Dissertation culture énération offensée, de C.Fourest - L’appropriation culturelle- Il s’agit d’un ouvrage de Caroline Fourest « De la police de la culture à la police de la pensée »

Culture Générale                                                                                              Madame K.Picard

Thème 1 : Génération offensée, de C.Fourest - L’appropriation culturelle- Il s’agit d’un ouvrage de Caroline Fourest «  De la police de la culture à la police de la pensée ».

Il sera question d’un thème sur la paix et justice.

Caroline Fourest est une journaliste, chroniqueuse a Marianne, collaboratrice à Charlie Hebdo, à travailler pour France Culture . Elle est essayiste et a bcp écrit sur la laïcité, elle donne bcp de conférence cours a science po et est réalisatrice d’un film de fiction. Elle s’est battue pour le mariage pour tous.

Elle ouvre son livre ainsi «  en mai 1968 ,la nouvelle génération rêve d’un monde ou il serait  interdit d’interdire » .Elle parle des milénials, la génération Y ( une génération qui se dit offensé ).

«  Nous vivons dans un monde furieusement paradoxal, ou la liberté de haïr n’a jamais été si débridée sur les réseaux sociaux, mais ou celle de parler et de penser n’a jamais été surveillée dans la vie réelle ». p .9

«  Exister, de nos jours, c’est se dire offensé » p.35

La police de la culture ne vient pas d’un état autoritaire mais de la société, de la jeunesse qui se dit ultra sensible à l’injustice  mais il ne faut pas tomber dans l’excès ( assignation permanente ).L’objectif n’est pas de se défouler contre les minorité, elle explique que la bataille pour l’égalité l’a forgé et elle reste attachée à celle pour la liberté.

Elle voudrait qu’on cesse d’opposé liberté et égalité mais par tenir à une forme d’équilibre entre liberté d’expression et égalité entre les individus.

Les cibles sont multiples : intellectuels , chanteurs, acteur, anonyme ( mère de famille ) tout le monde peut être une cible de cette nouvelle police de la conscience de la culture.

Ce mouvement se propage par les réseaux sociaux principalement, les réseaux sociaux ont crée un espace de débats dans lequel on peut râler depuis chez soi tout en étant protégé par l’anonymat et aussi par la  « meute ».Le phénomène de masse peut être important, cet effet de groupe fait en sorte d’être protégé ainsi le lynchage est bien plus brutale.

L ‘appropriation culturelle est la reprise de forme de thème ou de  creative artistique au détriment d’un autre. C’est l’idée d’un potentiel pillage d’une culture au détriment d’une autre. Ex: l’exploitation d’oeuvre d’art dans certains musée du fait de la colonisation. En décembre loi sur restitution d’oeuvres Senegal et bénin ( question : pillage ou hommage ??).

Dernière cette idée de nuire il y a une intention importante, caraloine Forest dit qu’il existe de plus en plus et de partout, elle prend l’exemple de Suzanne SCAFIDI professeur de droit a NY et spécialisé dans l’appropriation culturelle et donne une définition « Ce professeur pose sa propre définition de l’appropriation culturelle comme le fais de s’emparer de la propriété intellectuelle, du savoir traditions des expressions culturelles, des artéfacts de la culture du notre sans sa permission. », on a perdu cette idée de dominé d’après Caroline Fourest et donc sa change tout, car quand on prend la culture d’un groupe on doit s’en sentir offensé.

 un mouvement  militant à sciences po, les sciencesCurls : les blanches ont cette facilité à entrer et à sortir d’une culture comme s’il s’agissait d’un viol et non d’un métissage.

-  Une fédération canadienne a l’université d’Ottawa: Inde a subit colonisation et suprématie occidentale et donc moyen de boycotté le cours de yoga serait un moyen de réparer ça on ne continuerait pas à exploiter la suprématie sur l’onde et donc interdit en 2015 ( journal INDEPENDENT ) .

Narendra Modi, ministre indien, un islamophobe prône un hindouisme très rigoriste et qui a été condamné plusieurs fois pour incitation à la haine, lui il serait très content que le yoga s’exporte, et donc Caroline dit que ça aurait pu se comprendre si c’était par rapport a ce mec mais non c’est seulement par rapport à l’histoire.

-L’organisation mondiale de la propriété intellectuelle reconnait que les comm et peuples autochtone sont des détenteur de savoir traditionnelle qu’il convient de protéger juridiquement, il y a donc un contentieux émergent qui via concerner des grands groupe pharmaceutique qui s’approprie des recettes thérapeutique ou des recette pour des produits esthétique issue de plantes de la médecine traditionnelle et qui ne verse rien aux peuples étant à l’origine de ces découvertes.

On parle de BIOPIRATERIE, ça concerne des entreprises de tout secteur.

La marque Nike, model de chaussure ayant posé pb, ça concerne tout ce qui est culturelle et qu’on dénomme folklore , Nike est accusé d’une copie illégale en 2019 ( use un motif traditionnelle d’une communauté autochtone du panama ). Face à la montée médiatique la marque à dû retirer le produit de la vente.

-  D’un point de vue météorologique, l’ONU fait en sorte de préserver le savoir faire culturelle des communautés autochtones pour connaître la météo.

Problème majeure qui se pose :  un peuple peut revendiquer du jour au lendemain qu’une activité relève d’une pratique culturelle.

 Disney : lynchage médiatique avec le dessin animé du Roi du Lion «  hakuna matata » c’es tissue d’un dialecte africain «  Kiswahili ». Problème lorsque Disney a déposé la marque Hakuna Matata pour l’imprimer sur des tee-shirt et se faire des sous.Un certains nombre de journaliste ont mis en lumière une appropriation culturelle.Disney est accusé d’appropriation culturelle mais n’a pas eu d’incidence, Caroline Forest souligne que rien n’empêche a ces gens là qui parlent cette langue de faire de même en imprimant des tee shirt et sans forcément acheter chez Disney.

-Dans le domaine culinaire, Jemi Oliver le célèbre chef britannique a subit des critiques car a fait des recettes : un riz jamaïcain mais en ne suivant pas exactement la véritable recette et une député britannique à exigé que l’on retire sa recette car il ne s’agissait pas de la recette correcte : blanc qui use des épices et donc mal vu car mal fait. Il s’est exprimé en disant qu’il a restitué la recette il affirme avoir laissé la même appellation.

Caroline Fourest : «  le pb n’est pas de s’inspirer d’une autre culture. Mais de la méconnaître quand on  prétend la partager ».

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