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Le poète sollicite la nature de pérenniser son bonheur passé

Dissertation : Le poète sollicite la nature de pérenniser son bonheur passé. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Mai 2017  •  Dissertation  •  2 214 Mots (9 Pages)  •  2 123 Vues

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Justin Leach

Devoir 2 : Plan détaillée

INTRODUCTION

  • Sujet amené :
  • Époque : Début du 19e siècle
  • Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine
  • Titre de l’œuvre/de l’extrait : : « Le lac », dans Méditations poétiques
  • Date et lieu de publication : 1820, France
  • Courant, genre et forme littéraires : romantisme, genre poésie, élégie
  • Lien avec le contexte : Inspiré par son amour pour Julie Charles, qu'il sauve de la noyade à l'été 1816.
  • Sujet posé : Le poète sollicite la nature de pérenniser son bonheur passé
  • Sujet divisé :
  • Fuite du temps omniprésent dans le poème
  •  L’homme impuissant face à cette fuite de temps
  •  Le Bonheur passé

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

I.        Fuite du temps omniprésent dans le poème

A.        (1er argument secondaire) :  Temps

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore

a)        « Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges / Jeter l'ancre un seul jour ? » Lignes 3-4

 Le poète indique sous la forme d’une question par exemple qu’il n’est pas possible de jeter de l’ancre donc on ne peut pas arrêter le temps.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore 

a) « le temps n'a point de rive / Il coule » Ligne 34-35

        Simplement que le poète Lamartine fait en sorte que le temps est assimilé à l’eau, aussi le fait que l’eau coule comme le temps qui s’écoule. 

C.A. : (conclusion du paragraphe A) Lamartine réfléchit dans ce texte sur sa condition de l’homme, sur sa faiblesse face à la fuite du temps.


B.        (2e argument secondaire) Rapidité d’écoulement du temps

1.         (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champ lexical de la vitesse

a)        « rapides » (Ligne 26), « vitesse » (Ligne 43)

         Les enjambements nombreux semblent précités le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Antithèse

a) « ce temps qui les donna, ce temps qui les efface » Lignes 45

         Le poème porte plainte de tout la nature humaine, l’usage de la première personne du pluriel permet ainsi au lecteur de se reconnaitre dans le cri de douleur poussé par le poète.

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Les mots utiliser et les pronoms donne une perspective au poème sur la rapidité d’écoulement du temps.

C.I. :        (conclusion de la partie I) Ce poème semble évoquer la fuite du temps.

II.        (2e argument principal) L’homme impuissant face à cette fuite de temps

A.        (1er argument secondaire) Incapacité de faire changer les choses

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Participe passés 

a)        « Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages » Ligne 1

        « Dans la nuit éternelle emportés sans retour » Ligne 2

         En d’autres mots le poète indique qu’il est soumis au mouvement du temps

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Participe passés

a) « Mais je demande en vain quelques moments encore » Ligne 30

         Que le temps ne peut pas être ralenti

C.A. : (conclusion du paragraphe A) L’homme ne peut rien y faire contre le temps.

B.        (2e argument secondaire) Sentiment d’impuissance

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore

a)        « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges » (Ligne 3)

        « Jeter l’ancre un seul jour ? » (Ligne 4)

         En résumer, que l’homme (personnage) est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter de l’ancre pour arrêter le temps.

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Métaphore

a)        « Le temps m’échappe et fuit » Ligne 32

         Qu’il ne soit pas possible de savoir que le temps file, incapable de s’en apercevoir.

C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le sentiment d’impuissance face au temps.

C.II. :         (conclusion de la partie II) Que l’homme ne peut rien y faire face à la fuite du temps.

III.        (3e argument principal) Le bonheur passé

A.        (1er argument secondaire) Le lac garde les souvenirs des moments heureux

1.        (1re preuve : procédé + citation + commentaire) Champs lexicaux : moment heureux

a)        « des flots chéris » Ligne 6

     « Flots harmonieux » Ligne 16 

         Le lac est le cadre du bonheur passé

2.        (2e preuve : procédé + citation + commentaire) Anaphore

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