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TPE - Santé et Bien-être

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Par   •  11 Mars 2015  •  1 865 Mots (8 Pages)  •  2 737 Vues

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BEAUDRU Vincent 1èreS 1

GELINEAU Guillaume

BROSSAUD Rodrigue

Travaux Personnels Encadrés

TPE

Thème : Santé et Bien-être.

Sujet : La vaccination, vraiment utile ?

Problématique : Quels sont les modes d'action et les risques de la vaccination ?

Mr. Bréjon

2014-2015 Mme. Gérault - Derouet

Sommaire

Introduction : Histoire de la vaccination

I – Qu'est ce qu'un vaccin ?

A) On peut distinguer plusieurs types de vaccins

B) Le parcours et fabrication d'un vaccin

C) Principe et mécanisme d'action d'un vaccin

II - L'exemple de l'hépatite B

A) L’hépatite B

B) Transmission et développement du virus

C) Comment se protéger contre l'hépatite B : Le Vaccin

D) Effets secondaires causés par ce vaccin

III – Les limites et les risques de la vaccination dans le monde

A) Les limites de la vaccination

B) Les différents moyens de contamination

Conclusion

Sitographie-Bibliographie

Introduction : Histoire de la vaccination

La vaccination est un outil utilisé pour entraîner les défenses du corps humain contre une infection et donc il permet d'aider le corps à combattre une infection.

Avant d'utiliser les vaccins pour se protéger de certaines maladies,l'homme a su utiliser d'autres méthodes de protection contre les maladies, comme la variolisation. La variolisation était une méthode de protection contre la variole, son objectif était de transmettre la variole. Mais la variole transmise du malade à la personne saine était censée être moins grave, par exemple, on frottait les croûtes d'une personne malade sur quelqu'un qui n'était pas touché par la variole. Mais cette technique était quand même relativement dangereuse puisqu'on avait un taux de mortalité de 1 ou 2%. C'est au XIème siècle, que les chinois commencèrent à utiliser la variolisation, déjà utilisée par les égyptiens. Des écrits nous indique que la méthode fût d'abord utilisée par un moine qui soigna le fils de l'empereur de Chine avec cette technique. C'est ainsi que la variolisation se rependit dans toute la Chine. Jusqu'en Turquie, c'est alors que la femme de l'ambassadeur anglais nommée Lady Mary Wortley Montaigu apprit que l'on se protégeait de la variole en frottant les vésicules des malades sur les personnes à protéger. Intéressé par cette technique de protection, le scientifique et médecin anglais Edward Jenner (1749-1823) se demandait comment procéder pour réaliser la variolisation sans prendre autant de risques. Jenner fût l'un des premiers à avoir pensé que le fait d'introduire un micro organisme volontairement dans le corps humain (ce que l'on appelle une inoculation) dans le but de soigner une maladie. De plus, on observait à l'époque que les gens, qui avaient contracté une maladie que l'on attrapait au contact des vaches (nommée cowpox, virus proche de la variole), étaient immunisés contre la variole. Par conséquent, Jenner créa une solution obtenue à l'aide de vésicule qui se trouvait sur la peau de certaines vaches pour soigner la variole qu'il injecta sur des personnes dans le but de les protéger contre la variole. Ainsi, la première campagne de vaccination contre la variole eu lieu en mai 1796. Puis les recherches de Louis Pasteur, à la fin du XIXème démontrèrent l'action du vaccin. Cela a permis aux scientifiques qui ont continué les travaux de Pasteur de découvrir de plus en plus de vaccins pour de plus en plus de maladies. Nous pouvons donc nous demander quels sont les modes d'action et les risques de la vaccination ?

Pour répondre à cette problématique, nous allons d'abord expliquer ce qu'est un vaccin en général, ensuite nous allons démontrer l'action d'un vaccin avec l'exemple du vaccin contre l'hépatite B. Et pour finir, nous démontrerons les limites et les risques de l'usage des vaccins à travers le monde.

I – Qu'est ce qu'un vaccin ?

A) On peut distinguer plusieurs types de vaccins

1. Les vaccins vivants atténués

Les vaccins vivants atténués contiennent un agent infectieux vivant. Le pouvoir pathogène du virus ou de la bactérie est atténué par différents procédés, de manière à ce que son administration n’entraîne pas de maladie (ou une maladie très bénigne).

Mais, par précautions, ces vaccins sont contre indiqués chez la femme enceinte et chez les personnes immunodépressives c'est-à-dire des individus sont très souvent sujets à des maladies.

Les vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons, la fièvre jaune et le vaccin oral contre la fièvre typhoïde sont des vaccins vivants atténués.

2. Les vaccins inactivés

Les vaccins inactivés contiennent des agents infectieux, ou une toxine produite par ceux-ci, qui ont été tués grâce à un produit chimique ou par la chaleur. Ils sont donc totalement inoffensifs, mais restent capables de susciter une réponse du système immunitaire. Ces vaccins sont en général très bien tolérés. Le recours à des adjuvants

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