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La philosophie

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Par   •  4 Avril 2019  •  Cours  •  13 536 Mots (55 Pages)  •  461 Vues

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HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE

Socrate est le père de la philo

II. la philosophie et son rapport aux autres sciences

des son apparition la fie a tj été liée aux autres sciences au point ou elle semblait indissociable.

Un philosophe est aussi un pratiquant de la totalité des sciences il fallait être un « touche-tout »

La fie s’intéresse a tous les domaines

La métaphysique est un arbre dont les feuilles et les branches sont les sciences. Physique, mécanique, médecine, morale. Le tout constitue la Fie.

Pour Descarte « toute la fie est comme un arbre dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences qui se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale »

Pendant très longtemps, la métaphysique a été la discipline centrale de l’activité philosophique. Cette discipline spéculative (réflexion purement intellectuelle) se focalisait essentiellement sur notre capacité à analyser et comprendre l’essence des choses c’est à dire tout ce qui échappe à la perception sensible.

Les éléments comme dieu l’infini le temps échappent à notre perception sensible.

La métaphysique définissait la fie. On étudiait les essences, ce qui échappe à notre perception, La métaphysique c’est la spéculation. L’essence serait selon platon une forme d’Etre. On cherche par exemple l’essence de la foudre, on émet des suppositions mais il y a tout de même une certaine rigueur démontrée par Aristote. Vers la moitié du XIXe siècle, il y a eu le mouvement du positivisme logique qui a estimé que la fie était trop spéculative et qu’elle n’avait aucun référent concret. Dès ce mouvement, on a séparé les sciences dures, mécanique, morale… de la philosophie qui ne finalement s’enseignait rien, selon les autres sciences. On n’avait pas besoin de fie pour guérir un corps.

Il y a eu rupture.Après le siècle des lumière, on a atteint l’air moderne qui se base sur tout ce qui est observable.

La fie restait métaphysique donc un acte pur de réflexion. On ne peut pas etre philosophe si on est pas un peu métaphysicien. La fie a donc pensée a un nouveau moyen de réconciliation, elle à décidé de rendre la méta plus sérieuse donc elle s’est subdivisée en plusieurs domaines d’étude.

Pour étudier les sciences avec de la fie, on devient épistémologue. La fie s’est étendue dans tout les autres domaines scientifiques. En Grèce antique, il fallait être au moins bon dans trois matières mais aussi garder un corps saint. Socrate était très bon en pugilat.

III. A quoi la fie nous sert-elle aujourd’hui ?

Il s’agit d’une question pertinente que se pose bien évidement ceux qui s’initient à la pratique de la fie. Et les réponses à cette question sont multiples d’autant plus que fer est en soit une vertue. En milieux scolaire pas exemple, la pratique de la fie écueuille l’esprit critique des élèves, elle enseigne le contrôle de soi et les préparent au mieux aux aléas de la vie qu’ils vont rencontrer. La fie impose une rigueur méthodique dans la réflexion. Un esprit éclairé n’a finalement pas besoin de méthode. La fie insipire aussi en nous des valeurs morales et civiques qui nous rendent meilleurs. Dans la vie en générale, la fie nous permet de rechercher des conditions d’accès au bonheur et à la vie bonne. Donc tout le monde peut devenir fie. C’est pourquoi épicure dit qu’il n’y a pas d’âge pour commencer a fer donc on retient que la fis est une discipline qui amène l’homme à penser par lui-même, il devient moins crédule et plus actif dans la quête du savoir et de la vérité.

Chapitre I LA CONSCIENCE

En général, quand on parle de conscience, on évoque en premier l’aspect psychologique de celui-ci, dans le sens où elle renvoie à une connaissance ou aux sentiments que le sujet éprouve le concernant. Il s’agit de ces états et des actes qu’il pose. Ensuite, il y a aussi une dimension morale de la conscience qui renvoie à notre capacité à formuler des jugements moraux relatifs au bien ou au mal. Mais ce qui nous intéresse principalement, c’est le rapport que la conscience établie avec le sujet lui-même, le monde et la réalité ou la vérité.

   Quels sont les différents degrés de conscience ? La conscience n’est-elle propre qu’à l’homme, en quoi est-elle un élément essentiel de la nature humaine ? Si ma conscience me sert d’intermédiaire entre moi et le monde, comment être certain que le monde existe ? Est-elle en mesure de répondre à toutes les questions que je lui pose ? Faut-il considérer le pouvoir de la conscience comme étant limité ?

I. Les différents degrés de conscience

La conscience immédiate(spontanée). C’est la première impression que nous avons de nos états psychiques, c’est elle qui accompagne les actes du sujet, (c’est avoir conscience de qqch).

La conscience réfléchie, elle est le retour de l’esprit sur ses impressions. Il s’agit d’une forme de conscience à partir de laquelle le sujet se pense lui-même comme conscient de quelque chose.

C’est la forme de conscience la plus complexe, on utilise la raison, c’est la réflexion pure.

II. Conscience et identité du sujet.

Il y a un rapport avec l’identité du sujet. Mais quel rapport peut-on établir ?

Conscience=acte de réflexion

Identité du sujet=connaissance de soi

« Connais-toi toi-même » renvoi à une prise de conscience. Avant de rechercher la vérité, le sujet doit se connaître. Le début de la connaissance selon Socrate passe la connaissance de soi. C’est le premier pas dans la recherche de la vérité. Que sommes-nous ? …

La conscience et l’identité du sujet correspondent surtout à Descartes.

« Cojito ergo sum »= je pense donc je suis ⇒ Cogito

C’est le résultat d’une recherche personnelle de la part de Descartes. Il a commencé à mettre en doute tout le savoir qui lui avait été enseigné. Il a émit 3 arguments en faveur du doute.

=>Le sens trompeur, il a émit l’hypothèse selon laquelle les sens soient trompeur et comme étant la source de l’erreur.

=>Le rêve, il se demande si le monde dans lequel nous vivons est réel.

=>Malin génie, il se demande pourquoi une personne aussi importante et cultivé que dieu ai crée des êtres qui se tompent autant. Il se demande si Dieu est vraiment celui que l’on croit.

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