Toute sa personne explique sa pension, comme la pension implique sa personne" vous rédigerez une page de roman dans laquelle les lieux laissent deviner la psychologie d'un personnage.

Il était treize heures, lorsque je remontais dans mon bureau. Je venais de finir de manger. Il faisait gris aujourd'hui. Après quelques minutes, mon patron prévint tout le monde qu'un enlèvement avait eu lieu. Il me nomma chèf de l'enquête. Nous allions donc nous rendre au domicil de la jeune fille. Les seules information que nous possédions sur elle étaient qu'elle vivait dans un des quartier les plus dangeureux et mal fréquentés de la ville, et qu'elle y habitait seule avec sa mère. Une fois arrivée sur place, l'état des lieux et de la maison dans laquelle nous nous apprétions à entrer me fis froid dans le dos. Autour de cette maison, il n'y avait pas grand chause, quatre ou cinq maison en aussi mauvais état que celle-ci, seulement un morceau de grillage qui était sencé marquer la séparation, puis la route. Les autres habitations étaient désertes. Elles ne semblaient pas être habiter. A vrai dire, les seuls personnes présentes se trouvaient à proximité de la maison en question et etaient des toxicomans et des vendeurs de drogue, mais, au moment où ils ont appérçut les voiture de police, tous déguerpirent. La maison était dans un état laborieux. Elle était laissé à l'abandon, les murs étaient délabrés, la peinture n'avait jamais été faite, les fenêtres étaient cassés, et leurs barreaux rouillés. Sur la porte d'entrée et les murs, il y avait des graffitis, sans doute fait par des adolescents.

En entrant dans la maison, la première chose que l'on remarque est l'odeur horrible qu'elle dégage. Le sol était sale, et les murs étaient tachés. La femmes qui habitait ici ne devais pas l'entretenir souvent, et cela se voyait. L'endroit donne l'impression d'étouffer. L'air est troublé par la fumé rester dans la pièce, et la poussière qui tombe du plafond. L'endroit sent le renfermé et donne l'impression d'étouffer. En entrant dans le salon qui n'est que partielement meublé, la sensation de malhaise s'instale d'aventage. Le canapé qui empeste l'aclool et la fumée, est jauni par la nonchalance de la mère. Les fils éléctriques dépassent des prises de courent. En face du canapé se trouve une table basse sur laquelle s'éternise des restes de drogue que la mère n'a même pas pris la peine de cacher.

Je pris l'initiative d'interroger Mme Monier, la mère de la jeune fille portée disparue. Les seuls élément concrès qu'il en soit sortis sont le nom de cette jeune fille, Lou Monier, et la cause éventuelle de sa disparition. La mère ne paraissait pas inquiète et avait émis l'hypotèse de la fugue.

Je demendas à voir la chambre de Lou, et je ne fus jamais autant surprise en dix ans de carrière. Contrairement à toute la maison, la chambre est lumineuse et aérée. Elle porte une odeur de vanille et de canelle. Elle est très propre et rangée. Tout est parfaitement aligné, le lit est fait, le bureau est rangé. Ont trouve beaucoup de livre dans cette chambre, des romans et de la poésie, principalement, cependant, ont y trouve aussi des essaies philosophiques et des livres d'histoire. A côté du bureau, sur une étagère blanche, se trouvre de vieux disques de musique, on découvre pratiquement un répertoire complet de musique classique et de jazz. Au bas de l'étagère, on peut apercevoir

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