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Initiation à la gestion

Étude de cas : Initiation à la gestion. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Mars 2018  •  Étude de cas  •  2 033 Mots (9 Pages)  •  679 Vues

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FEUILLE D’IDENTITÉ

Travail noté no 1

Série : ADM 1002

NOM : Cisse

PRÉNOM : Fatoumata 

NUMÉRO D’ÉTUDIANT : 16336270

TRIMESTRE : Hiver

ADRESSE : 4575 rue station appt 6 Pierrefonds  Québec  Canada

                

CODE POSTAL : H8Y 1S4

TÉLÉPHONE DOMICILE : 514-969-5628

TRAVAIL : 514-969-5628

CELLULAIRE : 514-969-5628

COURRIEL : cissefatoumata79@yahoo.fr

NOM DE LA PERSONNE TUTRICE : Jean-François Garneau

DATE D’ENVOI : 05-03-2018

Réservé à l’usage de la personne tutrice

DATE DE RÉCEPTION         

DATE DE RETOUR         

NOTE         

Question 1

En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes de division du travail et d’organisation scientifique du travail.

Réponse :

L'entreprise Assurances Sécuriplus est une grande  entreprise d’assurance au Canada hiérarchisée qui comporte plusieurs divisions ce qui explique bien l'organisation scientifique du travail ainsi que les principes de la division du travail. Selon Smith, «la division et la spécialisation du travail permettent d'accroître la production de l'entreprise et permet aux employés d'augmenter leurs habiletés, d'innover et d'améliorer leur poste de travail.»

L’entreprise Assurances Sécuriplus comprenait trois divisions et un service des réclamations/médicaments :

  • la division vie s’occupe des polices d’assurances-vie conventionnelles qui représentaient 50% des revenus de primes de l’entreprise.
  • la division industrielle représentait 20% quant à elle gère l’assurance-accident et l’assurance-invalidité a long terme et des compléments d’assurance-maladie.
  • la division médicale gère des plans d’assurances- médicaments et de soins dentaires qui représentaient 30% des revenus.

 Le  service des réclamations/médicaments étaient composés : « La division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l'administration. »L’organisation était  faite de sorte que chacun des agents s’occupe de sa tâche qui lui est confiée selon  leur spécialité.

Dans  l'entreprise Assurances Sécuriplus, Les tâches journalières sont divisées de façon à rendre le travail plus efficace.

L'entreprise Assurances Sécuriplus se rapproche beaucoup du modèle de l'organisation scientifique du travail de Tylor si on se base la figure 3-4 pages 6 et 7 de l’étude de cas. Elle est organisée de façon à favoriser la production de masse plutôt que le travail traditionnel (travaillé manuellement). Il est facile d'y voir la hiérarchie établie ainsi que la division des tâches qui permettent à l'organisation d'être davantage productive. Chaque employé a un poste spécifique qui est relié à certaines tâches essentielles pour que l'entreprise puisse continuer d'offrir ses services de façon efficace.

Question 2 : En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.

Réponse :

Les principes administratifs de Fayol sont basés sur un modèle  paternaliste propre à son époque. Ils sont au nombre de 14. L’entreprise Assurances Sécuriplus correspond :

