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Taylor (école classique) postule

Commentaire de texte : Taylor (école classique) postule. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Novembre 2013  •  Commentaire de texte  •  633 Mots (3 Pages)  •  581 Vues

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Taylor (école classique) Les postulats

L’individu est parfaitement rationnel (motivations exclusivement économiques), il ne cherche qu’à maximiser sa paye.

Il n’y a aucune prise en compte des facteurs humains.

L’entreprise est un système fermé : développement économique par la rationalisation de l’organisation du travail. Aucune influence de l’environnement.

Les principes

Pour organiser afin de produire efficacement, l’école classique propose les méthodes de travail rationnelles pour optimiser et coordonner les flux de matières et d’information.

Spécialisation des tâches

Sélection du personnel

Standards de performance

Motivation du personnel par l’argent

Contrôle permanent

Uniformité des procédures

Rapports impersonnels

Le but de ces pratiques est de satisfaire, à la fois, les dirigeants et les exécutants.

Les critiques

Les facteurs humains ne sont pas pris en compte : phénomènes de groupes, relations de pouvoir, environnement externe, motivations autres que l’argent ne sont pas abordés.

Vision purement mécaniste de l’entreprise.

Cela entraîne un développement de l’absentéisme, de la monotonie du travail, des grèves, un fort turn-over qui, à l’aube des années 1930, a incité les patrons des grandes entreprises américaines à faire appel aux centres de psychologie industrielle des universités afin de les aider à comprendre ce qui se passait, alors que l’OST devait être un système efficace pour tous.

Organiser pour produire efficacement, « l’ordre régi par la règle », c’est le management directif.

Mayo : L’école des relations humaines (1930-1960). Les expériences de Mayo à la Western Electric située à Hawthorne ont montré que le lien entre les conditions de travail et la motivation était peu évident et que, même si le matériel se détériorait, il était possible d’accroître la productivité.

Pour Mayo, quand le groupe est homogène avec des règles, les conditions physiques de travail se révèlent secondaires.

Les relations interpersonnelles influent sur la productivité d’un groupe. Un groupe de travail qui fonctionne bien établit des règles strictes : ne pas produire trop ! Ne pas trop peu produire ! Ne jamais nuire à un collègue !

Si l’on s’intéresse aux individus, cela a une influence positive sur leur comportement.

La plus haute spécialisation des tâches n’est pas la forme la plus efficace du travail.

Le management doit créer une coopération entre les travailleurs d’un même groupe.

L’organisation humaine est différente de l’organisation technique.

Mayo va introduire dans cette compagnie un temps de pause, jouer sur l’éclairage, le temps

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