Étude du film fahrenheit 451 de Ramin Bahrani

PARTIE I : le foyer et la salamandre

Guy Montag pompier porte sur son casque le numéro 451. Son métier brûler des livres. .(lire des livres est contre la loi).

Un soir en rentrant chez lui il rencontre une jeune fille Clarisse Mc Clellan 17 ans et se dit folle. Montag à 30 ans et 10 ans chez les pompiers. Clarisse reconnaît qu'il est pompier car il sent le pétrole. GM est surpris de voir la maison de Clarisse toute éclairée. Sa maison est éclairée car son oncle et ses parents bavardent. Clarisse pense trop, elle dit que les gens roule trop vite dans leur coccinelle et n'ont pas le temps de voir les choses, même les panneaux publicitaires ont été agrandis, elle observe la rosée sur l'herbe. Elle demande à GM s'il est heureux. Il réalise qu'il ne l'est pas.

GM rentre chez lui, pour ouvrir la porte, il a un gant identificateur. Il trouve alors sa femme Mildred inconsciente, elle a avalé un tube de somnifère. Il appelle les urgences, arrivent deux hommes impersonnels. Ils vident l'estomac de Mildred regarde avec un Œil, et lui changent tout son sang avec du neuf.

Mildred se réveille plus tard, elle de se souvient de rien, elle a très faim et demande à Montag un 4ème écran à la place de la cloison, mais Montag trouve trop cher (2000 $) car le 3ème n'est toujours pas fini d'être payé (1/3 de son salaire annuel). Mildred porte souvent des écouteurs des Coquillages.

En partant travailler il rencontre Clarisse. Elle est sous la pluie et boit les gouttes d'eau. Elle doit aller chez son psy car il ne comprend pas pourquoi et à quoi elle réfléchi. Elle trouve curieux qu'il fasse pompier, car quand elle lui parle il écoute, il regarde la lune aussi. Ces paroles ont pétrifié GM.

A la caserne il y a un limier une sorte de chien robotisé, programmé pour attraper et tuer en plantant une aiguille qui sort de son museau. Ce limier n'aime pas GM et lui montre son aiguille. GM s'en plaint à son capitaine Beatty (insigne au Phoenix). GM se demande si quelqu'un sait ce qu'il y a chez lui derrière une grille de la climatisation, et aurait alors programmé le limier contre lui.

Il rencontre à nouveau Clarisse. Elle ne va pas à l'école car elle est dite insociable. Mais elle n'aime pas les gens de son age car ils s'entre-tuent. Son oncle lui a raconté qu'autrefois les gens étaient responsables, il y avait même des musées où on pouvait voir des tableaux avec des gens dessus.

Avec un pissenlit sous le menton, elle dit à GM qu'il n'était pas amoureux.

A la caserne, GM interroge Beatty pour savoir si avant les pompiers brûlaient les livres. Ils avaient une liste d'un million de livres interdits. Des pompiers Stoneman et Black, sortirent leur manuel et lire que le premier pompier était Benjamin Franklin en 1790.

Un soir, les pompiers allèrent à une vielle maison, quelqu'un avait dénoncé une vieille femme, sans doute sa voisine d'après elle. Il y avait plein de livres, Inconsciemment GM en glissa un dans son manteau. La vieille femme refusa de sortir et alluma elle-même le feu de sa maison et brûla aussi.

Les feux étaient toujours allumés la nuit, plus de spectacle.

En rentrant à la caserne GM demande à Beatty ce qu'a dit la vieille femme. Beatty répète donc les paroles de la femme en précisant que ce sont des propos dits en 1555 à Oxford par deux hommes qui allaient être brûlés vif.

GM rentra chez lui, demanda à Mildred comment et quand s'étaient-ils rencontrés, ils ne savaient plus, cela faisait 10 ans. Mildred parlait mais pour ne rien dire. GM lui demanda si elle savait quelque chose au sujet de Clarisse qu'il ne voyait plus. Elle dit qu'ils avaient déménagé et qu'elle était morte, sans doute.

Le lendemain matin GM est malade et demande à Mildred de téléphoner à Beatty, mais celle-ci ne veut pas. Il avait caché son livre sous son oreiller. GM se demande s'il ne devrait pas arrêter son travail quelques temps, Mildred ne veut pas car il n'y aurait plus d'argent.

GM reproche à Mildred de ne pas se tourmenter.

Elle lui dit que le capitaine Beatty était devant la porte. La sonnette est en fait une voix qui demande "Madame Montag; il y a quelqu'un ?".

Beatty avait senti que GM serait absent. Il lui expliqua pourquoi aujourd'hui les pompiers brûlaient les livres. C'est pour que les gens soit heureux qu'ils ne se posent pas de questions, qu'ils ne soient pas inquiet par ce qui pourrait être écrit dans les livres. Les gens doivent faire du sport, se dépenser. GM demande à Beatty s'il sait où est passé Clarisse. Beatty dit que sa famille était sous surveillance déjà à Chicago, mais qu'aucun livre n'avait était trouvé, et dit qu'il fallait mieux qu'elle soit morte. Mildred refaisait le lit, et sentit sous l'oreiller quelque chose mais GM réussit à l'empêcher de parler. Beatty finit par dire que tout pompier avait eu envie de lire un livre, que ce n'était pas grave, il fallait le brûler 24 heures après sinon c'était les pompiers qui le faisait. Il rappela que les pompiers oeuvraient pour le bonheur de tous, puis partit.

GM tournait en rond dans sa maison, énervé, disant à Mildred qu'il faudrait mieux brûler les pompiers, puis lui avoua un secret : derrière la grille de la climatisation il attrapa une vingtaine de livres. Mildred était pétrifiée. GM lui proposa d'en lire un, s'il ne leur apprenait rien, alors ils le brûleraient, il lui demanda de patienter en preuve d'amour.

Partie II - Le tamis et le sable

GM lu des passages de livre à Mildred, mais cela ne l'intéressait pas. Elle préférait sa "famille" virtuelle. Un chien vint reniflé à la porte d'entrée. GM continua la lecture. Mildred répondit au téléphone c'était une de ses amie. Montag se souvint alors d'une rencontra qu'il avait eu il y a un an dans un parc, un ancien professeur d'anglais retraité, Monsieur Faber. Faber lui avait récité des poèmes et lui avait donné son adresse.

Il entendit des bombardiers tournaient au dessus des maisons et se demanda pourquoi. Il dit qu'ils avait déclenché et gagné deux guerres nucléaires depuis 1960.

Il dit à Mildred qu'il allait rendre un livre à Beatty, la bible, mais avant il devait la photocopiée. Il pris le train à air comprimé, le livre à la main. Il entendait une publicité de dentifrice "Denham",

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