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Commentaire de texte Sylvie Gérard De Nerval

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Par   •  26 Février 2021  •  Analyse sectorielle  •  1 042 Mots (5 Pages)  •  1 793 Vues

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Commentaire de texte Sylvie Gérard De Nerval

Introduction :

Le recueil des Filles du Feu de Gérard De Nerval contient huit nouvelles portant toutes un prénom en guise de titre, et douze sonnets nommé « Les Chimères ». « Les Filles Du Feu » est un titre mystérieux comme la plupart des personnages féminins de ce recueil. Chaque nouvelle représente elle-même une fille du feu dans laquelle Nerval décrit des idéaux féminins. Sylvie est une nouvelle faisant parti de ce recueil, elle parût pour la première fois en 1853 dans La Revue Des Deux Mondes. Nerval est un auteur qui fait partie de l’époque romantique. Nous allons travailler sur un extrait de Sylvie, le chapitre XIV. Nous allons chercher à montrer en quoi ce chapitre montre l'attachement du narrateur à son pays, associé à un passé heureux, et comment passé et présent se confondent. Tous d’abord nous allons étudier le pays du Valois présent dans ce chapitre puis la présence des femmes et enfin le fait que le passé et le présent se confondent.

Dans un premier temps l’auteur se remémore les paysages de son enfance.

L’utilisation de « jamais » dans la phrase « A Dammartin, l’on n’arrive jamais que le soir » évoque une habitude, le narrateur connaît bien la ville et est habitué à y venir. Au début de l’extrait le narrateur loge à l’Image Saint-Jean, La chambre de l’auberge à changer selon l’auteur, avant elle était raffinée mais elle a vieilli pourtant il précise que l’on y dort toujours bien, et que cette chambre est chaleureuse, ce qui montre que c’est la même chambre mais que le temps est passé et à changer la chambre de son enfance. ( synonyme de bonheur et de joie.)

La description des paysages est très présente.

Dans cet extrait nous remarquons une description assez précise des paysages. La nature est omniprésente. Cela nous fait penser à Sylvie et donc donne un sentiment de fraicheur. Le narrateur découvre ce paysage « avec ravissement » ce qui donne l’impression que le narrateur ne connaissait point cette vue. Les peupliers « s’alignent comme des armées » montre que ce paysage est parfait et travaillé. Le narrateur précise que l’air est pur, il prend plaisir à faire une chose que l’on fait inconsciemment.

Les villages voisins ont déjà été évoqué dans la nouvelle, ils sont connus de l’auteur et rappel des passages importants de la nouvelle come celui du mariage à Othys. Le fait que l’auteur sache où se trouve ces lieux et puisse les décrire marque l’effet de l’attachement entre l’auteur et ces lieux. Il est capable de distinguer un village malgré le bois qui lui masque la vue.

Il s’agit maintenant d’étudier l’importance des femmes dans ce chapitre.

Sylvie est un personnage féminin éponyme, elle est présentée au début de la nouvelle comme étant vive fraiche et enfantine. C’est l’amour d’enfance du narrateur. Dans cet extrait le narrateur apprend qu’elle va se marier avec son frère de lait, le narrateur est mélancolique, il voit Sylvie comblé mais avec un autre. Essayant de se rassurer il se dit que c’est le bonheur. L’allusion à Werther colore le chapitre

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