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Devoir 02 Culture général BTS CI CNED

Étude de cas : Devoir 02 Culture général BTS CI CNED. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Juin 2018  •  Étude de cas  •  1 616 Mots (7 Pages)  •  1 240 Vues

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Observations générales :

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  1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir

1.1. Le premier document est une lettre publique de type argumentatif. L'auteur de cette lettre est Françoise Dumont en 2016, elle parle dans cette lettre du droits des enfants roms à l'éducation en France.

Les idées principales dans ce document sont qu'en France, l'éducation des enfants roms est interrompu par les évacuation forcées et les expulsions des familles roms, souvent en hiver c'est à dire en pleine année scolaire, malgré des bons résultats de ces enfants à l'école. Il existe même des communes qui refusent d'accepter des enfants roms dans leurs écoles par crainte d'attirer une installation des roms dans leur communes. Plusieurs organisations s'intéressent et interviennent dans ce problème, dont l'Unicef.

1.2. Le document 2 est un article de presse composé d'une photographie de type descriptif. L'extrait qui suit la photographie est un texte fonctionnel de type narratif. Le document montre et raconte l'expulsion et la survie d'une famille rom bulgare, notamment du garçon de la famille : Salvi.

Les idées principales dans ce document sont les très mauvaises conditions de vie des familles roms qui sont expulser des camps de réfugiés et retrouve a vivre dans la rue où ils sont toujours contraint d'être expulser et sous un risque d'être séparer de leur enfant.

1.3. Le document 3 est un article de presse de type informatif, écrit par Juliette Benabent publié le 23 février 2016 dans le magazine de Télérama. Cet article a pour sujet la vie des réfugiés dans la jungle de Calais.Les différents idées principales sont que le bidonville de la jungle de Calais va être évacuée le 25 février 2016, et la défenseure des enfants a demander à l'état de protéger les mineurs réfugiés. Les réfugiés manque d'hygiène dans ces bidonvilles, il n'y a pas d'eau, pas de douche et pas de moyens de cuisiner. Il y a un centre d’accueil qui a ouvert en janvier, où les réfugiés sont mieux logés. Tout les réfugiés n'y vivent pas, mais passent la journée dans le centre pour apprendre l'anglais par les peu de structures éducative qui existe car la plupart des réfugiés souhaitent partir en Angleterre. La présence des mineurs est importante dans la jungle de Calais, dont certains très jeunes, leur éducation est à moitié assuré puisque certes une éducation leur est enseigné mais n'est pas de le meilleure qualité. L'avenir de ces réfugiés est incertain car les pays qu'ils désirent ferment leur frontières pour eux.

1.4. Le document 4 est un article de presse de type argumentatif, écrit par le Gisti, publié en mars 2016. L'auteur dénonce le manque de prise en charge des mineurs migrants en Europe, leur disparition à cause d'une absence d'accompagnement des états européens.

Les idées importantes dans ce document sont que plus de 10000 mineurs réfugiés ont disparu depuis deux ans, dans plusieurs d'Europe, selon un responsable d'Europol. D'après ce responsable, ces mineurs sont sous risque d'être exploité par des réseaux criminels comme le proxénétisme, le trafic d'organe ou encore l'esclavage domestique, mais il n'y a pas de sources ou de données sures qui le prouvent. À Paris, dans l'Adjie (accompagnement et défense des jeunes isolés) on retrouve des migrants « disparu » qui ont traversé d'autres pays européens pour arriver jusqu'ici et affirment avoir été enregistrer par une organisation mais ne savent pas si c'était une ONG, la police ou autre, ce qui explique le nombre important des enfants disparu. Ces mineurs ont traversé des épreuves pour arriver jusqu'à Paris et n'ont pas été victimes d'exploitation par des réseaux criminels contrairement a ce que dit le responsable d'Europol. Mais il se confronte a d'autres problèmes, celui de se loger, de se nourrir et d'être scolarisés qui a une grande importance pour eux. Ces besoins ne sont pas toujours satisfait,en France, certains arrivent à être scolarisés et de bénéficier d'une protection mais d'autre n'en bénéficient pas et se retrouve dans des bidonvilles et agrandissent le nombre d'enfant disparu. Même ceux à qui la protection est accordée, vivent dans des conditions de vie médiocre.

  1. Comparaison de documents

2.1.  Le droit des enfant et des enfants réfugiés en France de nos jours.

                             La plupart des migrants vivent des conditions de vie effrayante, certains a la rue d'autre dans des tentes, souvent rassemblé dans des bidonvilles ou des camps de réfugiés. Comme le disent Marie Piquemal et Juliette Bénabent dans leurs articles. Il y a un grand manque d'hygiène dans la vie de ces réfugiés, de plus les enfants n'ont pas accès a une bonne éducation.

