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Le moral des entreprises

Étude de cas : Le moral des entreprises. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  30 Janvier 2019  •  Étude de cas  •  661 Mots (3 Pages)  •  479 Vues

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Économie

Le moral des entreprises

  1. La situation économique est caractérisée par l’état, à un moment précis, pour cela il passe en revus des grandes variables économique et sociales comme la production, épargne, investissement, commerce extérieur et intérieur, valeur de la monnaie, emploie, etc. Pour évaluer toutes ces données, les économistes construisent et observent ce qu’on n’appelle des indicateurs.

C’est indicateur peuvent être sur le court terme, dans ce cas on parle d’analyse économique conjoncturelle, mais peuvent être également sur le long terme et cela se nomme des analyses économiques structurelle.

Plusieurs agents économiques sont donc concernés par c’est analyse, la première sont les ménages, vien ensuite les entreprises, les pouvoir public et les institutions commerciale rentre également en compte.

L’étude de la situation conjoncturelle d’une branche, d’une région ou même d’un pays peut être analysé grâce à des indicateurs fondés sur le taux de croissance du PIB, le taux d’inflation, le taux de chômage, la part de la dette publique, etc.

Les entreprises utilisent en grande partie comme indicateurs, l’évolution du pouvoir d’achat cela a pour but de mesurer la quantité de bien et de services qu’un revenu permet d’acquérir, des prix, l’élasticité de la demande qui permet d’évaluer la hausse ou la baisse d’un prix produit en fonction du nombre mis en vente sur le marché. Mais également sur le court terme comme l’évolution de consommation et de production et bien d’autres.

Il ne faut pas mettre de côté également les indicateurs pour les pays de la zone euros puisque tous les pays sont liés par le traité de Maastricht, ce qui permet une analyse nécessaire aux entreprises dans le secteur de l’export, des banques, etc. De plus la conjoncture nationale est devenue relativement sensible à la conjoncture des autres pays partenaires.

C’est diverses indicatrices, peuvent être fournie par diverses institutions, comme des organisations nationales publiques, L’Insee, la banque de France, mais également des entreprises spécialisées, des organisations public et privée internationales et des banques.

C’est résultat peuvent être fournie tous les mois, tous les trimestres et même tous les semestres, c’est résultat permette aux entreprises d’anticiper de meilleure stratégie en prenant en compte les consommation et épargne des ménages. Elles prennent également leur décision en matière d’embauche et d’investissement en fonction de la conjoncture actuel.

  1. Les déséquilibres économiques affectent l'évolution des prix, des revenus, de l'emploi et des finances publiques. Ces déséquilibres exercent un impact sur les décisions des entreprises qui doivent donc faire des choix, l’amélioration prévue du pouvoir d’achat des ménages, incite les entreprises à augmenter leurs investissements. Ce qui permet aux institutions financières d’accordés de plus gros volume de crédit aux entreprises et aux ménages, et tous les déséquilibres économiques devront être corriger par les pouvoir public et leurs objectifs de politique économique.

L’économie française est en bonne essor et permet donc de donner confiance aux investisseurs et aux entreprises.

  1. Un franc optimisme souffle sur l’économie française en revanche le morale des chef d’entreprise restent mitigé, pourtant les prévisions de croissance de l’Insee révèle de bonnes surprise.

Cette inquiétude est causée en grande partie par l’insuffisance de demande intérieur et le flou de la politique économique gouvernemental. En revanche tout n’est pas noir, puisqu’une étude réalisée par BPI et la direction générale des entreprises montre que 43% des entreprise de taille intermédiaire interrogé, souhaite une hausse de leurs projets d’investissement et de leurs chiffres d’affaire en 2015. De plus, d’après un sondage réalisé en 2017 par l’institut OpinionWay, qui montre que 96% des chef d’entreprise du secteur de la construction et 86% de celui des services sont particulièrement confiants dans l’avenir de leur société.

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