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ADM1002 TN3, société Moderne

Étude de cas : ADM1002 TN3, société Moderne. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Octobre 2017  •  Étude de cas  •  1 361 Mots (6 Pages)  •  1 863 Vues

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Question 1

La société Moderne est une entreprise familiale, qui selon le président actuel, Jacques Letendre, à toujours été rentable. Mais depuis 2 ans, il fait face à une diminution des ventes et une baisse de profit. La concurrence est de plus en plus forte et La Société Moderne semble prise entre de petits fabricants spécialisés et les grands fabricants nationaux et américains.

Les employés ne semblent pas motivés par le travail. Le taux d’absentéisme est en hausse alors que le moral des employés est en baisses. Malgré le système de contrôle en place qui est très rigoureux, la production est en baisse.

-La diminution des ventes et des profits

-l’absentéisme élevé et le moral bas des employés

-la baisse de productivité

Question 2

Au niveau stratégique, la diminution des ventes et la baisse des profits sont un signal d’alarme pour M Lentendre. À l’externe, la concurrence élevée dans le secteur doit lui faire revoir sa position sur le marché. La visibilité de l’entreprise semble faire défaut, car elle n’a pas évolué depuis l’époque. La vente par catalogue restreint sa clientèle aux magasins de détail. En interne, le design organisationnel de l’entreprise est peut-être aussi un problème, car les employés sont divisés en deux groupes par le système de paie et peuvent créer un fossé entre les deux parties et empêcher une bonne communication. Finalement, ce cas ne présente pas non plus de département distinct autre que les employés de bureau et ceux affectés à la production.

Maintenant au niveau administratif, le taux d’absentéisme, le moral bas des employés, le sondage d’attitude aussi nous porte à croire que La Société Moderne n’est pas une entreprise où les employés s’épanouissent. Il y a un manque de communication entre les cadres et les employés de la production. Si l'on regarde principalement le sondage, ce qui ressort le plus est que les employés trouvent qu’il n’y a pas assez de variétés dans leur travail, que la supervision est trop présente, mais non nécessaire et de plus, ils aimeraient eux-mêmes fixer leurs objectifs de performance.

Au niveau opérationnel, une baisse de productivité globale semble affecter l’entreprise. Le système de contrôle exhaustif est-il trop présent ? « Le contremaître doit veiller au respect de ces méthodes et procédures et il doit « coûte que coûte » faire observer les programmes et les échéanciers de production. » (La Société Moderne, P.5)

Situations problématiques causes conséquences

Niveau stratégique :

Diminution des ventes et profits -concurrence élevée.

-coût de production plus élevé.

-système de vente désuet

-produits non concurrents

-structure organisationnelle non définie -perte de clients

-déficit budgétaire

Niveau administratif :

Absentéisme élevé et moral bas des employés -Cadre trop rigide

-mauvaise communication

-travail répétitif -baisse de productivité

-ambiance de travail désagréable

Niveau opérationnel :

Baisse de la productivité -absence des employés

-manque de motivations des employés

-manque d’autonomie des employés

-contrôle décentralisé et non efficient

-diminution des profits

Question 3

Depuis que la compagnie a été créée, elle a toujours été rentable. Il y a bien eu des réajustements et des pertes d’emplois à certains moments, mais il n'y a rien eu de majeur.

Monsieur Letendre a tout intérêt à revoir la mission de l’entreprise, et ne pas prendre à la légère cette diminution des ventes et profits. Pour être capable de suivre la concurrence et même la dépasser, il doit mettre en place une équipe de recherche et développement qui va pouvoir se charger de projets innovateurs.

La façon de présenter les produits sur le marché doit être revue et adaptée aux besoins de la clientèle actuelle et future.

Pour la baisse de productivité, le coût des matériaux étant moins malléable. Il doit changer le système de rémunération des employés. Il peut s’agir d’un partage de profit basé sur la performance des employés pour stimuler leur intérêt face aux enjeux de l’entreprise et aussi sur leur épanouissement individuel.

Du côté de l’administration, on a pu constater avec le sondage auprès des employés, qu’ils se sentent comme des machines, incapables de penser par eux-mêmes et avec tout les points de contrôle, leurs estimes personnelles sont en baisse. La communication entre les gestionnaires et les employés doivent être réactivité de façon permanente, un système de communication doit être mis en place.

Les employés doivent avoir accès à de la formation qui va leur permettre par la suite d’effectuer des tâches plus varier dans l’entreprise. Il doit y avoir des évaluations du personnel périodiquement qui va permettre d’évaluer la tendance des indices tels que le taux d’absentéisme, d’accident au travail ou même de démissions.

Il va sans dire qu’avec les formations, il doit avoir aussi des changements importants au niveau des opérations. Le contrôle de la qualité par exemple va devoir être intégré à travers la production, on va parler de cercles de qualité. Par le fait même, le contrôle ne sera plus centralisé à un petit groupe, mais à l’ensemble des employés de la production. De cette façon, on va pouvoir aussi valider l’importance de tous ses points de contrôle et validée s’il en coute plus cher à faire que les retombées qu’il

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