La contraception

La

Contraception

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Introduction :

La contraception désigne l’emploi de moyen visant à empêcher qu’un rapport sexuel entraine une grossesse. Elle est définie par l’Organisation mondiale de la santé comme étant « l’utilisation d’agents, de dispositifs, de méthodes ou de procédures pour diminuer la probabilité de conception ou l’éviter ». Il existe plusieurs moyens de contraception, d’action locale ou générale, à l’efficacité et aux contraintes variables. Ce qui revient à nous poser une problématique :

Quels sont les moyens préventifs pour qu’un rapport sexuel n’entraine une grossesse non désirée ?

En premier lieu nous allons d’abord étudier l’évolution des contraceptifs au fil du temps, puis les moyens disponibles et leur efficacité, puis nous verrons les différentes générations de pilule et la polémique liée à cela, et pour finir les solutions éventuelles si les moyens préventifs ont échoué.

Déjà dans le monde antique, les personnes se protégeaient. On peut prendre exemple avec les Mésopotamiens (1600 av J-C) où les femmes utilisaient des pierres pour ne pas concevoir : elles choisissaient des pierres ovales ou arrondies qu’elles introduisaient dans leur vagin, le plus loin possible, c’est la méthode intra-utérine. En Egypte, le Papyrus Ebers prescrit plusieurs recettes contraceptives, à base d’excréments de crocodiles, de natron, de miel et de gomme arabique. On dit que les premiers préservatifs masculins étaient égyptiens, confectionnés à partir d’intestins de petits animaux (chats …). Selon certains auteurs, il existerait aussi, dans les papyrus Egyptiens, des écrits disant que Ramses aurait fait distribuer à la population des contraceptifs pour limiter la surpopulation et ainsi la famine.

Chez les femmes grecques, à partir du IIe siècle, pratiquaient l’avortement ou introduisaient un tampon mais ce tampon n’était autre qu’une éponge dénommée « mignonnette ».

Au Moyen-Age, d’une façon générale, l’Eglise catholique condamne à cette époque toute relation sexuelle dont la finalité n’est pas procréatrice ou qui s’accompagne de pratiques contraceptives. Cependant, malgré ces « lois » religieuses la contraception reste importante et la fécondité modérée.

A la Renaissance, la fécondité reste aussi modérée. Il existe aussi plusieurs croyances (entre le 11e et 15e siècle), plus farfelues les unes comme les autres, telles que :

• Enflammer un trognon de chou et l’éteindre dans le sang des règles
• Cracher 3 fois dans la bouche d’une grenouille
• Un talisman, composé de fiente d’éléphant mélangée au lait de jument, se plaçant sur la vulve

Il faudra attendre le 16e siècle pour le premier préservatif à base d’herbes.

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[pic 3]Il existe pleins de moyens de contraception de nos jours, je vais d’ailleurs vous les présenter, en commençant par celui que tout le monde connait : Le Préservatif.

Le préservatif est l’un des contraceptifs le plus utilisé au monde. C’est un moyen sûr pour éviter une grossesse. Son efficacité est de 98% s’il est utilisé correctement. Mais dans le cas contraire, son efficacité tombe à 85%, étant donné qu’il peut avoir des accidents comme le préservatif restant dans le vagin ou alors qu’il craque. Le préservatif est aussi le seul à se protéger contre les infections sexuellement transmissibles, telles que le SIDA. Le préservatif est tout aussi bien masculin que féminin.

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