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Par   •  24 Novembre 2015  •  Fiche  •  415 Mots (2 Pages)  •  709 Vues

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Au cours du 17e siècle, il n’était pas rare qu’une jeune mariée devenait veuve à un jeune âge. Les maris avaient des emplois risqués et les maladies étaient fatales, ce qui augmentait considérablement le taux de mortalité. La seule chose que ces jeunes veuves pouvaient faire était de passer le temps, car le temps arrange toujours les choses. Jean de la Fontaine, un écrivain du 17e siècle reconnu pour ses fables, a écrit une fable concernant les jeunes veuves de son époque dans son livre Fables écrit en 1668. Cette fable, qui s’appelle << La jeune Veuve >>, illustre bien l’adage voulant que le temps fasse bien les choses. Ce texte démontrera cet adage en s’attardant sur les intentions des personnages, l’évolution du récit, ainsi que sur la morale.

Tout d’abord, les intentions des personnages prouve que le temps fait bien les choses. En effet, les intentions de la jeune veuve changent tout au long du récit. Au début, quand son mari meurt, elle veut mourir avec lui : << Attends-moi, je te suis;… >> (l.18). Ainsi, Cette citation démontre qu’au début elle veut suivre son mari dans la mort, qu’elle ne veut plus vivre. Par contre, vers la fin, elle veut se remarier et elle a complètement oublié son mari décédé : << où est donc le jeune mari que vous m’avez promis? >> (l.47). Cette citation prouve que la jeune veuve a oublier son ancien mari et qu’elle est prête à se remarier. Bref, Ces deux citations prouvent que le temps fait bien les choses, car le temps lui a permis d’oublier son mari décédé qui la rendait triste, et elle est heureuse à la fin. Ensuite, le père, qui est sage, attends que le temps passe avant de proposer un nouveau mari à sa fille : << Il laissa le torrent couler. >> (l.22). Cette métaphore signifie que sa fille pleurait abondamment, mais qu’il savait que ça ne servait à rien d’essayer de la consoler. Plusieurs mois plus tard, le père, sage, << … ne craint plus ce défunt tant chéri;… >> (l.45), le défunt étant le mari de la veuve. Le père a laissé le temps passer et maintenant que la jeune veuve ne pense plus à son mari, le père n’a plus peur de proposer à sa fille un nouveau mari. Bref, les intentions de la jeune veuve et le sage père de la veuve qui attends que le temps passe ce qui démontre que le temps fait bien les choses.

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