Organisation

Sylvia SIMON JEAN

TC1 groupe d

TD N°4 :L’organisation du travail

Document : des facteurs matériels et humains

1. Le seul élément de motivation pour Taylor est la rémunération (salaire).Il met en place pour ceci le travail payé à la tâche, plus le salarié sera performant dans son travail, plus il exercera des tâche plus son salaire sera élevé.

1. Au contraire de Taylor, E. Mayo estime, prouve par ces travaux que ce n’est pas seulement par le salaire qu’on peut motiver les salariés, que l’on peut espérer avoir une forte productivité au sein d’une organisation : En 1920 E. Mayo étudie les comportements des salariés (causes de la fatigue, de l’absentéisme…) de la Western Electric. Premièrement il étudie sur l’effet de l’éclairage sur les travails des ouvriers ; il en conclue que même si l’on diminue l’éclairage la productivité progressait (ceci n’avait aucun impact sur la productivité de l’organisation).Mais les ouvriers travaillant au sein de l’organisation pense qu’ils sont avant tout motivé par leur appartenance à un groupe social, qu’ils sont liés par des relations de confiance.

La conclusion que l’on peut en tirer Selon les travaux de Mayo sont le fait que : La quantité de travail d’une personne ne réside pas seulement dans sa force (capacité physique), mais dans  le sentiment d’appartenance (discussion, coopération, solidarité entres les membres du groupe), qui s’établie en lui. C’est donc le sentiment d’appartenance qui est au cœur de la motivation des employés, salariés.

1. Selon Taylor le seul élément de motivation pour les salariés est leur salaire ; ceci peut être intégrer dans la catégorie des besoins physiologique et de sécurité car : Pour pouvoir accomplir ces besoins vitaux, physiologique (se nourrir, se loger, se vêtir…), Il nous faut un revenu (le salaire), plus on aura un salaire élevé plus on satisfera ces besoins essentiel à la survie ;Mais aussi dans la catégorie de besoin de sécurité car ces avec un salaire assez élevé que l’on pourra satisfaire nos besoin de se sentir en sécurité ,à l’abri des menaces.

Mais les études de Mayo nous confirment que la rémunération n’est le seul levier de motivation pour le salarié, mais que d’autres facteurs entrent en ligne de compte. La motivation des salariés est un facteur très important de performance pour une organisation. Elles se traduisent donc par les besoins d’appartenance (relève de la culture d’entreprise, de l’organisation), de reconnaissance (relève des compétences et du travail accompli) et d’accomplissement (combinaison des deux derniers éléments) pour les individus. Ces besoins créent donc la solidarité, une coopération entre les membres, ce qui créer surtout un besoin d’appartenance aux seins d’un groupe de travail.

1. L’OST ne prenait pas en compte les besoins estime et d’accomplissement des individus : selon la théorie bifactorielle de Herzberg : d’une part, il existe un certain nombre de facteurs qui peuvent réduire l'insatisfaction de l’individu au travail : facteurs qualifiés facteurs d'hygiène, qui  ne sont pas une source de motivation pour l'individu, mais qui  créer une insatisfaction ; D'autre part, il existe d’autres facteurs qualifiés  facteurs de satisfactions, qui eux peuvent augmenter le degré de satisfaction au travail et motiver les gens à fournir un meilleur travail . Ils sont considérés comme des facteurs essentiels au développement et à l'épanouissement de l'individu dans son travail, par exemple et surtout les responsabilités aux travails ; ces deux  éléments ne sont pas pris en compte par les organisations taylorienne. Les salariés ne sont donc pas motiver ce qui a donc un impact sur la productivité d’une organisation.

Document : Mettre en place des mécanismes de coordination :

1. Les mécanismes de coordination mis en place au sein de BP sont : (selon le document 3)

La supervision directe : John Brown a fondé British pétroleur ; il pilote à partir de business unit (pilotée pars des patrons opérationnel) British Petroleum.

La standardisation des résultats : L’équipe se fixe des objectifs précis à atteindre (strict contrôle financier) ; en vérifiant scrupuleusement que chaque unité de travail obtienne les résultats fixés précédemment

La standardisation des procédés de travail : L’équipe central s’occupe aussi de diffuser des méthodes, valeurs communes et les mêmes pratiques de travail ; ce qui créer une coordination au sein de l’organisation.

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