Texte d'éloquence

Arguments; étoffés d’anecdotes, de citation, d’exemples concrets

Intéresser l’auditoire; expression oral + physique, oral doit être dynamique >> plaidoirie

Les inclure dans le texte « nous, vous » « mesdames messieurs le jurés etc » + utilisation d’interrogation >> remise en question de l’auditoire-

Français: travail sur l’éloquence.

« Le fait que l’homme distingue le bien du mal prouve sa supériorité intellectuelle par rapport à d’autre créature, mais le fait qu’il puisse mal agir  prouve l’infériorité de son esprit » - Mark Twain

Vous êtes vous déjà demandez si ce que vous faisiez était mal? Ou vous êtes peut être déjà surpris en pleine action de ces méfaits mais cela ne vous importait peu? Et bien sachez qu’un grand philosophe a un jour dit; « le fait que l’homme distingue le bien du mal prouve sa supériorité intellectuelle par rapport à d’autre créature, mais le fait qu’il puisse mal agir prouve l’infériorité de son esprit ».

Tout d’abords, bonjour à tous. Pour la bienséance de cette éloquence j’ai décidé aujourd’hui de parler non pas de sujets qui fâchent mais plutôt de sujets qui font réfléchir et qui, peut être, pourront servir à votre réflection dans vos choix personnels. Je pense qu’après lecture de cette citation on peut avoir notre propre définition de celle ci et puisque chacun et chacune présent ici, possède un parcours et une vision propre à lui, je vais me référer à ma vison personnelle afin de rendre les choses plus faciles.

Je vous propose de commencer tout d’abord par la définition du bien ainsi que celle du mal;

dans le Larousse,  En droit le bien s’agit d’un chose matérielle ou droit susceptible de faire partie d’un patrimoine.

En économie il s’agit d’un produit apte à satisfaire les besoins et disponible à cet usage.

En philosophie nous avons aussi des avis qui divergent;

Pour Platon c’est un objectif suprême vers lequel se dirige le sage et à l’égard duquel les autres objectifs sont subordonnés.

Pour Kant c’est le but final théorique imposé par la loi morale, que tout homme possède « au fond de son coeur ».

J’ai donc chercher la définition de son contraire et je n’ai pu que trouver des définitions comme ;

« souffrance physique affectant une partie du corps »

« Maladie ou phénomène qui détériore quelque chose, une situation »

« Ce qui est susceptible de nuire de faire souffrir ce qui n’est pas adapté »

« Ce qui est contraire au bon, à la vertu; ce qui est condamné de morale; faire le mal pour le mal »

 Comme vous pourrez le remarquer ci-contre plusieurs définition s’offrent à nous, même vous, pourriez avoir la votre. Chaque domaine, chaque situations , chaque personne a sa perception du bien et du mal. Nous pouvons dire que nous naissons en théorie neutre mais notre environnement, notre éducation, nos choix vont faire que nous allons évoluer avec une limite propre a nous du bien et du mal, ce qui en suit qu’une situation anodine pour nous pourrait être perçue différemment par une autre personne et inversement.  Ce qui m’amène à me poser cette simple question; « quelle est la limite entre le bien et le mal? »

Selon Stefan Zeromski; «  la limite entre le mal et le bien est aussi mobile et instable qu’un sentier de crête en craie fondante » ce qui pour moi confirme encore une fois le fait que chaque individu pourra avoir sa propre limite. C’est vrai, une personne mauvaise pour quelqu’un ne l’est pas forcement pour vous, ou encore; un plat qui paraît mauvais à quelqu’un peut être un délice pour vous, tout un tas d’exemple simplement pour illustrer l’infime limite qui sépare ces deux choses totalement divergentes.

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