Peut-on militer avec son corps ?

Peut-on militer avec son corps ?

Peut-on torturer au nom de l’art ?

1. Le corps de l’artiste : un nouveau langage.

Dans les années 60 – pratiques artistique nouvelle et inédite = l’usage du corps de l’artiste, afin de faire des expériences, fondé sur l’éphémère. Pour attirer le regard, la nudité du corps est utilisée.
Cette fonction est pratiquer dans des lieux inhabituel, des lieux publics, ouvert, la rue.. Le bodyart est une pratique souterraine (underground)

Il pratique également des violences à l’égard de son corps, la souffrance va être associée au discours contre la société, pour se révolter contre.

En 1960 – nous sommes Vienne avec les actionnistes viennois – cela se passent dans les caves de la ville ou les artistes se mutilent, se couvrent d’excrément, et vide le corps d’animaux sur eux. Ils choisissent de troubler la tranquillité publique Autrichienne.

Pourquoi troubler l’ordre public ? Cela se passe à Vienne, car Vienne est une ville symbole. Au lendemain de la 2nd guerre mondiale, c’est le seul pays où il n’y a pas eu de dénazification. Vienne a un lourd passé glorieux, en 1900, Vienne est une des plus grandes capitales d’Europe. Ce lieu est porteur d’une culture mondiale. C’est une ville ou la musique a une place très importante.

KOKESCHKA et AGON SHIENLER sont 2 peintres représentant à la perfection la peau de l’Homme.

ORLANE est une femme qui s’implante des formes, joue avec son corps en se déguisant. Elle film également ses interventions chirurgicales.

2. Le corps au service des arts plastique.

Au début du 20ème siècle, l’art abstrait fait son apparition.

Jackson POLLOCK est un peintre, il ne peint plus en appuyant son pinceau, mais il projette la peinture avec celui-ci. Cette technique s’appelle le « dripping ». La peinture est le témoignage de son corps et de ses actions. Il ne s’agit plus de réflexion mais de pulsion dans le geste du peintre. Fu un temps ou ce nouvel art eu beaucoup été critiqué.

3. Yves KLEIN et ses femmes pinceaux.

Pour sa conception artistique, il utilise le corps nu en guise de pinceaux « vivant »  (anthropométrie) de l’époque bleu (le bleu de klein). Les femmes doivent se frotter le long de la toile.

1912 – marque de l’abstrait et de modernité.

1913 – tableau cubiste

Le rôle du modèle change, puisque c’est le corps qui créer la peinture, il ne pause plus pour le peintre mais il agit directement sur l’œuvre. L’intention artistique d’Yves KLEIN est de rompre avec un art jugé trop figuratif et formaliste, c’est une façon de révolutionner l’acte de peindre.

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