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Harcèlement au travail

Étude de cas : Harcèlement au travail. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Avril 2019  •  Étude de cas  •  926 Mots (4 Pages)  •  547 Vues

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Lopes Ferreira Tiago

NDRC1PA

Jeudi 28 Février 2019

Culture Général

Synthèse :

   Ce corpus est composé de quatre documents. Leurs points commun le fait qu’ils ont tous comme sujet le « harcèlement au travail », aussi bien physique que moral.
Marie – France Hirigayen a écrit en 1998 l’essai qui s’intitule « 
Harcèlement moral » et qui démontre, comme son nom l’indique, les conséquences du harcèlement moral.
Sophie Des Deserts à quand t’à elle écrit l’article « 
Harcèlement moral, la nouvelle donne » qui parut en Novembre 2002 et où elle d’écrit le harcèlement que Françoise à subit dans le passé.
Le roman « 
Stupeur et tremblement » écrit par Amélie Nothomb raconte l’histoire d’une firme japonaise ou la rigueur est implacable et indiscutable.
Quant au dernier document de ce corpus c’est une illustration représentant un « 
bouc-émissaire » devant son supérieur, de l’illustrateur turc Selçuk.

La question est : Mais comment le harcèlement se manifeste-t-il ?

Dans un premier temps, afin de répondre au mieux à cette question, il faut faire le constat qu’aujourd’hui l’homme est une proie au harcèlement pour que, dans un second temps l’analyse de la manifestation du harcèlement soit précis et pour enfin finir dans un ultime temps avec les conséquences du harcèlement.

  1. Constat = Aujourd’hui l’homme est une proie au harcèlement

   Afin de mieux comprendre ce constat, il faut tout d’abord identifier les harceleurs qui apparaissent dans chacun des documents. Dans l’essai de Marie-France, les harceleurs sont les patrons qu’elle qualifie de grand pervers. En effet, elle les surnomme ainsi car ce sont des supérieurs hiérarchiques qui écrase leurs subordonnés de leurs pouvoirs afin qu’ils se sentent impuissant.
Dans « 
Harcèlement moral, la nouvelle donne », ce qui désigne un harceleur est le fait qu’une personne désir la toute-puissance même si mal est fait.
Amélie Nothomb à quant à elle comparer l’harceleur à un monstre avec un pouvoir destructeur.
Le travail d’illustrateur qu’à effectuer Selçuk arrive à faire ressentir grâce à la prise en vue en plongé le sentiment d’infériorité qu’à le bouc-émissaire face à son patron qui est le harceleur.

   Tous ses harceleurs agissent ainsi pour diverses raisons mais qui restent lier quand même. En effet, dans l’essai, Madame Hirigoyen montre les moyens par laquelle le petit chef essaye de se valoriser afin de valoriser sa fragilité identitaire, ce qui rejoins l’idée présent dans l’article ou là il est question pour les harceleurs d’avoir du pouvoir car ils sont mal dans leurs peaux. Le roman et l’illustration se rejoigne eux dans le sadisme du harcèlement, en effet le « patron » de l’illustration fait apparaitre un sourire malsain qui montre le plaisir qu’il a à faire cela et, les chefs qui sont stipulés dans le roman lâche tout simplement des rire sadique.

  1. Manifestation du harcèlement

  La manifestation du harcèlement ce manifeste de trois façon dans ce corpus de documents. Premièrement il y l’isolement, comme le souligne clairement la Psychiatre Marie-France et la journaliste Sophie dans leurs textes, mais aussi le dessinateur Sulçuk en montrant un personnage seul face à un grand patron intimident.

   Toujours dans les trois mêmes documents il y a aussi la pression du licenciement comme manifestation du harcèlement. Là où il est le plus présent c’est dans l’article ou il est même question de peur de l’ANPE et donc la menace du chômage. Quant à l’illustration, comme dit précédemment, le grand chef lâche une sourire malsain car il lit une lettre devant le petit employé apeurer.

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