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Le texte de la virtualité

Commentaire d'oeuvre : Le texte de la virtualité. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Novembre 2022  •  Commentaire d'oeuvre  •  526 Mots (3 Pages)  •  236 Vues

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En effet le texte de la virtualité nous permet d'engendrer une quantité d'information illimité dans un espace moindre tandis qu'il permet aussi un accès pour toute personne ayant la capacité de se procurer un outil informatique et qui peut compromettre à l'information car elle modifie ce qu'on ne peux pas admettre et ainsi elle donne à l'individu une information erroné sur ce qu'il pense être vrai , c'est pour ccela qu'il ne faut pas s'appuyer sur les informations mais sur la raison ’histoire de la presse en ligne en France remonte a à peine plus d’une quinzaine d’années (Estienne, 2007, p. 72). En 1996, naissent les premiers sites de titres de presse, qui pour l’essentiel reprennent les contenus du papier : « le réseau semble n’être d’abord, au plan du graphisme, qu’un prolongement du papier ; une poursuite de la presse écrite par d’autres moyens de diffusion » (Fogel et Patino, p. 100). Puis c’est l’affranchissement du modèle imprimé et la prise de conscience qu’à nouveau support nouveau contenu, nouvelles écritures, nouvelles mises en forme de l’information : « l’apparition d’un style propre aux sites d’information est donc l’histoire d’une émancipation : des pionniers se sont affranchis des références traditionnelles de la mise en page sur papier pour doter les sites d’information de pages à part, reconnaissables au premier coup d’œil » (Fogel et Patino, 2005, p. 100). Mais il faut attendre près d’une décennie avant que de véritables innovations se développent sur ces sites d’information, portées également par la création de nouveaux sites, les « nés en ligne » ou NEL [1]

[1]

La terminologie NEL a été proposée par Arnaud Mercier, en… (Mercier, 2010), tels que Rue89, Mediapart, Slate, LePost, Owni, etc. : naissance du web 2.0 et effervescence autour des blogs et du journalisme participatif (qui se traduira surtout par des espoirs déçus), augmentation des bandes passantes permettant la mise en ligne de contenus plus gourmands en débits, comme les vidéos, etc. Les discours se font plus enthousiastes concernant les perspectives de la « presse en ligne ». Les évolutions s’incarnent à différents niveaux : économiques, organisationnels, juridiques, rédactionnels, etc. (Charon et Le Floch, 2011). De manière moins flagrante, elles se traduisent également dans l’architecture même des sites de presse, leur design, leur graphisme, leur structure et dans les formes et formats d’écritures journalistiques. Patino et Fogel y voient la fin d’une domination du texte qui « perd son statut de référence » (Fogel et Patino, 2005, p. 25) : « davantage qu’une diffusion du contenu des autres médias, internet offre une autre approche, si renouvelée et mélangée qu’elle déstabilise le fond même des journalismes écrit et audiovisuel ». Six ans plus tard, Eric Scherer parle lui d’un « nouveau journalisme, […] interactif, « 24/7 », multiplate-forme, désagrégé et convergent ». Il semble toutefois que l’on soit davantage dans le souhait et la prospective que dans le constat d’une réalité au sein des rédactions, même les plus innovantes. Car si Scherer estime que « d’ores et déjà se généralise dans les médias mondiaux un mouvement de convergence et de migration des contenus vers des modes de diffusion vraiment multimédias,

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