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Sémiliogie des troubles psychotiques

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Par   •  3 Mai 2017  •  Cours  •  1 523 Mots (7 Pages)  •  814 Vues

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Sémiologie des troubles psychotiques

2.6

  1. Le délire

Le délire est un symptôme

Et l’idée délirante est différente est différente d’une idée fausse. C’est une croyance (conviction quasi absolue inaccessible a la démonstration au raisonnement.) Il s’agit d’une évidence interne.

Certaines croyance sont admises sans être considérée comme étant délirante (ex : les croyances religieuses)

Ce quo fait la différence c’est que la croyance délirante n’est pas partagée avec le groupe socio culturel a lequel le sujet appartient. Ces idées délirantes on va les démontrer. Pr commencer les idées peuvent se classer dans deux contextes différents :

  • trouble de la conscience : le niveau quantitatif (état de veille au comas profond avec des étapes intermédiaires) + le contenu de la conscience.
  • confusion mentale (désorientation temporo spatial…)  delire trouble de l’orientation (ex : intoxication toxique)  pathologie qui relève de la neurologie
  • absence de trouble de la conscience
  • psychose

  1. Thèmes

Pour décrire les psychoses il faut définir les thèmes.

  • persécution (les sujets sont convaincu d’avoir subit un préjudice corporel ou psycho affectif morale ou professionnel…

Dans ce cas on demandera au patient s’il connaît son persécuteur (persécuteur désigné) ou si c’est une personne fictive (ils peuvent être plusieurs ou alors seul)

  • la mégalomanie (délire et grandeur) on retrouve des patients qui peuvent avoir la croyance d’être de la descendance d’une famille aristocrate  ca peut être aussi une mission divine ou un délire de toute puissance
  • l’influence ce sont des patients qui pensent qu’ils sont l’objet d’action extérieur (victime de spiritisme ou de procédés magiques des histoires de cohabitation corporelle)
  • délire passionnelle la jalousie et érotomanie = personne qui est persuadé qu’une personne l’aime mais qui repose sur rien de concret (phase de découverte puis phase de haine)(dans l’immense majorité ce sont des femmes)  
  • délire mystique (personne persuadé que Dieu leur parle)
  • la culpabilité (gens qui se pense être responsable de qqc qui n’a pas existé) thème qu’on retrouve dans les états dépressif très profond
  • incurabilité (pense qu’on est atteins d’une maladie qui est incurable)
  • hypocondriaque. Il y a deux catégories d’hypocondrie : anxieuse (a partir d’une douleur la personne va amplifier) et celle de penser d’être atteins d’une maladie physique sans rien avoir.
  • Référence : lorsque des patients pensent que tout ce qui se passe dans l’entourage fait référence a eux.
  • Délire fantastique 

  1. Mécanismes

On étudie ensuite les mécanismes.

Ce qui va être a l’origine de leur production d’extension du délire.

Il existe tout d’abord des phénomènes perceptifs (qui ont avoir les perceptions et essentiellement les hallucinations = altération de la perception)

Hallucination= perception sans objet a percevoir il s’agit de sujet qui vont voir entendre sentir des choses qui n’existent pas.

Ces hallucinations peuvent être de deux ordres :

  • psycho sensorielle (passe par les organes des sens). Il a ce phénomène de sensorialité et le critère de spatialité (c’est extérieur a distance)
  • visuelles (ca  peut être des flashs ou des choses plus complexes (figures scène personnages en grandeur nature ou déformé… ) elles peuvent s’accompagner d’une tonalité de réjouissante (quand on voit la vierge) ou alors vision passionnée (vision érotique) ou terrifiant.
  • Ouïe (les plus fréquentes. Hallucination acoustique. C’est le fait d’entendre des bruits des sons qui peuvent être inquiétant. Lorsqu’il s’agit de voix localisable : on parle d’hallucination acoustico-verbale. (HAV). Ces voix s’adressent directement a la personne (elles peuvent être connues) ou des personnes qui conversent entre elles inéligible ou non. ces voix ne sont pas agréables tt le temps. Ces voix peuvent donner des infos. Ces voix peuvent être l’écho de la pensée ou qui commente la pensée.

Réticence de dissimulation : pour ne pas évoquer les voix hallucinantes.

  • Gustative et olfactive : ex : je trouve le gout de l’aliment que vous me donner bizarre ; vous êtes en train de m’empoisonner
  • Le toucher : des gens qui décrivent des sensations ou dans l’hypoderme
  • Cénesthésique (càd qui on avoir avec la sensibilité interne (patient qui ressent que le rythme de son cœur accélère alors que tvb . ca a avoir avec le schéma corporelle (ce qu’on a intégré au cours de notre dvp )avoir l’impression qu’on fait intrusion dans son propre corps.

le schizophrène il se voit en plusieurs partie du corps.

Les hallucinations peuvent touchés tout le corps.

  • psychique (apparaît directement dans la tête)
  • psychomotrice verbale : cad les patients entendent des propos qui commandent a leur place. Ca échappe a leur volonté.

VOIR COURS MARIE (jusqu'à autres mécanismes)

Interprétation délirante : donner un sens erroné a une perception exacte. (cad qu’un evt une situation quelconque prend parmi une série de déduction fausses une signification particulière qui se rapporte au sujet. Donner un sens caché a des actions vu par un tiers (ex : je sors de chez moi mon voisin ne me dit pas bonjour → il est malveillant envers moi)

Les interprétations s’alimente a un thème de persécution. Les interprétations sont quasi tjrs malveillantes envers l’interprète.

  1. Structures

Les autres catégories qui permettent de décrire un délire c’est la structure.

  • systématisé délire cohérant plus ou moins crédibles. Souvent il existe une personnalité. Ex : paranoïa (qqc de cohérant). Il part d’un postulat
  • non systématisé. C’est le délire paranoïde. C’est un délire qui est paralogique incohérent. On peut le retrouver dans les épisodes brefs ou pour les schizophrènes.

  1. Evolution
  • Aigue : trouble passager réversible
  • Chronique : ex =paranoïaque et schizophrénique  ttt à vie tout interruption du ttt est suivi d’une rechute.

Pr le délire il y a différents états.

On peut dire qu’il est productif en phase aigue.

Et a l’autre extrémité on va dire que le délire est éteins lorsque le patient va critiquer son délire. Le patient ne délire plus.

[pic 1]

 

A partir du moment où le patient ne critique plus son délire il est encore délirant. Le patient peut dissimiler ca veut dire que son délire est encore actuel.

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