Commentaire Jacques le fataliste et son maitre de Diderot

Commentaire de texte Jaque le fataliste et son maître, introduction

Au 18eme siècle, sont apparu plusieurs philosophe, mathématicien, dramaturge et plein d’autre intellectuel. Ces personnes ont étaient appelé les lumière et ont donné un surnom au 18eme siècle à cause de l’heure pensé : le siècle des lumière. Denis Diderot est l'un des philosophes des Lumières et l’un des plus productifs. En même temps, en tant que penseur, romancier, dramaturge, critique et essayiste, il est l’origine avec le mathématicien Alembert de L'Encyclopédie, dont le but était de rassembler toutes les connaissances de l'époque. Son roman le plus connu est sans aucun doute le Jacques le Fataliste et son maître, paru en feuilleton dans la revue La Correspondance littéraire entre 1778 et 1780, et il continua à y travailler jusqu'à sa mort en 1784. La première édition post mortem en France paraît en 1796. Partant de la première ligne, le lecteur en est facilement confus : Diderot est loin des conventions narratives traditionnelles, et il dialogue avec ses lecteurs et n'arrêtera pas d'interrompre le récit. Donc, ce début étonnant représente le reste du travail. Avant d'étudier ce qui fait de ce roman une œuvre subversive et même prérévolutionnaire, on peut au moins dire que l’incipit du livre, est surprenante. Enfin, nous verrons que cette initiative annonce l'anti-fiction, et Diderot révèle le processus d'écriture en surface. Nous verrons que l’incipit qui ouvre Jacques le fataliste et son maître, est pour le moins surprenant, avant d’étudier ce qui fait de ce roman une œuvre subversive et même prérévolutionnaire. Pour terminer, nous verrons que cet incipit annonce un antiroman, dans lequel Diderot dévoile ostensiblement les procédés de l’écriture.

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