Une partie de campagne, Maupassant

  Lors de la situation finale l’auteur cherche à nous transmettre la nostalgie des personnages, comme nous le montre la scène dans la boutique.

  Tout d’abord, une allusion de la gène de Mme Dufour ce fait ressentir par un trait physique, «elle rougit fort», l’adverbe d’intensité «fort» permet d’accentuer encore plus son embarras.

Aussi Mme Dufour fait preuve d’insistance grace à l’adverbe «bien», ce qui reflète son regret et sa nostalgie par sa rencontre avec le canotier. L’emploie du pronom personnelle «nous» est une facon habile de déguiser son désire sous forme d’invitation.

De plus comme le suggère l’hyperbole «après mille politesse» la retrouvaille semble très intense.

Du coté du canotier, sa première préoccupation est Henriette. L’interjection «Ha!...» suivie par des points de suspension traduit sa surprise et sa déception. Aussi une métaphore «une émotion l’étreignit» évoque qu’il est submergé et étouffé par ses émotions. Pour continuer son amertume est souligné par l’adverbe «fort» lors de son départ «fort triste». L’«adieu» du canotier montre que pour lui l’aventure est terminée cependant il s’oppose au «bientôt» de Mme Dufour qui pour elle, c’est un espoir retrouvé.

Ensuite durant la deuxième et dernière scène les sentiments des personnages sont encore dévoilés.

La stupéfaction du canotier et perceptible par ses retrouvaille avec Henriette. La paleur de celle ci confirme bien son désespoir face a ses retrouvaille avec ses souvenirs gravés depuis ces un ans et deux mois. Un long regard est échangé ce qui traduit les émotions intenses et profond ressentit.

 En effet les souvenirs de se voyage a Bezon est resté ancré dans la mémoire des protagonistes.

   Tel que Mme Dufour, qui souhaite revivre ce moment inoubliable. Le verbe «reconnue» suivie de l’adverbe de temps «aussitôt» montre bien que ses souvenirs sont toujours aussi vifs dans sa mémoire.

Enfin, dans la scène dans les bois, une impression de revivre le même moment est présente dû au cadre spatio temporelle rejoué. La météo, le lieu et également l’intimité est intacte. On retrouve le «cabinet» transformer en «leur chambre», le déterminant possessif «leur» les unis et renforce leur amour. C’est dans la scène «si nette, si désirable» que «tous les détails»  émerge chez le canotier. Sans compter que la négation «ne jamais» est utilisé afin de souligner la vivacité de ses souvenirs.  De plus trois adverbes d’intensité «beaucoup , souvent et bien» est  également présents du a leur réminiscence. La seule phrase prononcé par Henriette est « Moi, j’y pense tout les soirs. ». En effet le déterminant indéfinis «tout» prouve que sa mémoire est impérissable.

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