                        Ces bidonvilles ou camp de réfugiés n'ont pas de structure scolaire solide, ni de ressources suffisantes pour éduquer les enfants. Comme le détaille Françoise Dumont dans sa lettre, tout enfant sur le territoire français, a le droit a l'éducation mais ce n'est pas le cas comme pour les enfants roms a qui ces droits ne sont pas toujours accordés puisque certaines communes n'acceptent pas de les inscrire dans leurs écoles. Même si ils sont inscrit, des expulsions forcées incessante de familles roms, leurs empêchent de poursuivre l'école car ces expulsions ont souvent lieu pendant l'hiver en pleine année scolaire.

                           Les expulsions et évacuations ne concerne pas que les familles roms mais aussi les camps de réfugiés ou leurs bidonville comme la jungle de Calais, où déjà les conditions de vie basique ne sont pas fourni puisqu'ils n'ont ni accès a l'eau potable, ni moyen de cuisiner, et pas de douche et sont obliger de se déplacer pour répondre a ces besoins, sachant que le nombre de mineurs est important dans la jungle de calais, environ un tiers des personnes sont mineurs, qui n'ont pas accès a une éducation respectable. D'après l'article de Juliette Benabet, les réfugiés ne souhaitent pas tous rester et a travers les moyens auxquelles ils peuvent avoir recours veulent apprendre l'anglais car ils désirent quitter la jungle de Calais pour atteindre l'Angleterre.

                         De plus les gouvernements européens ferment leurs yeux face a ses réfugiés, de par les évacuations forcées des camps de réfugiés mais aussi par la fermeture de leurs frontières pour les réfugiés. Sans oublier leur manque d'accompagnement des mineurs, une idée développée par Gisti dans son article où on nous informe que depuis deux ans plus de 10000 migrants mineurs ont disparu en Europe selon un responsable d'Europol. Mais qui n'ont pas vraiment disparu car la plupart des ces mineurs quittent le pays où ils arrivent pour aller dans les pays qu'ils désirent comme la France, l'Angleterre... Mais arrivé dans ces pays ils ne sont pas pris en charge correctement car ils ne bénéficient pas tous d'une protection ou d'accès a l'éducation et donc sans documents administratifs officiels ils se retrouvent dans des bidonvilles ou à vivre dans la rue et augmente encore les nombre de mineurs disparu puisque l'état ne fourni pas de soutien nécessaire.

                          Les enfants réfugiés, migrants ou roms bénéficient du soutien ou d'aide malgré qu'ils soient insuffisant de la part des organisations comme on peut constater dans chaque document, il y a toujours un organisation qu'est cité soit la Ligue des Droits de l'Homme, soit la défenseure des enfants, soit le journal Libération, soit Adjie, par cause de l'absence de l'etat dans l'aide des réfugiés, migrants, roms.

2.2.  La lettre de Françoise Dumont est la seule qui évoque que certaines communes n'acceptent pas des enfants dans leurs écoles a cause de leur origines sociale et traite des expulsions qui derangent la scolarité des enfants.

L'article de Marie Piquemal est le seul qui se concentre sur la vie d'une seule famille rom et raconte le quotidien des migrants en France.

Juliette Bénabent est la seule qui traite en détaille le bidonville de la jungle de Calais en parlant de leurs conditions de vie, des structure éducative, des logement et des mesures prises par l'état pour accompagner l'évacuation du bidonville.

Gisti dans son article, dénonce la manière dont les états européens traite les migrants, les réfugiés. C'est le seul a montrer le manque d'investissement et l'absence majoritaire de pris en charge de l'état français envers les migrants, réfugiés.

  1. Ébauche de structure de synthèse

I- Les mineurs migrants confronté aux problèmes de condition de vie

1. Problème de logement, nourriture, hygiène (document 2,3,4)

2. Les expulsions et évacuations forcés (document 1,2 ,3)

3. Le droit à l'éducation non respecté (1,2,4)

II- Manque d'investissement et absence de pris en charge

1. Les états européens qui n'aide pas ces mineurs réfugiés (document 1,4)

2. Un refus d'accès aux protection et services sociaux (document 1,3,4)

III- Le soutien et les aides reçu

1. La presse et les organisations portant la voix des ces mineur migrants et réfugiés (document 1,2,3,4)

2. Des association et organisation aidant les mineurs avec les structures mis en place par l'état malgré leur petite quantité (document 1,3,4)

 Commentaires du correcteur :

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