Étude du sonnet Ces cheveux d'or de Joachim du Bellay
Note de Recherches : Étude du sonnet Ces cheveux d'or de Joachim du Bellay. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar basquet • 23 Mai 2013 • 237 Mots (1 Pages) • 1 859 Vues
chantais ces Sonnets, amoureux d’une Hélène,
En ce funeste mois que mon Prince mourut :
Son sceptre, tant fut grand, Charles ne secourut,
Qu’il ne payât sa dette à la Nature humaine.
La Mort fut d’une part, et l’Amour qui me mène,
Était de l’autre part, dont le trait me ferut,
Et si bien la poison par les veines courut,
Que j’oubliai mon maître, atteint d’une autre peine.
Je sentis dans le cœur deux diverses douleurs,
La rigueur de ma Dame, et la tristesse enclose
Du Roi, que j’adorais pour ses rares valeurs.
La vivante et le mort tout malheur me propose :
L’une aime les regrets, et l’autre aime les pleurs :
Car l’Amour et la Mort n’est qu’une même chose. chantais ces Sonnets, amoureux d’une Hélène,
En ce funeste mois que mon Prince mourut :
Son sceptre, tant fut grand, Charles ne secourut,
Qu’il ne payât sa dette à la Nature humaine.
La Mort fut d’une part, et l’Amour qui me mène,
Était de l’autre part, dont le trait me ferut,
Et si bien la poison par les veines courut,
Que j’oubliai mon maître, atteint d’une autre peine.
Je sentis dans le cœur deux diverses douleurs,
La rigueur de ma Dame, et la tristesse enclose
Du Roi, que j’adorais pour ses rares valeurs.
La vivante et le mort tout malheur me propose :
L’une aime les regrets, et l’autre aime les pleurs :
Car l’Amour et la Mort n’est qu’une même chose.
cHACUNE DES TROIS PORPOSISITONS DU PREMIER QUATRAINT CONTIENT UNE M2TAPHORE
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