Psy4001 Tn1 psychologie cognitive
Compte rendu : Psy4001 Tn1 psychologie cognitive. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar Deadtimbits • 18 Juin 2025 • Compte rendu • 1 635 Mots (7 Pages) • 18 Vues
Chapitre 1
Question 1 (page 16)
Il se peut que la définition de la psychologie cognitive selon Neisser ne corresponde pas à l’idée que vous vous faites de ce cours. Si tel est le cas, en quoi est-elle différente ?
Je croyais qu’il aurait été question plutôt du cerveau dans son ensemble et de la pensée en générale. J’ai été agréablement surpris de constater que le tout était beaucoup plus élaboré que ça. La mémoire, l’interprétation de notre environnement, le stockage et le rappel de l’information etc…
Chapitre 2
Question 3 (pages 34,36 et 41)
Distinguez gabarit, trait et structure. Quelle est la nature de chacun et en quoi diffèrent-ils ?
Gabarit : Une forme non analysée qui est comparée à des formes alternatives, en utilisant le degré de recouvrement comme mesure de la ressemblance.
Trait : Représente l’information dans le registre sensoriel. Les traits critiques permettent de déterminer les formes.
Structure : La liaison des traits d’une forme.
Questions 6 (page 40)
Pourquoi discriminons-nous mieux les visages de notre propre groupe éthique ? En quoi le concept de « trait distinctif » nous aide-t-il à différencier les visages d’autres groupes ethniques?
« Nous reconnaissons très mal les visages des personnes appartenant à d’autre races. C’est une petite habitude chez les êtres humains qui est souvent expliquée par l’opinion selon laquelle nous regardons plus les membres de notre propre race et acquérons, de ce fait, une « expertise en perception » pour les traits de cette race. »
Se concentrer sur les traits distinctifs aide à distinguer les visages, il est plus facile de distinguer les différences de visage des autres groupes ethniques quand nous voulons les catégoriser.
Chapitre 3
Question 3 (page 64)
Quelle est la différence essentielle entre les modèles du filtre de Broadbent et de Treisman?
Celui de Treisman explique pourquoi, en général, le message ignoré est très peu entendu et pourquoi, occasionnellement, certains mots de ce message sont reconnus. « Les effets de contexte ».
Question 7 (page 71)
Comment mesure-t-on la capacité ?
À l’aide de tâches subsidiaires conçue pour mesurer la capacité. (Théories du goulot et théories de la capacité.)
Chapitre 4
Question 1 (page 95)
Qu’est-ce que le nombre magique de Miller ? Pourquoi est-il magique ? Pourquoi l’article écrit par Miller en 1956 est-il célèbre ?
Le nombre magique de Miller est le 7. Il est magique, car c’est le nombre maximum que la MCT peut contenir. L’article de Miller était important parce qu’il a attiré l’attention sur la faible variation de la limite supérieure dans les tâches de jugement absolu et de mesure de l’empan de mémoire. De plus, les regroupements sont des items appris et stockés en groupe dans la MLT. Donc la capacité de la MCT devrait être mesurée en nombre de paquets et non en nombre d’items distincts.
Question 4 (page 92)
Quels sont les facteurs qui ont une influence sur la quantité d’interférences? De quelle façon les résultats à propos de l’interférence proactive et de l’interférence rétroactive pourraient-ils être appliqués à vos propre stratégies d’étude?
L’oubli, la capacité et l’attention. L’organisation du matériel, des sujets susceptibles d’interférer les uns avec les autres devraient être étudier à des moments différents.
Lorsque j’étudie, je devrais privilégier d’être dans un endroit calme et sans distraction. De me concentrer sur un sujet, une matière à la fois. De relire à voix haute mes réponses et pratiquer régulièrement la matière.
Chapitre 5
Question 3 (page 120)
La tâche choisie pour l’étude de la répétition verbale évitait la signification. Pourquoi cela était-il souhaitable ?
Comme une forme d’apprentissage par cœur, le fait de répéter de nouveaux items ou d’explication se ferait au prix de l’élimination d’un autre. La signification aurait nuit à la mémorisation.
Question 8 (page 135)
Avez-vous été surpris par l’un quelconque des résultats de l’application de la théorie de la reconnaissance à l’identification par des témoins ? Selon vous, et sur la base de ces expériences, des changements sont-ils souhaitables dans les procédures de justice pénale ? Expliquez votre réponse.
Oui, j’ai été surpris que les erreurs d’identifications puissent être aussi fréquentes et particulièrement après la présentation des photos de suspects. Comme l’exemple donné par les psychologues dans le manuel, je trouve important que la personne qui conduit la séance d’identification ne devrait pas savoir qui est le suspect pour éviter les indices pouvant amener un témoin à être influencé d’une façon conscience ou non.
Chapitre 6
Question 5 (page 151-170)
Pourquoi l’hypothèse selon laquelle la vitesse de dégradation des différentes traces mnésiques varie est-elle essentielle dans l’approche des TNT?
Car, la force de la TNT réside précisément dans sa tentative de répondre à cette question. Les vitesses de dégradation varient considérablement selon la matière apprise. Et les différences vitesses de dégradation entre la MCT et MLT constitueraient la preuve la plus forte d’une différence à établir entre MCT et MLT.
Le traitement approprié au transfert suggère que les sujets devraient créer des codes de mémoire correspondant à la façon dont ils utiliseront finalement la matière, comme dans le cas d’un questionnaire à choix multiple, de questions ouvertes ou de résolution de problèmes.
Question 6 (page 152 )
Si vous aviez un ami convaincu que la répétition entraîne l’apprentissage, laquelle des études de Craik lui décririez-vous? Pourquoi est-elle si probante?
Je lui décrirais celle de Craik et Watkins (1973) concernant les conséquences pour la répétition verbale et leur expérience ayant pour but de faire varier la durée pendant laquelle un mot devait être maintenu dans la MCT.
Elle est si probante, car la faible différence entre le 12% et le 15 % montre que la répétition n’entraîne pas automatiquement un apprentissage.
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