Lecture analytique: Fahrenheit 451, R.BRADBURY

OBJET D’ETUDE n°1 : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation

SEQUENCE 1 : Le savoir et la science font-ils progresser l’Homme ?

Lecture analytique n°3 : Fahrenheit 451, R.BRADBURY

1. Une argumentation convaincante à propos de la disparition des livres

1. Un texte argumenté

• l’auteur apporte des faits qu’il pense universel: avec présent de vérité général “montrent”, “veulent”, il souhaite montré des vérités
• Bradbury incite le lecteur à s’interroger : avec des questions réthoriques “Savez-vous pourquoi des livres comme celui-ci ont une telle importance ?”

      B.          Le savoir à travers les livres mais pas uniquement

• les livres possèdent une âme : personnification des livres “Ce livre a des pores”, le livre est comme un être-vivant
• Ray accentue à proposdu fait que dans cette dystopie le savoir se trouve dans de vieux supports : répétion “dans les vieux disques, les vieux films, les vieux amis”, on ne trouve plus le savoir aussi facilement qu’auparavant
• hiérarchisation des écrivains : avec parallélisme “Les bons écrivains // touchent souvent la vie du doigts. Les médiocres // ne font que l’effleurer. Les mauvais // la violent et l’abandonnent aux mouches.”

1. Interpellation implicite et critique de la société

1. L’opinion implicite de R.BRADBURY

• l’écrivain possède un opinion bien précis du livre : mise en emphase de l’adjectif possessif ma “C’est du moins ma définition. Donner des détails.”, il nous partage sa propre définition de cet objet
• Ray donne des conseil au lecteur : avec l’impératif “cherchez-le” ou “prenez-le”, il essaye de le guider

      B.          Dénonciation de la société moderne

• Montag n’est pas heureux : métaphore “Qu’est-ce qui a fait tomber la torche de vos mains ?”, Montag n’a pas d’étincelle dans les yeux
• le romancier dénonce le comprtement des gens : avec personnification “Les gens installés dans leur tranquilité ne veulent que des faces de lunes bien lisses, sans pores, sans poils, sans expression.”, les humains ne veulent pas voir la réalité en face

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