Commentaire de texte Jean de la Fontaine : Comment cette fable va-t-elle permettre à Jean de la Fontaine de critiquer la société de son temps ?

Jean de la Fontaine, célèbre pour ses fables, est un grand auteur classique. Mais arrivera t-il à nous faire autant rêver par rapport à ses autres fables. « Les animaux malades de la peste » écrite en 1678 constitue la première fable du VII livre. Dans cette fable les animaux vont subir la colère de dieux via le peste mais il pense qu’il y a un complice. Comment cette fable va-t-elle permettre à Jean de la Fontaine de critiquer la société de son temps ? Pour réponde à cette question nous allons tout d’abord voir les rebondissements présent dans cette fable puis ses remarques sur la société.

Malgré une fable sans forme fixe , elle fait preuve de nombreux rebondissement. Tout d’abord il y a le lion, le roi des animaux qui confesse ses crimes « j’ai dévoré force moutons » par déduction il pense donc que tout cela est a cause de lui « je pense », « je crois » et « peut-être ». Mais il est le roi selon lui donc personne peut ne lui en vouloir mais il va faire preuve d’hypocrisie au début de son discours « mes chers amis » il se ne met pas sur un pied d’estale. Puis l’âne va prendre parole pour dire qu’il va aller manger de l’herbe. Mais au lieu d’être excusé comme le lion, tout la foule est unanime sur le fait qu’il doit être condamner à mort.

Suite à tous ces évènements on peut en déduire que la fontaine attribue les rôles qui sont la foule la cour, le lion le roi. Il dénonce le manque de maturité au près du lion qui est le roi car il lui fait dire que « je me dévouerai » mais en réalité il sait et il le dit clairement jamais le roi sera le bouc émissaire.         La Fontaine trouve aussi que la cour n’essaye pas de trouver le vrai coupable car dès que le roi en a trouvé un alors ca va être lui et tout les monde va mettre cela dans sa tête et sa ne changera jamais. I

l met aussi en épreuve la noblesse et le clergé qui joue le rôle des ours, tigres et tout autres animaux puissants qui ne peux se faire condamné « on n’osa trop approfondir ». L’ordre de parole est aussi un élément qui ne faut pas oublier car l’ordre de passage est d’abord le roi puis l’âne. Si on prête plus d’attention sur le lion il ne faut pas oublier qu’il méprise les moutons « dévore satisfaisant ses appétits gloutons ». Le lion va directement accusé l’âne car c’est une proie facile et il sait que personne va le défendre et que tout le monde v ale suivre son broncher.

Pour conclure, au cour de cette étude nous avons pu constaté que cette fable émet une critique sévère sur la société du XVIIe siècle où « la raison du plus fort est toujours la meilleur ». Où le range social mène la justice et où le mépris pour le peuple est devenu un quotidien.

...