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Commentaire Philosophique sur un texte: Malaise Dans La Civilisation de Freud Sigmund

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Par   •  26 Octobre 2014  •  1 546 Mots (7 Pages)  •  13 731 Vues

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Intro + Explication de texte

Lorsqu'on s'interroge sur l’agressivité de l’Homme en général, on ne peut pas ne pas se demander quelles en sont les causes. Il y a alors deux solutions : soit les hommes sont violents par nature, soit ils le sont à cause de la vie sociale. Mais peut-on vraiment déterminer l’origine de l’agressivité ? Et pourtant, dans son livre Malaise dans la civilisation, Freud défend l’idée que l’Homme porte en lui une agressivité instinctive, innée et qui influe et tient un rôle important dans notre vie. Mieux comprendre l’agressivité de l’homme permettrait de la mieux la contrôler, l’encadrer et donc de s’y adapter afin qu’elle ne soit pas préjudiciable à l’équilibre de notre société. On ce demande donc comment d’après Freud s’exprime et quel impact à notre agressivité sur notre vie en société. Nous allons donc, en premier lieux, expliquer ce que nous dit Freud sur l’agressivité et pour ce faire nous allons analyser les différentes phases de sa pensée pour ensuite, en second temps discuter la manière dont il expose et défend sa thèse.

Freud entame en contredisant l’idée reçu sur la nature/le caractère de l’Homme et en exposant son point de vue. Il nous dit que L’homme n’est pas « cet être débonnaire », il entend donc que ce dernier n’es pas seulement bonté ou bienveillance, contrairement à l’image que d’après lui nous nous faisons ou que l'on nous présente et contredis l’idée que ce dernier répond aux attaques qui lui sont faites. Freud affirme donc que l’être humain est doté de « données instinctives » dont fait partis l’agressivité ; c’est à dire qu’il est naturellement porté à attaquer , que ce comportement est propre a l’espèce humaine et qu’il est automatique et invariable. Son agressivité fait d'après lui partie de sa personne. Il révèle donc ce caractère primaire qu’est l’agressivité pour appuyer sa contradiction initiale sur la nature de l’Homme.

Ensuite, il explique ses répercussions sur notre perception d’autrui, toujours en commençant par démanteler l’idée reçu (Ainsi il nous dit que nos congénères ne nous sont pas seulement nécessaire que pour combler nos besoin de sociabilité et sexuel mais qu’ils sont aussi des supports sur lesquels nous pouvons et avons parfois le désir de déverser notre agressivité et ce de différentes manière, mais toujours dans le but de leur faire du mal. Il cite alors à titre d'exemple le viol, le vol, l'humiliation, la violence physique et verbal)

Freud cite après la locution latine « Homo homini lupus » qui signifie « L’Homme est un loup pour l’Homme » et qui entend que ce dernier est son propre prédateur et donc que les hommes ce font du mal entre eux. Elle pourrait être considéré comme une abréviation ou un résumé de sa thèse où l’agressivité serais le moyen de causer le mal, d’être « un loup ». En nous disant que les épreuves traversé dans nos vies et au cours du temps ne font que valider ce proverbe latin qui dit que L’homme est le pire ennemi de son semblable et en nous posant la question de comment est il possible de penser autrement, Freud cherche à nous en montrer l’évidence.

Il explique ensuite comment en société et dans la vie en général s’exprime cette agressivité que chacun porte en lui. Il dit que l’Homme à la capacité de contenir son agressivité et ne l’exprime généralement qu’en certaines circonstances bien précise (et néanmoins quand on l'y pousse, le provoque) ou bien pour atteindre des buts alors que son emploie n’était pas. Il ajoute cependant que parfois l’Homme ne parvient plus à ce contenir et manifeste alors spontanément sont agressivité sans aucun égard pour son prochain et explique que cela ce produit quand « nos forces morales » sont mise or d'action. Il suppose donc implicitement l'existence d'une conscience qui « s'opposerais » à ces manifestations d'agressivité, qui la contiendrais et donc que quand elle serais absente ou incapable d'agir, notre agressivité ne pourrais plus être contenu.

Enfin Freud explique l’impact de notre agressivité dans notre comportement en société en nous montrant son importance et sa dangerosité. Pour ce faire Freud nous dit que l’agressivité est la principale cause de nos problèmes relationnel et que c’est elle qui nous impose une retenue les uns envers les autres. En d’autres termes, que c’est à cause d’elle que nous sont nécessaires des règles de savoir vivre et des lois. Il affirme pour finir qu’elle met et en péril la société civilisée, c'est à dire le milieu humain dans lequel

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