Peau à moustique, idée reçue ou réalité

        JAMBU                                                                                                                 15/10/2020

        Andréa     2nde9                                             DM DE SVT 

                                                                   tache complexe:

Certains se font dévorer par les moustiques, quand d'autres sont
souvent ou toujours épargnés. On soupçonne la chaleur corporelle,
le dioxyde de carbone (CO2) produit par respiration, ainsi que
l'alimentation, de constituer autant de facteurs faisant de certains
humains la cible privilégiée des femelles de nombreuses espèces
de moustiques.

«peau à moustiques», idée reçue ou réalité?

Document 1:

J’observe que la peau constitue une barrière physique protégeant notre organisme de toute sorte d’agression extérieur elle participe aussi  au maintien de notre température corporelle et de la teneur en eau de l’organisme.

J’en déduis que la peau est l’interface avec l’environnement et qu’elle est composée d’une collection de micro-organisme très variée. Ils sont aussi présents dans les glandes sudoripares qui produise la sueur, inodore.

J’en conclue que  certains des composants présents sur la peau attirent les mousiques.

Document 2:

J’observe que la sueur émise par les glandes sudoripares est inodore, elle contient en abondence des substances nutritives qui nourrissent les bactéries présentes sur la peau.

J’en déduis que l’action des bactéries modifient les molécules de la sueur en composés volatils odorants ce qui provoque l’odeur corporelle. (exemple : les staphylocoques qui transformes des molécules carboné en acide lactique qui est lui même dégradé par des propionibactéries en acide propionique et en CO2).

J’en conclue que ce qui attirent les moustiques, c’est le CO2 que l’on exhale par la respiration mais aussi un autre composant issu de la dégradation du métabolisme et secrété par la peau qui est l'acide lactique. C'est ce fameux mélange présent sur la peau qui va donner envie au moustique de piquer.

Document 3:

J’observe qu’ une étude à été faite pour répondre à la problématique

J’en déduis que sur 48 volontaires dont la communauté bactérienne de l’épiderme a été étudiée neuf d’entre eux on été particulièrement piqués et considérer comme hautement attractifs (HP), sept d’entre eux n’ont quasiment pas été piqués et considéré comme peu attractifs (PA), le reste des volontaires ‘on pu être répertorier dans l’une ou l’autre des catégories.

J’en conclue que nous n’avons pas tous les mêmes types de bactéries et de molécules et c’est ce qui prouve qu’il y a des peau plus attirantes pour les moustiques que d’autres.

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