Lettre princesse de montpensier

Chere princessse,

Par cette douloureuse missive je me dois de vous dire adieux. Je ne puis continuer à vous servir dans de tels circonstances, c'est à dire avec aussi peu d'estime pour moi..Comprenez Madame, qu'il m'est impossible d'ésperer, qu'un jour vous me traitiez de façon plus affective, je m'y suis résignée. Bien que je sache que vous êtes vouée de passion pour ce comte, cela me déchire etant donnée mes sentiments à votre égart d'être l'intermediaire de vous billets entre vous deux.

Je suis bien placé, pour dire que votre flamme envers ce duc, ne sera que de passage à son égart, alors fiates attention Madame de la nature des sentiments de Monsieurs de Guise. Je vous ai écouté et observé madame pour admettre pour dire que celui de votre cœur aime est de Guise et non moi, je m'y suis résolu à l'admettre et à l'accepter. Mais madame, comment avait-vous pu, alors que vous connaissiez la nature de mes sentiments pour vous, jouir si fortement de cette situation ? Votre conduite puérile causera votre perte , ainsi que celle de tout vos etres chères .

Je n'ai aucune existense considérable à vos yeux, je ne suis que votre précepteur, mais Marie, je pense que durant vos années d'études avec moi, j'ai oubliée de vous mettre en garde à l'encontre de personnes malfaisantes, De Guise en fait sûrement parti, il ne voit que ce qu'il peut récolter de toutes ses petites conquètes. Je suis le gardien de vos secrets, qui sont à moitié dévoilés suite aux suspitions de votre mari?le prince de Montpenseir, mon ami. Pourquoi devrais-je donc aider, sans ne rien dire, une personne qui ne me concidère que comme un simple instrument de ses désirs ?

Vous avez conscience du danger de cette aventure, car vous êtes une femme intelligente Marie, mais votre vulnérabilité est plus grande encore ur ceux qui ne cessent de vous flatter. Prenez garde Madame, car vous vivez un amour épineux.

Avec toute mon amitié, votre grand ami,

François, Comte de Chabannes.

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