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1. A) Selon le modèle de Karasek et Theorell (1990), qu’arrive t-il si l’employeur augmente à la fois la charge quantitative et qualitative de travail et la charge physique et psychologique?

La charge de travail quantitative et qualitative, physique et psychologique, doit être proportionnel aux capacités et au potentiel d’adaptation du travailleur. Lorsqu’elle dépasse ses limites physiologiques et psychologiques, il y a menace d’épuisemenent professionnel ou d’autre symptomes tel que la fatigue intense, les maux de tête, les maux de dos, serrement au niveau de la poitrine, l’urticaire, insomnie et beaucoup d’autres encore.

B) Qu’arrive t-il si l’employeur augmente la responsabilité des travailleurs quant au résultat? 

Si l’on augmente la responsabilité des travailleurs envers le résultat, leur engagement dans des relations personnelles investies dans l’exécution du travail, chaque heure travaillée entraîne  une fatigue plus grande.

C) Qu’arrive t-il si l’employeur réduit l’autonomie du travailleur et sa latitude décisionnelle au travail?

La réduction de l’autonomie et de la latitude décisionnelle au travail, à la fois dans les décisions en matière de présence au travail, d’aménagement des heures et des lieux de travail, et d’exécution du travail, augmente aussi la tension au travail.

1. A) Pour quelles raisons est-il difficile de prouver que la lésion attribuable aux horaire par quarts (de soir et de nuit) est professionnelle?

Le lien entre les lésion et les horaire par quart est difficile a établir car il ne satisfait pas aux critère des problème ou des symptomes dits spécifiques. Les problèmes de santé qui en découlent sont généraux et peuvent être imputé a diverse causes. Ainsi, le lien avec le travail risque d’être difficile a établir, étant donnée le caratère flou des maladies professionnelles découlant de l’usure.

1. Qu’arrive-t-il de ces lésions?

On  les indemnisera souvent à même les régimes collectifs d’assurance-salaire liés à l’employeur et non par la CSST.    

1. Dans le cadre d’une organisation du travail du type gestion par projets, quelles sont les conséquences de la demande du client sur l’autonomie au travail pour les travailleurs du savoir dans le secteur des service technologiques aux entreprises, par exemple?

La pression ressentie est très grande et les professionnels qui travaillent dans ce secteur augmentent leurs heures de travail de façon notoire pour satisfaire à cette pression. Ces heures supplémentaires sont à l’initiative du travailleur et ne sont pas rémunérées. Ils sont ainsi plus disposés à donner de la flexibilité et de la disponibilité car ceux-ci sont soucieux en premier chef de leur réputation dans un domaine où la concurrence est élevé. Donc bien qu’ils aient une plus grande latitude décisionnelle, ils ce retrouvent également avec des contraintes temporelles  auquelles ils doivent faire face.

1. Distinguez surcharge quantitative et surcharge qualitative de travail selon le modèle de Karasek et Théorell (1990).

La surchage quantitative survient lorsqu’un employé doit accomplir trop de tâche à la fois ou , encore, effectuer des tâches dans une période de temps insuffisante. En résumé quand un employé à trop de chose a faire à lui seul.

La surcharge qualitative quant à elle survient lorsque on exige trop intellectuellement d’un travailleur par rapport à sa formation, à l’information qu’il détient pour le travail, lorsqu’on le soumet à des contraintes de temps inappropriées par rapport à ses capacités et au niveau de difficulté de la tâche. Donc en résumé lorsqu’on demande au travailleur d’effectué un travail pour lequel il n’est pas apte ou en mesure d’accomplir efficacement au mieux de ses habilités.

1. A) Les travaux de recherche sur l’âge, le travail et la santé des taravilleurs vieillissants veulent établir un lien entre ces trois facteurs. Que nous apprennent les résultats de recherche sur le viellissement des travailleur? Distinguez les résultats connus des études de cas à petite échelle de ceux des études staistique sur de grande populations; comptez au moins une page pour répondre.

Les études de cas à petite échelle on chercher a démontrer quant es-ce que l’on devient trop vieux pour faire poursuivre a occuper le même travail. Il est ressortit que ce sont les contraintes physiques qui jouaient un rôle prédominent dans l’usure du travailleur l’amenant au point au celui-ci ne peux plus occuper sont poste. Ces contraintes sont bien sur bien plus présente dans les emplois de col bleu, on constatent en effet que les départs à la retraite pour des raisons d’âge ou d’invalidité sont deux fois plus nombreux chez ceux-ci que chez les col blanc (David et Bagouette, 1986).

Dans une autre études réalisé en Finlande on en est arrivé à des résultat semblable, il est ressortit des résultats similaires soit que le taux de prévalence de trouble musculosuqlettiques dans cette population (travailleurs municipaux) était deux fois supérieur à celui de la moyenne de la population (population régulière). C’est résultat amène à la conclusionque plus les travailleur avance en âg, plus ils risque de souffrir de maladie chronique qui peux ou non affecter leur capacité de travail (Seitsamo et Klockars, 1997).

Les étude statistique su les grande popultion quant à elle on permis de mettre en lumière que : « le taux d’incidence des accidents de travail décline avec l’âge mais que leur gravité augmente. » (David, 1997, p.54). Ainsi les employé en viellissant dévelloppe des technique compensatoire qui leur permettent de meiux performer et d’éviter les blessures pourvant mener a des maladies musculosquletiques    malgré qu’ils y sont plus propice.

Une chose est néanmoins certaine c’est qu’afin de bien repérer et établir ou non des relations avec les contraintes propre au milieu de travail, seule les études de cas le permettent.

B) Quelles sont les contraintes de travail les plus à risque à long terme pour la santé des travailleurs? Associez les contrainte de travail au risques pour la santé à long terme. Inscrivez votre réponse dans la colonne de gauche.

1. A) Le travail répétitif risque de créer à long terme des troubles musculosquelettiques graves pour la santé du travailleur. Comment les chercheurs choisissent-ils l’échantillon nécessaire à l’étude des liens de cause à effet, c’est-à-dire l’échantillon nécessaire pour établir une relation entre le travail répétitif à long terme et les troubles musculosquelettiques?

 Afin d’avoir un échantillon représentatif il est important de parler aux personnes en poste mais aussi a ceux qui ont quitté l’emploi. Si on étudie seulement les personnes présentement en poste, qu’on peux donc considéré apte au travail et en santé ou des personnes plus résistantes, un tel échantillon orienterais les résultats en fonction de ceux-ci car les personnes les plus atteintes seraient absentes.

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