  2 279 Mots (10 Pages)  •  307 Vues

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COMPORTEMENT ORGANISATIONNEL : L’INDIVIDU 
 

TABLE DES MATIERES

MATÉRIALISME ET RÉVOLUTION        3

CAUSES ET MANIFESTATIONS DE LA CRISE        4

LIBERTÉ ET FORMATION        6

DEUX OUTILS ÉTHIQUES        7

PENSER LA JUSTICE DANS LES ORGANISATIONS        9

FEMMES RACISÉES        10


MATÉRIALISME ET RÉVOLUTION

La thèse de l’extrait de l’œuvre Situations III, dans le chapitre Matérialisme et Révolution de Sartre est la liberté. Il explique comment la personne libre, ou non-libre, l’est seulement par sa subjectivité, c’est-à-dire, sa propre vision subjective de ce que signifie être une personne libre.

Selon son argument :

« Il n’est pas vrai qu’un homme libre ne puisse souhaiter être libéré. Car ce n’est pas sous le même rapport qu’il est libre et enchaîné. Sa liberté est comme l’éclairage de la situation où il est jeté. Mais les libertés des autres peuvent rendre sa situation intenable, l’acculer à la révolte ou la mort. »[1]

Selon mon analyse, Sartre pense que la liberté de l’humain dépend grandement de sa perspective des choses même si le monde où il vit est déterminé, c’est-à-dire, régit par des lois universelles. Il dit aussi que la vision personnelle de la liberté peut limiter la liberté d’une autre personne, comme la relation que partage un esclave avec son maitre.

En conclusion, Sartre pense définitivement que si une personne est libre ou ne l’est pas, cela dépend uniquement de sa vision objective de la liberté. Même si aucun consensus réel ne peut avoir lieu à ce sujet, car la pensée philosophique est souvent une méthode de pensée qui dépend de la subjectivité du penseur, plusieurs personnes sont d’accord avec ses idées. Mon analyse de ce texte est très fortement limité à cause de la difficulté éprouvée à lire des textes de Socrate qui ne sont pas des plus simples à comprendre. Serait-il plus simple de lire des recherches sur la liberté écrient par des auteurs s’exprimant plus simplement que Sartre ?


 CAUSES ET MANIFESTATIONS DE LA CRISE

La thèse de l’article amené par les auteurs est l’ennui de l’existence éprouvé par l’homme moderne. À cause de toutes nos technologies, de nos connaissances et de toutes l’informations accessibles depuis notre maison grâce à un tout petit écran électronique nous donnant accès au savoir de toutes choses existants. L’homme moderne semble avoir oublié ce qu’est l’émerveillement et la surprise du monde qui l’entoure. Il a perdu cette innocence d’enfant à force de tenir la réalité de ce monde pour acquis.

Comme le texte le précise :

« Ce serait nous mentir à nous-mêmes que de le nier ; nous vivons la quasi-totalité de nos vies dans le déjà-vu et le déjà-connu. Si la nouveauté existe encore pour nous, elle ne provient pas du monde lui-même ; elle provient de l’humain […] C’est parce que le monde ne nous semble plus neuf en soi que nous sommes obsédés par le besoin de lui infuser de continuelles et triviales nouveautés. »[2]

Par cet ennui, les auteurs expliquent comment l’homme moderne peut, à notre époque, avoir le luxe de souffrir d’angoisse existentielle en plus de l’angoisse de survie. L’angoisse de survie c’est ce qui : « préoccupe l’humain moderne à chaque instant : rester jeune, gagner de l’argent, accumuler des biens, se doter de toutes les « assurances » possibles et imaginables »[3]. Mais, l’angoisse existentielle est différente : « elle porte sur l’ensemble de ce qui existe, sur l’univers tout entier sur l’« être » en soi, sur cet ordre de la réalité qui transcende le sujet individuel »[4] . Selon mon analyse, souffrir d’angoisse existentielle, est plus un privilège de bien nantis qui n’est pas permis à tout le monde. La personne qui vit dans une immense pauvreté, dans un pays en guerre ou dans un pays tyrannique n’a guère le temps de se demander qui suis-je, que fais-je sur terre, quel est ma raison d’être ou le but de mon existence. Seule la personne qui vit dans des conditions privilégiées et qui n’a pas besoin de se préoccuper de comment il survivra à demain peut se permettre d’avoir le temps de se poser des questions existentialistes.

En conclusion, les auteurs tentent de nous faire comprendre pourquoi l’homme moderne ressent un tel vide en lui et nous expliques la raison de cet ennui. L’ennui car tout savoir est déjà acquis, car le côté mystérieux du monde dans lequel on vit perd de plus en plus sa discrétion. L’homme moderne à moins de raisons de se battre et moins de raisons de travailler dur grâce à toutes les technologies enlevant la responsabilité de l’homme de faire tout par lui-même. Je n’ai pas pensé que mon analyse était limitée dans ce texte, je comprends profondément les propos amenés par ce texte car je partage moi-même leurs opinions sur le sentiment éprouvé par l’homme moderne. Mais avons-nous raisons de penser que l’homme moderne est plus ennuyé et plus malheureux à notre époque alors qu’il peut profiter de tous les biens faits de vivre dans une époque où la vie nous est grandement facilité par la technologie ?


LIBERTÉ ET FORMATION

La thèse de cet article, qui est surtout axé sur le milieu académique, est qu’une personne qui choisit librement ce qu’il fait aura de meilleurs résultats et performe beaucoup mieux qu’une personne qui se sent contraint à suivre des ordres dictés par les autres. Les auteurs soulignent l’importance d’être motivé et de croire en sa réussite afin de bien performer. Pour bien réussir, il faut accepter de s’engager et selon la définition des auteurs : « l’engagement correspond, dans une situation donnée, aux conditions dans lesquelles la réalisation d’un acte ne peut être imputable qu’à celui qui l’a réalisé »[5].

Selon mon analyse, pour que les personnes puissent s’engager, il faut leur donner la sensation qu’ils sont libres de choisir. Les recherches présentées dans le texte affirment que la simple phrase évoquant la liberté d’une personne à agir, par exemple, les phrases ‘’vous avez le choix de’’ ou ‘’rien ne vous oblige à’’ peuvent suffire à l’individu, d’accepter de porter la responsabilité de faire ou de ne pas faire quelque chose. Ce principe de l’engagement se manifeste aussi dans le contexte scolaire. Selon l’explication des auteurs :

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