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Gestion des ressources humaines

Dissertation : Gestion des ressources humaines. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Août 2016  •  Dissertation  •  3 028 Mots (13 Pages)  •  702 Vues

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ADM 1015

Gestion des
ressources humaines

Travail noté 3 – Série C

20 POINTS                                   

Feuille d’identité

  • Remplissez soigneusement cette feuille d’identité.
  • Rédigez votre travail à la page suivante, à la suite de cette feuille.
  • Sauvegardez votre travail de cette façon : ADM1015_TN3_SC_VOTRENOM.
  • Utilisez le Dépôt des travaux pour acheminer votre travail à votre personne tutrice.

NOM  

PRÉNOM          Jessica        

NUMÉRO D’ÉTUDIANT        

TRIMESTRE         

ADRESSE                  

                

CODE POSTAL         

TÉLÉPHONE DOMICILE         

TRAVAIL         

CELLULAIRE 

        

NOM DE LA PERSONNE TUTRICE          

DATE D’ENVOI 04-01-2014          

Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION         

DATE DE RETOUR         

NOTE         

Commencez la rédaction de votre travail à la page suivante, en précisant

avant toute chose quel travail vous avez choisi de réaliser.

[pic 1]

Première partie :

Le responsable en ressources humaines peut dans le cadre de son travail avoir à faire face à des conflits et devoir négocier avec la direction de son entreprise une nouvelle convention collective. Il est donc intéressant pour lui de se tenir au courant  de la syndicalisation des travailleurs au Québec. Pour avoir un portrait global de se qui se passe chez nous plusieurs volets et statistiques peuvent être analysé. En  Amérique du nord, c’est au Québec qu’il y a le plus de salariés qui travaille sous une convention collective. Bien qu’il ait eu tendance à diminuer au cours des dernières années, son taux de couverture syndicale représente tout de même 39.8% en 2013.

La répartition des travailleurs syndiqués est plus grande dans le secteur public que dans le secteur privé. En effet, en 2013, 82% des salariés dans le secteur public étaient syndiqués comparativement à 25.6% dans le secteur privé. D’ailleurs, les statistiques démontrent que si les choses continues dans la même voie, la faille sera de plus en plus grande car entre les années 2004 et 2013 le taux de syndicalisation a diminué dans le secteur privé mais augmenté dans le secteur public. Au Québec, c’est dans le secteur tertiaire public que se retrouve le plus grand nombre de salarié syndiqué avec un pourcentage d’environ 80%. Pour être encore plus précise l’administration publique (80.5 %), les services d’enseignements (75,7%) et les services publics (71.4%).

La répartition des salariés syndiqué selon les sexes démontre qu’en 2013 un demi point seulement les sépare. C’est-à-dire qu’il y a presque le même nombre d’hommes syndiqués que de femme désormait. Un autre constat peut être fait, les hommes assujetti à une convention collective sont plus nombreux dans le secteur privé tandis que les femmes gagnent la palme dans le secteur public.

La taille des établissements peut également jouer un rôle au niveau de la syndicalisation. Dans les données recueillies, le taux de présence syndicale a diminué dans les entreprises de 100 salariés et plus mais également dans celles de moins de 20 employés, tandis quelle a augmenté de quelque peu dans les établissements comptant entre 20 et 99 employés.

La dynamique des relations patronales-syndicales dans les milieux de travail québécois a évoluée dans le bon sens au cours des dernières années. Aujourd’hui il y a moins de conflits de travails, par exemple, de 1981 à 2010 l’inventaire est passé de 350 à 69.  Par contre, une légère hausse a eu lieu au cours de la dernière année. En 2013, 179 330 salariés ont été affectés et la plupart d’entre eux fesaient partis de l’industrie de la construction. Cette année-là, la grève de l’industrie de la construction, a été responsable de 70% des pertes jours/personnes. La durée moyenne des conflits qui ce sont terminés en 2012 étaient de 56 jours ouvrables comparativement à 73 en 2011. De ceux-ci, près de 50% ont durés moins de cinq jours ouvrables.

Les secteurs qui sont le plus touchés par les conflits de travail sont originaire du secteur privé tertiaire (46 sur 68) et ce, malgré le fait qu’ils font partis des groupes de salariés les moins syndiqués. En effet, leurs taux de couverture syndicale est d’environ 20%.

Les conditions des travailleurs syndiqués peuvent être supérieurs à différents niveaux. Par exemple, en 2010, le salaire moyen d’un empoyés syndiqué était plus élevé que chez un non-syndiqué, et ce, autant pour les temps plein que pour les temps partiel. On estime une rémunération supérieure d’environ 7.7% de plus pour les emplois syndiqués. Toutefois, autant que les employés syndiqués sont protégé par leurs convention collective, les employés qui ne le sont pas peuvent faire appel à la commission des normes du travail. Une étude effectué par l’institue de statistique Canada démontre que la qualité de l’emploi des personnes syndiqué et des non-syndiqué n’est plus si différente avec le temps. L’étude a pris en considération des indicateurs comme le statut de l’emploi, le niveau de compétence, la rémunération horaire, etc.  

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