  1. La division du travail : ce principe est très bien expliqué et mis en place par Assurances Sécuriplus. Tel qu’illustré à la figure 1, nous pouvons constater que cette compagnie possède plusieurs divisions, séparées par d’autres sous-divisions. Ce qu’il faut comprendre, c’est que chaque employé appartient à une division et se spécialise dans ses tâches et connait très bien ses responsabilités.
  2. L’autorité et la responsabilité : M. Blanchette est autoritaire, mais ne prend pas ses responsabilités de ses dires et des actes dans l’entreprise, comme mentionné : « S’ils prenaient leurs responsabilités à cœur, les choses iraient beaucoup mieux dans le service ». Nous pouvons constater que M. Blanchette émet plusieurs avertissements et menaces à ses employés, mais aucune sanction n’est donnée. Comme le mentionne Fayol, il n’est point d’autorité sans responsabilité, c’est à dire sans une sanction. M. Blanchette ne respecte pas ce principe de Taylor. Comme vu dans l’étude de cas.
  3. La discipline : ce principe est très bien établi. En se basant la figure 2, nous pouvons constater que les membres doivent se plier aux conventions de la compagnie. Les employés sont assidus; prenons comme exemple que les heures sont établies pour l’arrivée et la distribution du courrier et le paiement.
  4. L’unité de commandement : comme Fayol l’explique, chaque personne ne doit dépendre que d’un chef. Lorsque nous analysons la figure 1, il est clair que ce principe est respecté par Assurances Sécuriplus. Chaque division a un directeur. Chaque employé a un chef, ce qui facilite la communication.
  5. L’unité de direction : comme le principe de commandement, ci haut mentionné, est respecté, nous pouvons constater que tous les employés travaillent dans un même but et relèvent d’un seul patron pour une seule division.
  6. La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général : ce principe n’est pas élaboré par M. Blanchette, mais il serait important que les buts de l’entreprise priment sur les intérêts individuels. Mais avec les discussions que M. Blanchette a avec ses employés, tout semble croire que l’entreprise mise sur ses expériences de ses employés.
  7. La rémunération : chez Assurances Sécuriplus, les problèmes reliés aux objectifs et à la productivité ne semblent pas mettre en cause la rémunération, mais il serait intéressant de voir chez les compétiteurs si les salaires sont identiques à Assurances Sécuriplus.
  8. Le degré de centralisation : ce principe n’est pas respecté par le directeur. Il n’y a aucune décentralisation au niveau du service de M. Blanchette, il veut tout contrôler et ne laisse aucune place à l’ouvrier.
  9. La hiérarchie : ce principe est bien installé dans la compagnie (figure 1). Tous les employés savent où ils se trouvent dans l’organisation. Le niveau de hiérarchie est bien établi, donc la transmission de communication et de l’information est bien transmise par l’unité de commandement.
  10. L’ordre : ce principe n’est  pas installé dans la division de M. Blanchette. Ce dernier essai de mettre de l’ordre dans son département, mais pour pouvoir le faire, il faut connaitre les besoins et les ressources sociales de la compagnie.
  11. L’équité : ce principe est appliqué, lorsque M. Blanchette mentionne : « j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivrent des cours, ils ont tous eu 10 heures de formation intensive ». Il est clair que tous les employés ont été traités de façon équitable par la compagnie.
  12. La stabilité du personnel : ce principe est respecté, lorsque M. Blanchette mentionne à un de ses employés : « Marie Line, tu as autant d’expérience que tout le monde ici ». Cette phrase nous laisse sous-entendre que tous les autres employés possèdent au moins 2 ans d’expérience, donc une stabilité est établie dans ce département.
  13. L’initiative : ce principe n’est pas respecté par Assurances Sécuriplus. Il n’y a pas place à l’initiative. Prenons l’exemple de l’employé Le Scelleur : M. Blanchette explique que Le Scelleur est venu le voir pour l’informer que les commis aux réclamations devraient être consultés afin de pouvoir expliquer les erreurs et suggérer des façons d’améliorer les choses. Fayol mentionne que la liberté de proposer fait aussi partie intégrante de l’initiative. M. Blanchette a refusé d’entendre Le Scelleur. Si M. Blanchette avait gardé l’oreille ouverte, il est fort probable que la moyenne des réclamations traitées par les commis augmenterait pour atteindre la moyenne des autres compagnies d’assurances et la qualité du travail augmenterait. Il ne faut pas oublier que les employés sont sur la première ligne et constatent les points forts et les points faibles.
  14. L’union du personnel : ce principe n’est pas respecté. M. Blanchette a envoyé à plusieurs reprises des avis écrits à ses employés : « J’ai perdu le compte du nombre de mémos que j’ai envoyé à tous mes commis pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail ». M. Blanchette mentionne qu’il ne se passe pas une semaine sans qu’il n’ait à écrire à l’un ou à l’autre des commis. Fayol mentionne qu’il faut privilégier les communications verbales plutôt qu’écrites, car elles sont plus adéquate.

Question 3 (5 points) Sur la base des postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif, quelles critiques pouvez-vous adresser à l’entreprise Assurances Sécuriplus ? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif.

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