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Le Misanthrope, acte I , scène 1, Molièe

TD : Le Misanthrope, acte I , scène 1, Molièe. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  13 Mars 2018  •  TD  •  784 Mots (4 Pages)  •  638 Vues

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Texte A

Ce texte provient de la pièce de théâtre (Acte I, Scène I) écrite par Molière, Le Misanthrope. Il dénonce l’hypocrisie au sein de la société. Etre misanthrope, c’est détester le genre humain peu importe son sexe, sa religion, ses origines.

La thèse d’Alceste : Il reproche à Philinte d’être fourbe et d’entretenir ses relations uniquement par intérêt plutôt que de privilégier la vérité dans une société habituer à vivre dans le mensonge. Il défend la faite d’être honnête et de vivre dans un monde franc.
Pour défendre ce point de vue, on peut lire dans le texte qu’Alceste trouve les hommes égoïstes entre eux. Il dénonce notamment le faites que les hommes ne soit pas blâmé pour leurs actes méprisable (L.29-31). Il l’avoue lui-même qu’il haie tous les hommes.

La thèse de Philinte : Il défend le faites de garder ses opinions pour soi et d’adopter une bonne tenue dans la vie en société. Il commence tout d’abord par questionner son interlocuteur sur ce qu’il pense et sur la thèse qu’il défend en lui posant différentes questions à la suite suivi de courte réponse simple mais précise d’Alceste. S’en suit la réaction d’Alceste qui défend sa thèse et Philinte essaya de changer l’avis de son interlocuteur mais celui-ci, têtu ne change pas d’avis.

Les propos de Philinte sont ceux qui m’ont été le plus convaincant car celui-ci comparer à Alceste est conscient du monde dans lequel il vie mais s’adapte et privilégie la bienséance pour favoriser les rapports humains. Je trouve parfois que Philinte fait preuve de sagesse « Je prend tout doucement les hommes comme ils sont, j’accoutume mon âme à ce qu’ils font », dans son propos.

. Texte B

Selon Montesquieu, nous n’aimons pas la sincérité car celle-ci peut être difficile à vivre. Comme dit l’auteur dans le premier paragraphe, on fuit la vérité parce qu’on la redoute, qu’elle humilie, elle rend amère. Par la suite, il étaye ce propos tout en se focalisant plus particulièrement sur la sincérité en amitié. D’après cette thèse, nous avons des amis seulement destiné à nous plaire avec des louanges continuelles comme récompense. Ce terme à perdu de son authenticité et est désormais utiliser avec bassesse uniquement afin de se séduire. Il continue son propos en disant que maintenant la sincérité ne fait plus parti de l’amitié et s’en suit différentes comparaisons afin d’appuyer son argumentation (L.21-23). Son propos se termine en donnant raison à Diogène (philosophe grecque de l’antiquité) qui était connu pour sa parole mordante, comparait l’amitié aux inscriptions sur les tombeaux : « des vains signes de ce qui n’est point. »

Tout d’abord, ce qu’il lie en premier lieu les deux textes est le faite qu’ils traitent du même sujet qui est l’hypocrisie. Nous avons ici deux façons de voir leur point de vue, tout d’abord avec cet extrait de la pièce de théâtre où on assiste à un dialogue tandis qu’en second lieu on à le droit à un avis solennel de Montesquieu.  Ce dernier dans ce texte, se rapproche du point de vue d’Alceste du Misanthrope pour qui l’hypocrisie perturbe les rapports humais au quotidien. Montesquieu n’est pas hostile au genre humain comme peut l’être Alceste, en effet au fil des vers, l’auteur à un avis qui se rapproche plutôt de celui de Philinte, il arrive à prendre du recul sur la situation, chose qu’Alceste n’arrive pas à faire et reste entêté dans son opinion.

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