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En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?

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Par   •  1 Novembre 2014  •  2 352 Mots (10 Pages)  •  995 Vues

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ADM 1002 TN1 SÉRIE A

Question 1

L’entreprise Assurance Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail car, premièrement l’organigramme illustré dans le cas le démontre bien. Deuxièmement, la société comporte trois départements, soit la division vie qui vend des polices d’assurance vie de type conventionnelle, ce département représente 50% des revenus de prime de l’entreprise.

Le deuxième département est la division industrielle, celle-ci se spécialise dans la vente de police d’assurance-accident, assurance-invalidité ainsi que des compléments d’assurance-maladie pour les organisations désireuses de l’offrir à ces employés. Cette division représentait 20% des revenus de prime.

Pour finir, l’entreprise comptait sur la division médicale qui pour sa part vendait des régimes d’assurance médicament et soins dentaires. Cette division représentait à elle 30% des revenus de primes de l’entreprise.

Tel que démontré par les pourcentages de chaque division, elles ont tous une importance pour les revenus de la société, ce qui à pour conséquence qu’elles fonctionnent dans un environnement administratif et dans un contexte de marketing bien différent de sorte qu’elles sont gérées comme des entités virtuellement différentes et indépendantes.

Il ne faut pas passer sous silence que chaque division à son propre organigramme tel qu’illustré dans le cas et que celles-ci fonctionnaient comme une entreprise commerciale autonome. La division médicale par exemple comptait 66 employés et tous travaillaient dans le département donc leurs compétences étaient requises.

Le principe de division du travail qu’avançait M. Adam Smith permettait d’augmenter la production, les habiletés et de favoriser l’innovation tout en réduisant les coûts et le temps d’exécution. Selon M. Charles Babbage, la division du travail va plus loin en confiant le travail à des personnes différentes et ceux-ci rémunérés selon la difficulté du travail. Donc l’entreprise Assurance Sécuriplus cadre bien dans ces idées pour les raisons mentionnées ci-dessus.

Pour ce qui est du principe de l’organisation spécifique du travail, l’entreprise Assurance Sécuriplus répond plus ou moins aux principes pensés par M. Taylor.

Tout d’abord, le premier principe consiste à se que la direction de l’entreprise ait la responsabilité de faire des recherches par le biais d’analyses, pour savoir et pour trouver, entre autres, la meilleure méthode pour réaliser une tâche. Ce qui a été fait, car le cas démontre bien l’étude en voyant les résultats du tableau « Pourcentage du temps consacré à chaque activité par type de réclamations ». Par contre, cette étude demeura cachée et l’entreprise ne chercha pas à corriger les erreurs que ces vérifications avaient mises au jour et n’avait pas non plus averti les commis des problèmes que cette étude avait ressorties. Ce qui nous démontre clairement que le deuxième principe selon Taylor n’est nullement respecté. Ce principe consiste à faire le recrutement de l’individu le plus apte à accomplir la tâche par une étude volontaire du caractère, tempérament et du rendement de chaque ressource.

En analysant ces résultats, l’entreprise doit prendre ensuite des décisions en lien avec la ou les problématiques relevées selon les principes de Taylor. Pour cette entreprise, comme M. Blancette le mentionne, les commis ont reçu de la formation à l’interne et ont suivi des cours de saisie et de traitement de données à l’extérieur. La formation n’est peut-être pas suffisante à en voir les résultats et les dires de certains employés , il revient donc à M. Blanchette de reviser ce principe qui n’est pas tout à fait respecté.

Au début du cas, M. Blanchette mentionne qu’il se demande parfois si son emploi en vaut vraiment la peine. Il commence même à penser qu’il faudrait congédier quelques-uns de ses employés pour, selon des dires, donner un avertissement sérieux aux autres. Un des principes de Taylor dicte qu’il incombe à la direction, donc à M. Blanchette, de planifier, d’analyser et de systématiser les tâches. Les employés, de leur côté, exécutent les tâches. Chacun à sa place et à ces obligations. Finalement, l’entreprise répond sur certains points et d’autres non, il serait à la direction de reviser des politiques et façons de faire pour ensuite corriger le tir.

Question 2

Pour ce qui est si l’entreprise Assurance Sécuriplus correspond ou pas aux quatorze principes administratifs tel que défini par M. Henri Fayol, prenons-les un à un pour bien les décrire.

Le premier principe est la division du travail et que chaque travailleur soit spécialisé. Tel que mentionné et expliqué dans la question1, l’entreprise répond bien à ce principe, car chaque division avait sa propre direction, équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau et est formé pour le faire.

Le deuxième principe est l’autorité et la responsabilité. M. Blanchette qui est à la direction du service de réclamations/médicaments à donc le droit de donner des ordres et à le pouvoir de les faires exécuter. Il dirige son équipe, rencontre ces employés à son bureau et fait passé des mémos lorsqu’il doit faire passer un message à l’ensemble de ces ressources.

La discipline est le troisième principe. Les membres doivent se plier aux conventions explicites ou tacites établies dans l’entreprise en matière d’obéissance, d’assiduité, d’activité et de marques de respect. Par contre, il ne faut pas passer sous silence la précision d’Henri Fayol qui dit que lorsqu’un défaut de discipline se manifeste ou lorsque l’entente en chef et subordonnés laisse à désirer, il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs. Dans le cas, M. Blanchette dit clairement que tout est de la faute et tout revient à ces employés en affirmant que ces subordonnés semblent totalement incapables de s’acquitter correctement de leurs tâches.

Il ne mentionne jamais qu’il aurait intérêt à se « regarder dans le miroir »!

Par la suite, Henri Fayol, propose l’unité de commandement et de direction. Chaque personne ne doit dépendre que d’un seul chef. L’entreprise correspond bien à ce principe, car tel que mentionné, les employés du département réclamations/médicaments se réfèrent directement à M. Blanchette

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