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COURS LINGUISTIQUES

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Par   •  21 Novembre 2018  •  Cours  •  1 538 Mots (7 Pages)  •  508 Vues

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Texte : la parole comme seuil de l’univers humain. Georges Gusdrof

1er paragraphe : La définition de l’homme

L’homme est un animal

Double valence de l’homme = humanité liée à la parole

« La parole désigne la réalité humaine tel quelle ce fait jour dans l’expression, ce n’est pas une fonction psychologique ni réalité sociale mais affirmation de la personne d’ordre moral et métaphysique » G. Gusdrof

Les animaux sont des êtres sociaux, MAIS l’homme se définis par le langage. La parole va remplacer l’environnement matériel, elle constitue les relations humaines, le langage c’est n’est pas la parole.

Le langage est une fonction génétique, faculté de langage qui permet de développer une langue donc ensuite une parole.

2ème paragraphe : Apparition du langage chez l’homme : Le Paradoxe

La parole est une fonction sans organe, pas de localisation propre.

Comparaison entre Homme/Singe : On remarque que les organes sont les mêmes, on ne trouve pas le langage, abs de lieu, de localisation = aspect symbolique

Thèse externaliste/ internaliste du langage

Toutes les composantes de la parole sont présente chez le singe MAIS abs de langage, pas de parole, pas d’écrit.

Spinoza : Conatus : aller + loin dans ce que la nature peut nous apporter

Mystère : Pourquoi les hommes parlent ?

Homme : pense, réflexion, connaissance intellectuelle

3ème paragraphe : Développement comparé Enfant/ Petit singe

Autour de 18 mois/ 2 ans

Enfant : poursuit son développement cognitif langagier, intelligence humaine qui rentre dans le langage. Au-delà des sens.

Singe : stop son seuil du langage, il ne rentre pas dans le seuil du langage. Il reste toujours en infra-humanité. Il est exclu de la réalité humaine.

4ème paragraphe :

L’homme peut agir sur son environnement. Alors que l’animal très peu, il est dans l’immédiateté.

Représentation propre à l’homme → les mots s’interpose entre l’homme et le réel. Le langage fait médiation mais surtout filtre.  La langue, un système de signe = structure de signaux de communication qui est toujours programmé génétiquement. On peut dire des choses mais pas tout.

Le langage donne un sens au monde, en reliant les choses, car nous sommes dans un sujet symbolique, ouverture de conscience d’être au monde et interpréter le monde qui nous entoure.

Le langage permet d’émanciper l’homme, il se détache de sa condition naturelle, et va penser en parlant. La réalité de l’homme est symbolique. Le langage découpe le réel en le nommant = donne une identité à toutes choses.

5ème paragraphe : Maladie du langage

Il nous exclut de la communication symbolique humaine = Perte d’humanité, fonction de représentation

 L’aphasique : maladie neurodégénérative. Toute articulation intellectuelle qui se trouve chez le patient est en liquidation totale.

23.01.18 TD3

Texte : La pensée est-elle contenu dans le langage ?

Question que l’on doit se poser ?

  • Quelles est ou quelles sont les problématiques ?
  1. Est-ce que le langage induit la pensée ?
  • Quelles sont les différentes thèses ?
  • Quelles sont les arguments ?
  • Quelles sont les problèmes qui restent en suspens à la fin du texte ?

Problématique : est-ce que notre monde mental serait disperser … ?

Paragraphe 1 : Dans un premier temps on voit la scène, le mot chat renvoie à l’idée de chat. Description du concept chat = Sé. Le mot général = le signe ling (chat) il va désigner tous les chats. Il va permettre la catégorisation cognitive. Théorie : les mots de la langue renvoient à des Sé (catégorie générale) que je peux ensuite les reliés à qqch = référent.

Paragraphe 2 : Thèse

Saussure explique que pour que je puisse dev un lgg complexe il faut un lgg articulé = concepts généraux. Ce que les mots de mon lgg me donne je peux accéder aux concepts de ces mots. Mon monde est dans les mots que j’ai. Peut-on penser sans les mots ? C’est non pour Saussure et Wittgenstein.

Les mots ne sont pas le véhicule de la pensée, ils sont la pensée, sans les mots je ne pense pas.

Paragraphe 3 : Les idées précèdent les mots.

Le langage donne accès à cette abstraction. Si l’on s’attaque au langage on comprendra mieux la pensée. L’inconscient est une part importante. Si je travaille sur le langage je comprendrai mieux les lois de la pensée. Si l’on avait pas le mot chat on ne connaîtrait pas la catégorie chat. A chaque fois que je vois l’animal je devrai me rappeler des images que j’ai déjà vu pour comprendre ce qu’il se passe autour de moi. Le langage déverrouille la pensée

Hypothèse : l’animal se questionne tjr sur ce qu’il a devant lui.

(Le monde d’une tique se résume en trois plans : la luminosité, l’odeur de l’acide butyrique, l’endroit où elle meurt)

Stade du miroir vers 18mois chez l’enfant.

Pourrait-t-on distinguer un chat d’un chien ? OUI mais on ne pourrait pas catégoriser.

Le mot va ancrer le concept, mais la perception est …

L’image du chat ne permet pas la généralisation et ainsi chaque rencontre … ?

  • Développement de l’antithèse

L’Auteur a bcp plus mis l’accent sur l’antithèse cognitive

...

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