Candide-Voltaire, Carnet de lecture

CIORBA Daniel                                                                                                                                                                                                      1°6

Carnet de lecture

CANDIDE OU L’OPTIMISME

Voltaire (François-Marie ALOUET)

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1°Impression de lecture                                                                                                                                

Chapitre 1 : Dès le titre, je sais que Candide va être chassé, je sais déjà que les personnages ne seront pas sympathiques et bienveillants à l’égard de Candide. Il est caractérisé de façon simple et rapide : il est simple d’esprit. Je suis tout de suite frappé par ce nom de Thunder-ten-Tronckh, c’est un nom qui prête à rire. Le fait de nous en dire très peu sur ce château me donne l’impression qu’il n’y a rien dedans. De plus, le baiser assez brutale entre Candide et Cunégonde me choque un peu, on passe à l’action dès le premier chapitre. Par la suite, Candide est banni des lieux par le baron, ce choix me paraît très radicale. Je suis impatient de découvrir où est-ce que Candide ira se réfugier.

Chapitre 2 : Je peux dire que c’était une expérience assez mal vécu par Candide qui se fait souiller par les soldats Bulgares. Un grand sauvetage pour Candide de la part du roi des Bulgares, un tel sauvetage que je n’ai jamais vu. Enfin, la guerre qui commence, je ne m’y attendais pas du tout, ça me donne envie de lire la suite.

Chapitre 3 : La guerre est présentée comme une harmonie, un orchestre symphonique, une description assez belle pour une action aussi horrible. Miraculeusement, Candide arrive à s’enfuir, je remarque qu’il fait toutes sortes de rencontre avec plusieurs personnes tout au long de l’histoire, ici l’anabaptiste Jacques, alors que nous ne sommes qu’au troisième chapitre.

Chapitre 4 : Un chapitre très mouvementé, les retrouvailles entre Candide et Pangloss, j’apprends la mort de Cunégonde, la destruction du château de Thunder-ten-Tronckh et la mort du baron et de la baronne ayant voulu se défendre leurs lieux. Enfin, le voyage vers Lisbonne qui me surprend car je me demande bien qu’est-ce qu’ils feront une fois là-bas, de plus, à la vue du port une horrible tempête les accompagne, ce qui m’intrigue à lire davantage.  

Chapitre 5 :Tout de suite, j’apprends la mort de Jacques, cela reste une rencontre assez courte. Après des phénomènes météorologiques titanesques, Candide ne reçoit que quelques éclats de pierre. Pangloss a toujours une réponse logique à tout ce qui se passe.

Chapitre 6 : Une mort s’ajoute, celle de Pangloss, ce qui m’attriste un peu car c’était une belle retrouvaille entre les deux mais qui se finit brutalement, puis Candide s’échappe seulement avec des fessés. Je ne sais pas à quoi m’attendre, tout est possible. J’espère pour Candide que de belles choses arrivent par la suite.

Chapitre 7 : Je suis surpris par l’apparition de Cunégonde et donc les retrouvailles avec Candide, cela ressemble à une belle histoire d’amour, J’aimerai que l’histoire s’arrête ici, tout est bien qui finit bien.

Chapitre 8 : Je suis attristé par la sombre vérité de l’histoire de Cunégonde pendant et après l’invasion du château de son père par les Bulgares, finalement elle a été traitée comme un objet, puis elle met en cause la philosophie de Pangloss que « tout va le mieux du monde ! ».

Chapitre 9 : Candide tue deux personnes avec ardeur et sans balancement, surtout lorsqu’il s’agit de sauver sa peau et celle de sa bien aimée. Je suis éblouis par la vivacité de Candide, la vielle a un plan pour s’échapper, je trouve ça un peu trop parfait, comme si tout était planifié.

Chapitre 10 : Ils font de longs trajets, pendant ces trajets je ressens une certaine commémoration envers Pangloss et sa philosophie. Le contre-argument de la vielle m’intrigue et je veux en savoir plus sur elle et son passé.

Chapitre 11 : En voulant apprendre davantage sur la vieille, ce chapitre m’a tout dévoilé sur elle, un passé plus que horrible, je pense que là Cunégonde n’a pas son mot à dire.

Chapitre 12 : Ce chapitre était de trop pour moi, les histoires de la vieille sont terribles même impossible, j’ai vite oublié les mésaventures de Cunégonde en lisant celles de la vieille.

Chapitre 13 : « Ame trop pur pour trahir la vérité », Cunégonde fait de l’effet à tout le monde, je suis étonné par le fait que Candide et son équipage étaient suivis depuis le début. On nous annonce une séparation entre Candide et Cunégonde pour ne pas se faire bruler, cela me donne envie de lire la suite et de savoir ce qu’il va se passer, je pense qu’ils vont se retrouver mais dans de sales états.

Chapitre 14 : Personnellement, je trouve que tout s’enchaine vite, mais cela fait avancer l’histoire, je me pose la question ; quand est-ce que Candide et Cunégonde pourront vivre leur vie amoureuse en paix ? Grande révélation, découverte du frère de Cunégonde.

Chapitre 15 : Grand étonnement de ma part suite à la mort du frère de Cunégonde,  tué par Candide suite à une dispute, une petite querelle qui finit par enlever la vie à l’ami, au beau-frère de Candide.

Chapitre 16 : Candide est comme traumatisé par les faits, il pense toujours à sa bien aimée, je trouve que c’est un amour impossible, tout se passe de la pire des manières possibles. J’ai bien aimé l’ironie de Cacambo.

Chapitre 17 : Un trajet assez catastrophique mais au final un accueil chaleureux par deux garçons et deux filles d’une hôtellerie.

Chapitre 18 : Je pense plus que le pays d’Eldorado est une utopie, une description d'un pays imaginaire. De voyages en voyages.

Chapitre 19 : Nouveau voyage. Pangloss reste encré dans la tête de Candide, première fois qu’il parle de « l’optimisme » en parlant avec « le nègre », qui lui a tenu un discours sur sa hiérarchie et a remis en cause son existence.

Chapitre 20 : Je trouve le discours de Martin ennuyant, je pense qu’on pouvait s’en passer, Candide se réconforte de l’idée de retrouver Cunégonde en ayant trouvé un mouton à bord.

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