Le pouvoir de la tendresse dans le film Paris de Cédric Klapisch

Le pouvoir de la tendresse

Après avoir vu le film « Paris » de Cédric Klapisch qui nous décrit plusieurs histoires de personnages, il m’arrive un sentiment subtil au fond du cœur, comme je possède la capacité d’observer le monde au départ des choses quotidiennes et de trouver la valeur de la vie. Parmi les personnages principaux présentés dans le film, j’apprécie particulièrement les manières de vie d’Élise. Si vous me demandez de résumer mon expression sur elle par quelques mots, je vous dirai sans aucun doute « la tendresse et la force ».

Élise, célibataire, qui se manifeste dans le film comme le soleil en hiver, est la mère de trois enfants et travaille comme une assistante sociale. Je voudrais la décrire comme la mer qui contient tout et qui console tout. Son image base tout d’abord sur son rôle de mère. Devant ses enfants, Élise est toujours patiente et tendre, son regard affectueux ne les s’éloigne jamais. Quand le marchand de fruit plaisante sa fille Simone sur sa relation amoureuse avec un garçon en disant « c’est bien et c’est joli d’être amoureux », elle porte un sourire fier et épanoui au lieu de reprocher sa fille. Quand son frère, Pierre, amène son fils au balcon à Noël parce qu’il doute de l’existence du Père Noël à cause des paroles de son camarade, elle ne les empêche pas même s’il est super froid dehors. Elle transmet son attitude de vie à ses enfants par un consentement tacite afin de les apprendre l’importance de l’amour et du bonheur. Certainement, Élise a un cœur d’or. Elle déménage avec ces enfants chez Pierre pour s’occuper de lui parce qu’il a un problème cardiopathique et qu’il risque de mourir si une greffe ne parvient pas à le sauver. D’ailleurs, elle ne cache jamais ses sentiments. Quand elle est au courant de la maladie de Pierre, elle est si anxieuse et angoissée qu’elle blâme son frère et après pleure d’inquiétude. Afin de prendre soin de Pierre, elle demande du « temps pour soi » à ses collègues sans expliquer la raison en négligeant l’opportunité d’être élue la déléguée. Elle se travestit comme une enquêteuse, et tâte à se renseigner l’information d’une jolie fille appréciée de son frère. Après avoir échoué, Élise présente sa collègue célibataire à son frère, et même organise une fête pour faire plaisir à Pierre. Elle est vraiment charmante et jolie, mais elle ne poursuive point de sa propre possibilité du bonheur au début. En fait, elle est encore en forme, il faut en profiter. Et à la fin de film, elle trouve son amour avec le marchand de fruit.

Élise est une femme ordinaire, elle n’a pas fait de grandes choses, mais elle a le pouvoir de réchauffer notre cœur. Je trouve de petits bonheurs dans son sourire, qui nous apporte l’espoir de la vie. Dans la plupart des cas, on ne s’accommode pas de ce que l’on possède, on est déçu et on se plaint de notre fatalité. En fait, je suis tellement émue de la tendresse d’ Élise, et je pense que si on a tous les yeux d’observer la tendresse, notre vie sera plein de pouvoir.

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