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Analyse de la tragédie Andromaque de Jean Racine

Commentaire de texte : Analyse de la tragédie Andromaque de Jean Racine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Mai 2013  •  Commentaire de texte  •  639 Mots (3 Pages)  •  776 Vues

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Les quatre textes qui constituent le corpus ont de nombreux points communs puisqu’ils relèvent de l’esthétique romantique et ont tous été écrits dans la première moitié du XIX° siècle. Nous trouvons des thèmes communs comme l’évasion qui apparaît dans le texte de Chateaubriand « Alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande ». De même dans le texte de A. Lamartine, au vers 8 où l’auteur veut être emporté par le vent « Emportez-moi comme elle ». Aussi dans le texte de G.Nerval au vers 6, l’auteur nous cite une colline à l'Ouest de Naples « Rends-moi la Pausilippe». Ou encore dans le texte de V.Hugo, il est question de s‘évader vers le bonheur au premier vers « Quand nous enfuirons-nous dans la joie infinie ?».

Le thème de la nature apparait aussi dans les textes, comme dans le texte de Chateaubriand où le ciel parle au voyageur à la ligne 2 « Mais une voix du ciel semblait me dire ». Aussi dans le texte de la A.Martine, l’auteur se compare à la nature au vers 4 « Il n’est rien de commun entre la terre et moi » . De même dans le texte de G. Nerval l’auteur nous fait savoir qu’une fleur lui plait particulièrement au vers 7 « La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé ». Ainsi que dans le texte de V.hugo, le ciel bleu fait référencé à l’harmonie au vers 3. « Où l’on voit, à travers l’azur de l’harmonie,».

De plus nous retrouvons le thème de la tristesse dans les textes, comme dans le texte de Chateaubriand, René a une sous-estime de soi à la ligne 1 et 2 « Je sentais que je n’étais moi-même qu’un voyageur, ». Aussi dans le texte de A.Lamartine, L’auteur à un sentiment d’être étranger sur terre au vers 3 « Le vent du soir se lève et l’arrache aux vallons ». Ainsi qu’au vers 3 du Texte de G.Nerval l’auteur nous annonce la mort d’un être chère « Ma seule étoile est morte ». Ou encore dans le texte de V.Hugo, il y a a une ambiance de tristesse infini au vers 5 « Quand viendrez-vous chercher notre humble cœur qui sombre ? »

Nous retrouvons aussi des points communs au niveau de l’écriture dans ces textes. Par exemple les textes sont écrits soit à la première personne du singulier, soit à la première personne du pluriel. Comme le texte de Chateaubriand, c’est René, l’héros du roman qui parle à la ligne 1 « Je sentais » . De même dans le texte A.Lamartine, où c’est le poète qui s’exprime à la première personne du singulier au vers 1 « Que ne puis-je, porté sur le char de l’Aurore ». C’est identique pour le texte de G.Nerval au vers 1 «je suis ténébreux, - le veuf, l’inconsolé ». Par contre dans le texte de V.Hugo s’exprime à la première personne du pluriel comme au vers 1 « Quand nous enfuirons-nous dans la joie infinie »

Tous ces textes appartiennent il y a présence à la l’écriture lyrique, vu que dans chaque texte les personnages ressentent des émotions personnelles intenses. Comme dans le texte de Chateaubriand, René se sentait fort face à la nature au lignes 9 « Le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas » Aussi dans le texte de A.Lamartine où le poète se donne des ordres au vers 3 « Vague objet de mes vœux, m’élancer jusqu’à toi !». Ainsi que dans le G.Nerval l’auteur à l’impression d’appartenir à l’enfer au vers 1 « Je suis le ténébreux

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