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Devoir sur la peine de mort

Cours : Devoir sur la peine de mort. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Septembre 2022  •  Cours  •  2 010 Mots (9 Pages)  •  306 Vues

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1)En réalité le peuple est happé dans un monde où il est chaque jour au contact de la guerre, de la peine de la douleur, de la famine ou encore de la mort. La honte est donc un fléau que redoute le peuple. Il est confronté au travail dur et a l’obéissance, certains choisissent de risquer la mise à mort ou la honte plutôt que de devoir assurer un rôle qu’ils refusent donc chacun trouvent le moyen de rester en vie quel qu’en sois les conséquences. Le peuple à l’esprit corrompu et est accoutumés au despotisme. Le supplice de la roue fait régner la terreur avec le pouvoir arbitraire et absolu du gouvernement dans son régime. Celui-ci n’est pas efficace à cause de la mauvaise divulgation des risques encourus. Les délits sont fréquents car le travail est dur et malgré ça toutes ses personnes restent dans la misère.

Les Athéniens décidèrent de couper les poings de chacun des prisonniers de deux galères en guise de punition. Lysandre n’était pas d’accord avec la méthode de dépraver les esprits et de faire des leçons de cruauté en passant par différentes actions visant à réparer des fautes, crimes aux yeux des dieux, des déesses que c’était une honte pour l’ensemble de la Grèce et pris la décision d’égorger les généraux Athéniens. Cependant en essayant de dénoncer certaines formes de justice révoltantes, lui-même abusa de son pouvoir en exécutant ses personnes sans les juger.

2) L’auteur écrit un ouvrage qui s’ouvre sur une réflexion philosophique sur le droit de punir et les fondements de la législation en matière de justice criminelle, il affirme sa position sur l’abolition de la peine capitale avec des raisons humanistes et son inefficacité avec en guise une peine de substitution. La peine de mort n’est en effet pas un droit car il a le droit de se tuer lui-même, ou il ne peut céder ce droit à un autre, ni à la société entière. La peine de mort n'est donc appuyée sur aucun droit. C'est une guerre déclarée à un citoyen par la nation, qui juge la destruction de ce citoyen nécessaire ou utile. On pourrait plutôt parler d’une sanction mise en place en raison d’une lois que le souverain trouve approprier à la situation.

Beccaria propose un modèle rationnel de la loi, s’opposant à l’arbitraire et aux privilèges d’exemption. Une grande partie de ses propositions sont motivées par le désir de limiter le pouvoir arbitraire des autorités judiciaires milanaises de l’époque. Il évoque une méthode psychologique en frappant longtemps et souvent son esprit « le frein le plus puissant pour arrêter les crimes n'est pas le spectacle terrible mais momentané de la mort d'un scélérat, c'est le tourment d'un homme privé de ses libertés, transformé en bête de somme et qui paye par ses fatigues le tort qu'il a fait à la société. » Cette phrase représente bien le fond de résonnement car la penser du tourment est plus efficace en effet étant souvent répété cela devient une manière de supplice pour l’auteur de méfaits. Donc la réflexion est de mise.

3) Un artiste d'abord séduit par l'idéal révolutionnaire, puis qui s'opposa dans de nombreux écrits aux débordements sanglants de la Terreur. André Chénier était favorable à une monarchie constitutionnelle et il se battit pour éviter la mort au roi. Impliqué dans une des fausses conspirations qui permettaient d'exécuter les suspects sans les entendre, il fut condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire. Ce poète fut décapité pour raison politique et sans preuve. Un simple homme ayant pris la parole, essayant de changer les choses.

Actif défenseur des droits de l'Homme Alphonse de Lamartine était contre la peine de mort. Il trouvait intolérable qu'un Homme juge un autre Homme et ait le droit de lui ôter la vie. Dans ce poème il exprime son opinion et se révolte. Il s'adresse au peuple et par des arguments, essaye de lui faire comprendre qu'il faut arrêter ça. Il demande au peuple dans un poème du 19 Octobre 1830 de ne pas laisser sa colère porter atteinte à son jugement et de ne pas agir par vengeance (« La soif de ta vengeance, ils l'appellent justice »)

4) Toute sa vie Victor Hugo a été un farouche abolitionniste. Ce combat contre la peine de mort est d'abord mené par son engagement affectif, il dépeint la cruauté des exécutions capitales auxquelles il a assisté dans son enfance l’ayant traumatisé.

Tout d’abord les détenteurs du pouvoir, avec la peine de mort s’opposent à la possibilité de réhabilitation et de deuxième chance : Le système judiciaire a pour but d'éduquer et de corriger les personnes reconnues coupables de crimes. Or, un homme condamné et exécuté n'a pas l'opportunité de se racheter. Pour résumer un homme ayant déjà nui à la société n’a pas de deuxième chance même si celui-ci est peut-être innocent. Ceux-ci donnent comme excuse la possibilité de l’échappatoire la ‘prison’ car d’après les dirent malgré les barreaux, la fuite peut être possible. Ensuite, la société punis pour se venger uniquement pour soulager des envies ou encore mêmes pour réitérer les habitudes, chaque semaine il y a tant de personnes à faire partir, comme un automatisme. Puis celle-ci met en place des ‘exemples’, des condamnés à mort sur la place pour épouvanter par le ‘spectacle’ le sort des criminels et d’objecter tout envie d’une personne qui serais tenté de contrer les règles et de les imiter.

Ensuite il développe sa thèse visant à démontrer l’inutilité et l’horreur de la peine capital ‘l’injustice de la justice ‘en tentant d’infléchir l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution. Victor Hugo désire un remaniement complet de la pénalité entre autres car la masse des crimes capitaux dans des états modèles ou la peine de mort est abolie baisse. Il souhaitait montrer

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