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Zadig, Voltaire, chapitre 4

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Par   •  11 Mai 2021  •  Analyse sectorielle  •  937 Mots (4 Pages)  •  1 390 Vues

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Cégep Marie-Victorin                                                       20 avril 2021

Écriture et littérature                                   Prof. : Christian Braën

Simulation d’analyse littéraire complète

Pondération : 20%

Nom : Malaïka Petit-Frère

Libellé :

Le Siècle des Lumières, dont Voltaire a été l’un des principaux fers de lance, a cherché à chasser les superstitions en imposant la raison comme principe fondamental de la vie personnelle et sociale. Dans une analyse d’au moins 700 mots, montrez que, dans « Le Chien et le cheval », troisième chapitre du Zadig de Voltaire, le personnage éponyme incarne la raison au sein d’une société dominée par les croyances et la superstition.

Le 18èm siècle fut marqué par des évolutions, perçues comme le siècle des Lumières ce qui était absolu est maintenant relatif. Bien que l’état s’opposât férocement aux nouvelles connaissances, car les philosophes qui les inculquaient s’opposaient à toute forme d’injustice. Voltaire (1694-1778) grand philosophe chercha tout de même à chasser les superstitions en imposant la raison comme principe fondamental de la vie personnelle et sociale. Il le fit, en autre, au travers du conte philosophique Zadig. Dans ce conte au chapitre 3 « Le chien et le Cheval », comment Voltaire met en évidence que le personnage éponyme incarne la raison au sein d’une société dominée par les croyances et la superstition ? Premièrement, Voltaire répond à cette question en montrant que Zadig se réfère qu’à des faits pour convaincre ainsi qu’en montrant qu’il est un homme doté d’une grande sagesse.

Tout d’abord, il est sans aucun doute que Zadig ne se réfère qu’a des faits pour convaincre. En effet, nous pouvons le constater lorsqu’il fit une description du chien, il a eu recours qu’a des faits tel que : « J’ai vu sur le sable les traces d’un animal, et j’ai jugé aisément que c’était celles d’un petit chien » (242) on comprend alors comment il sut quelle était la quête des énuques. Puis pour expliquer comment il sut que c’était une femelle il dit : « Des sillons légers et longs imprimés sur de petites éminences de sable, entre les traces des pattes, m’ont fait connaitre que c’était une chienne dont les mamelles étaient pendantes, et qu’ainsi elle avait fait des petits il y a peu de jours » (243) d’autre part, on peut également constater que Zadig se réfère encore une fois qu’à des faits lorsqu’il décrit le cheval. En effet, il mit ces faits de l’avant en disant que « À l’égard du cheval du roi des rois, vous saurez que, me promenant dans les routes de ce bois, j’ai aperçu les marques de fers d’un cheval; elles étaient toutes à égales distances ``Voilà ai-je dit, un cheval qui a un galop parfait´´ (253), voilà comment il sut que c’était un cheval que les énuques recherchaient. Il dit aussi « la poussière des arbres dans une route étroite qui n’a que sept pieds de large était un peu enlevée à droite et à gauche, à trois pieds et demi du milieu de la route. `` Ce cheval, ai-je dit. À une queue de trois pieds et demi, qui par ces mouvements de droite à gauche, a balayé la poussière´´ » (256) voici comment Zadig connu la longueur de la queue du cheval. De ces faits, entre autres, il plaida sa cause au conseil du grand Desterham expliquant, ainsi pourquoi il fut en mesure de décrire le cheval et la chienne de manière précise.

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