La contraception

1- La vente de contraceptifs, dont la pilule est autorisée en 1967. L’avortement est voté en 1975 à titre provisoire et devient définitif en 1979.

2- Les grandes actions qui illustrent le combat pour l’IVG entre 1967 et 1974 sont tout d’abord le vote de la loi Neuwirth, la déclaration des 343 femmes qui avouent avoir avorté dans le « Nouvel observateur », les mobilisations féministes lors d’un procès d’une jeune fille ayant avorté clandestinement, et enfin le projet de loi de Simone Veil en faveur de l’interruption volontaire de grossesse.

3- La loi sur « l’interruption volontaire de grossesse », est votée provisoirement en 1975, pour une période de 5 ans. Elle devient définitive qu’en 1979. Donc 4 ans après.

4- Un Centre de Planning Familial est un lieu d’accueil ouvert à tous où chacun peut s’exprimer librement, se confier sur des problèmes au sein de la famille, mais aussi de permettre aux femmes de choisir quand elles veulent avoir un enfant. C’est donc la planification de la vie familiale, surtout celle des naissances.

5- Les éléments renvoyant à l’idée de bonheur dans le document 2 sont tout d’abord : la phrase « un droit, mon choix, notre liberté », ainsi que des images représentant des personnes souriantes, enlaçant leurs enfants, cela renvoi à l’idée du bonheur familial, et d’autres personnes enlaçant leur partenaire.

6- Ce débat est toujours d’actualité car beaucoup ne sont pas informés des moyens contraceptifs, ou ne sont pas informés des conséquences qui peuvent suivre. C’est le cas notamment chez les adolescents, il y a encore beaucoup de grossesses involontaires chez les adolescentes.

7- « La loi les rejette non seulement dans l’opprobre, la honte et la solitude, mais aussi dans l’anonymat et l’angoisse des poursuites. Contraintes de cacher leur état, trop souvent elles ne trouvent personne pour les écouter… » (ligne 7 à 11).

8- Avant 1974 la loi était inadaptée car personne ne se préoccupait d’aider ces femmes en détresse, elles étaient délaissées et donc obligées de cacher leur grossesse pour éviter les poursuites.

9- Le projet de loi présenté en 1974, vise à favoriser l’IVG sans conséquences ainsi que d’aider et reconnaitre ces femmes.

10- Cet opposant à la loi utilise les arguments du traumatisme psychique et des séquelles physiques qui compromettent l’avenir et la santé de la femme et des futurs enfants.

11- Les mots qui traduisent la violence du combat sont : « campagne déchaînées », « projet de résignation et de désespérance ».

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