Les Colchiques

Plan :

Portrait d’une mystérieuse femme (1 à 8)

Baudelaire malheureux (9 à 16)

Ligne 1 : « On dirait » comparaison

Ligne 1, 5, 9 : Les 3 premières strophes commencent avec une comparaison

Ligne 3 : « tendre » « cruel » antithèse montrant que la couleur de ses yeux change tout le temps tout comme son caractère

« Tendre, rêveur, cruel » rythme ternaire traduise l’amour qu’elle a pour elle

Ligne 4 : « pâleur du ciel, blancs, neige, glace » : champ lexical de la blancheur qui montre qu’elle n’éprouve rien pour lui

Ligne 6 : « les cœurs ensorcelés » : métaphore hyperbolique pour parler du fait qu’il est amoureux, il se met à distance dans le vers mais en réalité il parle de lui-même

On remarque son amour pour elle, qu’il est prisonnier de cet amour qui le rend malheureux car il n’est pas réciproque

« Qui se font fondre en pleurs » : allitération en f rappelant la pluie

Ligne 7 : « un mal inconnu qui les tord » métaphore montrant la douleur qui est la sienne

Ligne 8 : « les nerfs trop éveillés raillent, l’esprit qui dors » : personnification des nerfs et de son esprit

« Dormir » « éveillés » : antithèse qui montre que cette histoire échappe a sa raison

Vers 10 : « soleil, resplendis » : champ lexical du soleil

« Brumeuses saisons, paysages brouillés » : montre que lorsqu’elle est de mauvaise humeur elle est comme un mauvais temps

Vers 12 « Qu’enflamment » : métaphore hyperbolique

Vers 14 : « adorerai-je » : hyperbole

« La neige et vos frimas » : gradation, de ce qui était blanc devient froid

Vers 15 : « implacable hiver » : exprime toujours la froideur

Vers 16 : « que la glace et le fer » : le fer est fait pour blesser, il représente une égale et montre qu’elle blesse.

« fer » Métonymie montrant qu’elle le blesse

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