Étude de la pièce de théâtre Le mariage de Figaro de Molière

FIGARO : dénonce les inégalités sociales, annonciateur de la révolution française, et invite les spectateurs à une réfléxion afin de bouleverser l’ordre social établi.

qui pose le problème des privilèges de la naissance : « Par le sort de la naissance, l'un est roi, l'autre est berger, le hasard fit leur distance, l'esprit seul peut tout changer »

Le comique des mots que l’on retrouve distinctement dans les répliques absurdes des personnages et d’Antonio en particulier ( exemple au vers 22 « Si je ne buvais pas je deviendrais enragé » ), mais aussi dans le langage « cru »,

Le comique des mouvements nous le retrouvons bien sûre, nous lecteurs, dans les didascalies mais aussi dans les dialogues qui nous renseignent sur des événements hors scènes qu’Antonio présente de manière très comique « (…) et tout à l’heure encore on vient d’en jeter un hommes » au vers 5.

TARTUFFE :

sa mise en cause d’une religion qui devient pervertie par l'hypocrisie.

« Le Ciel défend, de vrai, certains contentements. »

Mais on trouve avec lui des accommodements. (Tartuffe, acte IV, scène V, vers 1487-1488)

Le comique : des gestes (didascalie), langage populaire, comique de situation (stratagème d’Elmire—cacher un personnage)

Dorine = personnage comique de tartuffe avec ces bon mots

Comiques de caractère : monomaniaque d’Orgon et les contradictions d’Orgon.

Comique de Tartuffe : dévotion excessive qui sonne faux, personnage parodique

Comique de situation une femme essaie de duper un homme qui est amoureux d'elle, Tartuffe ;be naïvement dans le piège que lui tend Elmire "J'en suis ravi de même, et s'en doute il m'est doux, Madame, de me voir seul à seul avec vous" dit Tartuffe (au vers 899). Et le spectateur sait qu'un personnage caché (Damis), assiste à cette entrevue: c'est un procédé courant dans la comédie.

DOM JUAN :

Critique du liberinage : « La constance est bonne pour les ridicules », scene 2, Acte 1.

Et du caractère libertin de Dom Juan. Du coureur de jupon au « plus grand scélérat que la terre ait jamais connu », selon son valet, Sganarelle. Dénonce les mœurs libertines, la manipulation, la tromperie, et l’hypocrisie.

Le rire permet de dédramatiser la critique et d’échapper à la censure et de la rendre d’autant plus sarcastique que convaincante.

Le comique dans la pièce est apporté principalement par Sganarelle, le valet de DJ, et notamment avec son caractère imite son maitre.

On peut le voir comme un contrepoint76, une antithèse77 de Dom Juan, un contraste comique, balourd autant que son maitre est élégant, moralisateur autant que l'autre est cynique, lâche autant qu'il est courageux, superstitieux autant qu'il est libre d'esprit, niais autant qu'il est fin77.

Enfin, les répliques sont entrecoupées de

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