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L’entreprise Assurance Sécuriplus

Analyse sectorielle : L’entreprise Assurance Sécuriplus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Mai 2015  •  Analyse sectorielle  •  1 821 Mots (8 Pages)  •  870 Vues

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Question 1

L’entreprise Assurance Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail du faite que, premièrement l’organigramme illustré dans le cas le démontre parfaitement, en second lieu la société dispose de trois départements qui sont :

- La division vie qui vend des polices d’assurance vie de type conventionnelle, ce département représente 50% des revenus de prime de l’entreprise.

- La division industrielle, celle-ci se spécialise dans la vente de police d’assurance-accident, assurance-invalidité ainsi que des compléments d’assurance-maladie pour les organisations désireuses de l’offrir à ces employés. Cette division représentait 20% des revenus de prime.

- La division médicale qui vend des régimes d’assurance médicament. Cette division représentait à elle 30% des revenus de primes de l’entreprise.

Au vue des pourcentages de chaque division, nous apercevons qu’elles ont tous une importance particulière pour les revenus de la société.

Il ne faut pas oublier que chaque division à son propre organigramme tel qu’illustré dans le cas et que celles-ci fonctionnaient comme une entreprise commerciale autonome.

Question 2

Pour savoir en quoi l’entreprise Assurance Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tel que défini par M. Henri Fayol, analysons-les un à un afin de bien les décrire.

- Le premier principe est la division du travail et que chaque travailleur soit spécialisé. Tel que mentionné et expliqué dans la question 1, l’entreprise répond bien à ce principe, car chaque division avait sa propre direction, équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau.

- Le deuxième principe est l’autorité et la responsabilité. M. Blanchette qui est à la direction du service de réclamations/médicaments a donc le droit de donner des ordres et à le pouvoir de les faire exécuter. Il dirige son équipe, rencontre ces employés à son bureau et fait passé des mémos lorsqu’il doit faire passer un message à l’ensemble de ces personnels.

- La discipline est le troisième principe. Les membres doivent se plier aux conventions explicites ou tacites établies dans l’entreprise en matière d’obéissance, d’assiduité, d’activité et de marques de respect. Par contre, il ne faut pas passer outre la précision d’Henri Fayol qui dit que lorsqu’un défaut de discipline se manifeste ou lorsque l’entente en chef et subordonnés laisse à désirer, il ne faut point se borner à en rejeter négligemment la responsabilité sur le mauvais état de la troupe; la plupart du temps, le mal résulte de l’incapacité des chefs. Dans le cas, M. Blanchette dit clairement que tout est de la faute à ces employés tout en affirmant que ces subordonnés semblent totalement incapables de s’acquitter correctement a leurs tâches.

Par la suite, Henri Fayol, propose l’unité de commandement et de direction. Chaque personne ne doit dépendre d’un seul chef. L’entreprise correspond bien à ce principe, car tel que mentionné, les employés du département réclamations/médicaments se réfèrent directement à M. Blanchette qui est le directeur de ce département et M. Blanchette à sa direction directement.

Le sixième principe parle de la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général. Donc, le but d’une entreprise doit primer les intérêts de l’individu. M. Blanchette ne répond pas à ce principe encore une fois, car il manque de respect lorsqu’il parle de ces employés. Par exemple, lorsqu’il parle à Marie-Line, il lui dit sans détour qu’elle travaille mal, qu’elle se « plante » souvent et il demande même à quoi elle pense quand elle fait son travail. Il lui dit que tout le monde a reçu la formation nécessaire et il a comme conclusion que ce sont ces employés qui font mal leur travail. Donc, M. Blanchette ne répond définitivement pas à ce principe qui dit que l’individu passe avant les intérêts de l’entreprise.

Arrivé au septième principe, M. Fayol parle de la rémunération et que celle-ci doit être établi en fonction des efforts que les membres consentent à faire pour l’entreprise. Cette rémunération doit donc être équitable, et l’employeur ainsi que les employés doivent être satisfaits de leur rémunération. Dans le cas, il ne parle malheureusement pas de rémunération. Il est donc impossible d’évaluer s’ils correspondent ou pas à ce principe.

Ensuite, Henri Fayol alloue le principe du degré de centralisation. La centralisation selon lui résulte de lois naturelles telle la centralisation des sensations vers le cerveau dans l’organisme humain; elle n’est pas nécessairement bonne ni mauvaise, il s’agit de trouver la juste mesure. .Le faite d’augmenter l’importance du rôle des subordonnées tient de la décentralisation alors que diminuer l’importance de leur rôle s’apparente à la centralisation. Dans le cas la façon dont M. Blanchette dirige, il semble plutôt y avoir une centralisation.

Le principe suivant est la hiérarchie. Il s’agit d’un mécanisme nécessaire au bon fonctionnement d’une entreprise, en vertu du besoin de transmission de l’information et du principe d’unité de commandement. Dans le cas illustré, les trois divisions et l’organigramme de la division médicale nous démontrent bien qu’il cadre dans ce principe.

Le dixième principe nous parle de l’ordre. Il s’agit de l’ordre matériel où une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, et de l’ordre social où une place pour chaque personne et chaque personne à sa place. L’ordre social est difficile à appliquer en contexte organisationnel tel que l’entreprise Les Assurances Sécuriplus, car pour y arriver il exige une connaissance exacte des besoins des ressources sociales. M. Blanchette malheureusement ne se préoccupe pas du tout des besoins de ces employés en ne les écoutant pas et semble ne pas avoir l’ouverture d’esprit d’en chercher la cause.

Au onzième principe, il s’agit de l’équité. La justice

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