Fahrenheit 451

Fahrenheit 451

1. L’auteur :

Ray Bradbury (Raymond Douglas Bradbury) : né le 22 aout 1920 à Waukegan dans l’Illinois et mort le 5 juin 2012 à los Angeles.

Ecrivain américain du genre de l’anticipation est connu pour ses Chroniques martiennes écrites en 1950, L’Homme Illustré recueil de nouvelles publiées en 1951 et surtout Fahrenheit 451 roman dystopique publié en 1953.

Réputé pour son franc-parler

Sa vie : vend des journaux, écrit des nouvelles (17 ans ), se marie avec Marguerite McClure, 4 filles, succès années 1950, attaque cérébrale

Né en 1920 dans l’Illinois, Ray Bradbury se destine très rapidement a une carrière littéraire, fondant dès l’âge de 14 ans un magazine amateur pour publié ses textes. Malgré quelques nouvelles fantastiques, paru dans des supports spécialisés, son style poétique ne rencontre le succès qu’à la fin des années 40, avec la publication d’une série de nouvelles oniriques et mélancoliques, plus tard réunies sous le titre de chronique Martiennes. Publié en 1953, Fahrenheit 451 assois la réputation mondiale de l’auteur, et sera adapté au cinéma par François Truffaut. Il s’est éteint en 2012. .

2. Le livre

Ecrit par Ray Bradbury et publié en 1953 aux Etats Unis, Parait en France en 1955. Titre fait référence à la température à laquelle un livre s’enflamme. Fahrenheit 451 est un roman de science-fiction dystopique. Car c’est une société totalitaire où les libertés sont supprimées. Le personnage est convaincu de connaitre le bonheur mais au cours de l’histoire il se rend compte qu’il n’est pas heureux.

Le personnage principal est Guy Montag, pompier vivant dans une société dystopique. Dans ce monde les pompiers brulent les livres car ils empêchent soi-disant d’atteindre le bonheur. Au début du récit Montag est « heureux »et se plie aux règles de la société : il a une vie rythmée ou il n’a pas le temps de réfléchir ni de profiter du monde. Il fait son travail, paye des murs parlants à sa femme appelés « famille »… mais un jour il rencontre une jeune fille qui le fait réfléchir. Il vole des livres, se met à les lire et à penser par lui-même ce qui en fait un dangereux criminel. Il est dénoncé par sa femme, est obligé de bruler sa propre maison à cause de son chef et s’enfui de la ville avec l’aide d’un ami : Faber. Mais un robot chien limier le poursuit. Il rencontre d’autres personnes comme lui, qui aime les livres et les retiennes dans leur tête pour ne pas être arrêter et pour transmettre la mémoire.

3. Valeurs morales, mise en garde, messages

Dans ce livre, Bradbury emmène son lecteur très loin dans une réflexion sur la censure, la culture de masse, la perte de valeurs (humaines) et de sens.

Il imagine une société totalitaire. Son objectif, le bonheur pour tous, le respect de l'individu et de ses particularités mais c’est un discours qui cachent un monde devenu vide et absurde. Difficile de ne pas faire le lien avec les régimes communistes par exemple: le travail collectif, l'utilité sociale érigée au rang de valeur centrale*, au point que peu importe le travail,

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