Jacques Cartier et Lahontan

Argument principal 1

Dans les extraits, les Français sont présentés sous une belle lumière.

 Sous-argument 1.1

Sous-argument 1.2

Chez Cartier, ils sont généreux et hospitaliers envers leur amis sauvages.

Chez Lahontan, on voix la noblesse et prospérité des Framçais.

Illustration 1.1

Illustration 1.2

<< Et étant entrés ils furent assurés par le capitaine qu’ils n’auraient nul mal, en leur démontrant grands signes d’amour ; et on les fit boire et manger, et faire grande chère >>

Extrait de Voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier (1534) l. 18 à 20

<< N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et un million de gens d’autres états qui vivent comme des rois, à qui rien ne manque et qui ne se souviennent d’avoir vécu que quand il faut mourir ?>>

Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, du baron de Lahontan (1703)

l. 23 à 25

Explication 1.1

Explication 1.2

Ceci est le résultat d’une nécessité pour garder la croix et créer des relations amicales avec les peuples amérindiens.

Cette richesse est dû au succès de l’empire français et les richesse acquis de ses colonies.

Argument principal 2

Les Français ne présents pas le même niveau de force et de résilience chez Lahontan que chez Cartier.

Sous-argument 2.1

Sous-argument 2.2

En premier lieu, les Français de Cartier sont présentés comme plus fort et travaillant.

Tandis que ceux de Lahontan sont plus mous et complaisants

Illustration 2.1

Illustration 2.2

<< Le vingt-quatrième jour dudit mois, nous fîmes faire une croix de trente pieds de haut, […]. Et cette croix, la plantâmes sur ladite pointe devant eux, […].>>

Extrait de Voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier (1534)

l. 4 et 7

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Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, du baron de Lahontan (1703)

l. 6-7

Explication 2.1

Explication 2.2

Les Français de Cartier font beaucoup de mains-d’œuvre ardentes pour assurer leur retour.

La comparaison aux bêtes surligne comment ces Français ne pensent qu’à leur besoin primaire sans vouloir développer plus que cela.