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Cours de philosophie sur le travail

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Par   •  10 Décembre 2022  •  Cours  •  13 945 Mots (56 Pages)  •  276 Vues

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Philosophie 

LE TRAVAILLE, ou la production de soi-même

(il y a peut être un paradoxe*)

avant propos 3 choses :

-les notions travaillées dans ce cours

-la liberté

-le bonheur

-la nature

-la justice

-l’Etat

-l’art

-la conscience

-la technique

Vocabulaire à connaître de par l’élève

*des distinctions conceptuelles (un concetpt : un mot conventionnel qui désigne des réalités, des choses qui ont des points/ des propriétés communes.)

distictions conceptuelles :

-la contrainte pas = à l’obligation. Car la contrainte est une obligation donné de l’exterieur et l’obligation est l’agent qui s’oblige à faire quelque chose.

-le travaille pas = la technique

-la poiésis pas = la praxis (le titre de l’oeuvre doit être souligné)

concepte philosophique :

-aliénation*

-le mode de production capitaliste (capitalisme*)

-le mode de production cummuniste (communisme*)

-ce cours intègrera COURS DE METHODOLOGIE

sur l’explication de texte [pic 1]

1er DM fin septembre

Introduction :

expression philosophique :

-« métro,boulot,dodo »

- « travaillé plus pour gagner plus » M. Sarkosy 2007

- « le travail c’est la santé ; ne rien faire c’est la conservé »

- « un travail de fourmi »

autant d’expression lexicalisées (courante) qui constitue des OPINIONS diverses et contradictoires sur le travail, est pris en étau* entre une routine sociale aliénée* (1) et un bien être matériel (2) tout autant que le travail est représenter comme une prouesse technique dont on pourrai gratifié* l’animal (4)

Problème directeur du cours :[pic 2]

! Face à ce flot de contradiction, intérogeons nous sur la véritable essence* du travail  et en quoi le travail participe-t-il à notre humanite

ce cours porte sur le statue ontologique* des travaux humains à l’encontre des approches ontiques * (superficielles, selon l’apparence) qui se pose à son propos.

Définition du travail :

le travail est ce qui transforme la nature pour satisfaire les besoins de l'être humain. La notion de travail est aujourd'hui intrinsèquement* liée à l'idée de production et de rémunération. Le travail, c'est produire un effort et percevoir une rémunération en échange. 

Problème directeur du cours :

Deux déf’ : Activité de l'homme appliquée à la production, à la création, à l'entretien de quelque chose : Travail manuel, intellectuel. Activité professionnelle régulière et rémunérée : Vivre de son travail.

Première approche du travail : le travail est communément définie comme « une activitée socialement rentable » : production d’un bien ou d’un service, le travail c’est avant tout ce qui appel REMUNERATION économique contemporaine du travail salarié est PARTIELLE (incomplète + fausse) car il existe d’une part historiquement des formes de travaux non rémunérés (esclavagisme…) et d’autre part cette définition  associant abusivemment travail et activité socialement rentable (métier, emplois, profession) laisse pour compte des travaux socialement inutile ou désintéraissait tels que le bénévolat ou cet ouvrier qui après 8h d’usine travail son jardin potager.

Ici nous avons bel et bien du travail mais non comme emplois socialement nécessaire ou la production d’un bien destiné à l’échange ou finalisé par le gain financié. Abandonnons cette def’ et essayons une autre approche de cette def’

essayons une autre approche du travail :

[pic 3][pic 4]

-2eme approche : Approche ANTRHOPOLOGIQUE

                                                                     Logos = raison

Le travail est également définissable comme un effort continue pour mener à son terme un projet. C’est la TRANSFORMATION de quelque chose d’étranger qui suppose un effort sur soit même. EX : le travail de la terre, un travail sur la terre par lequel l’homme rend un champ apte à produire mais un travail âpre sur soi, on a affaire donc a un effort physique, psychologique (volonté et détermination) , et intellectuels douloureux, pénible par lesquels l’homme rend ce champ productif. Attention aux préjugés où le travail renverrai soit à une activité manuel soit à une activité intellectuelle, les deux sont inséparables.

Distinction conceptuelle à faire :

Le travail est opposé au loisir

le loisir : dans le loisir il y a le plaisir, donc une certaine liberté, ce plaisir est pour moi et il est récréatif ou recréatif.

Sujet de dissert philo’ : « pouvons nous assimiler (identifier) le travail et le loisir ? »

le travail : dans le travail il y a une contrainte, la pression,

Le loisir est une activité plaisante en elle même délassante et volontairement entreprise, laissant libre le développement de nos aptitude physique comme intellectuelle et aidant même à les développé ou à les améliorés, le loisir peut être intérompu à notre guise sans qu’il n’y ai de dommage pour la réalisation finale de l’oeuvre que nous faisons, si tenté qu’il faille qu’il y en ai une (une finalité).

Le travail est tous à l’inverse social et vitale est contraignant et il exige une présence continue du travailleur à la tâche, il impose des cadences, des méthodes et des objectifs définis par un tiers et il s’accompagne de tensions psychologiques physiologiques intenses comme l’existence de ces pathologies tout récemments reconnues telles que le burn out et le stress.

Point culturelle : pour appuyer cette distinction conceptuelle, passons par une ref’ grecque des plus intéressantes. En grec (antique) : loisir se dit SCHOLE qui signifie aussi ECOLE, les grecs associé le loisir et l’école car l’école est ce lieu dégagé de toute préocupation materiel et interraissé où on prend soin de son âme c’est à dire qu’on l’éduque (instruit) on l’élève cette esprit. Dans l’antiquité, les barbares, les méthèques (étrangers), les femmes et les esclaves ne sont pas vue comme des hommes. Le travail est lui totalement méprisé, il est indigne de l’homme libre car pris dans la satisfaction des besoins biologiques (on transforme la nature pour rester en vie) c’est proprement l’activité des animaux et de ceux qui ne sont pas des hommes : les esclaves. Ref’ grec : Aristote et Arendt

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