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Adm 1002 Securiplus

Étude de cas : Adm 1002 Securiplus. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  22 Décembre 2016  •  Étude de cas  •  2 124 Mots (9 Pages)  •  1 185 Vues

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Principe de division du travail

Depuis longtemps, la division du travail se veut un modèle de productivité . Selon l’analyse du cas de Sécuriplus, la société se divise en « entités virtuellement indépendantes » (Assurances Sécuriplus, École des HEC) . Chaque division, soit : vie, industrielle et médicale sont gérées indépendamment, et avec chacune, leurs spécialités. La spécialisation du travail est une caractéristique propre du principe de la division du travail.

« Chacune de ces divisions fonctionnait dans un environnement administratif et dans un contexte marketing bien différent, de sorte qu’elles étaient gérées comme des entités virtuellement indépendantes. Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau » (Assurances Sécuriplus, École des HEC)

Copyright@ des HEC - Analyse de cas

De par sa structure et l’organigramme (voir encadré) de la division médicale, l’entreprise reflète le modèle divisionnaire. Plusieurs autres facteurs influencent la productivité.

Selon Babbage, il est possible de réduire la valeur économique du travail en la confiance à des personnes différentes selon la difficulté du travail. L’implantation d’un organigramme clair, tel que celui de Sécuriplus, et ce, par division, permet de répartir les tâches par degré de responsabilités différentes. Dans l’entreprise, les tâches plus « faciles » , par exemple le courrier, sont confiées aux préposés au courrier. Tandis que les taches les plus difficiles, tel que le traitement des réclamations est confié aux commis d’expérience, formés, qui doivent travailler rapidement et sous pression. L’organisation de Sécuriplus correspond au principe de la division du travail.

Principe de l’organisation scientifique du travail

« Le fondateur du mouvement de l’organisation scientifique est Taylor, ingénieur en sidérurgie, qui publie, en 1911, un traité intitulé Principles of Scientific Management. Taylor postule que le principal but de l’administration est la prospérité de l’employeur comme des ouvriers. » [1]

Cinq propositions organisent le travail, selon Taylor, et celles-ci se reflètent chez Sécuriplus :

 La recherche de la meilleure méthode pour réaliser une tâche, à partir de la planification, de l’analyse du temps et des opérations :

Dans le cas de Sécuriplus, le travail de planification et d’analyse de chaque tâche a déjà été effectué. « En général, le temps de transit durait environ trois jours même si le temps de traitement actif n’était que de trois minutes. … Le temps de traitement actif des réclamations complexes était d’environ sept minutes. … Le temps de traitement actif de ces réclamations était d’environ cinq minutes. » [2] Cela démontre que l’organisation a mis un effort considérable à sortir ces calculs.

 Le recrutement d’individus les plus aptes à accomplir une tâche :

Les informations fournies ne nous permettent pas d’établir si les employés ont l’expérience et les compétences nécessaires à l’accomplissement des travaux demandés; cependant, on peut dire que les employés ont reçu de la formation et que M. Blanchette cumule cinq ans d’expérience à la direction du service des réclamations/médicaments. Mais M. Blanchette ne semble pas avoir fait de rétroaction aux employés suite à leurs diverses formations. Ont-ils bien assimilé la matière? Est-ce suffisamment de formation pour accomplir ce travail?

 La formation, le suivi et le contrôle du personnel :

À première vue, selon les mots de M. Blanchette : « Nous avons investi des milliers de dollars en formation interne et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie de données et de traitement de données à l’extérieur, mais on dirait parfois qu’il n’y a rien à faire.» [3] Par contre, de l’autre côté, citons Marie-Line Briens : « Je ne comprends pas toujours le système. » [4] Les mots de Mme Briens semblent parler d’eux même. Est-ce que les employés ont reçu une formation, adéquate? On ne sait pas. Est-ce qu’il y a eu rétroaction suite aux formations? A-t-on demandé l’avis aux employés et effectué le suivi nécessaire afin de savoir si les employés avaient bien saisi les notions apprises?

 La mise en place d’un système de salaires proportionnels au rendement :

Il manque d’information dans le texte pour statuer à ce sujet. Cependant, malgré un salaire suffisant, bien des employés apprécieront la reconnaissance humaine au même niveau, sinon plus que la reconnaissance salariale. Une des faiblesse de l’organisation scientifique est « l’absence de prise en compte des besoins sociaux et l’aliénation et le désintéressement des travailleurs.» [5] Peut-être ce qui pourrait expliquer les erreurs des employés.

 La séparation rigoureuse des tâches ( administration et atelier ) :

Dans le cas de Sécuriplus, il n’y a pas d’atelier, cependant, les tâches sont séparées rigoureusement, selon chaque poste et chaque division.

À la suite à l’analyse, Sécuriplus est donc un modèle de division du travail et de l’organisation scientifique.

Question 2

Principes administratifs définis par Henri Fayol

Afin d’établir une organisation efficace, Fayol a généré 14 principes. Nous essayerons de faire un lien entre ces quelques-uns principes et l’orgasation de Sécuriplus.

 La division du travail :

En réponse à la question 1 du présent travail, nous pouvons constater que Sécuriplus est un modèle de division du travail

 L’autorité et responsabilité :

De par l’organigramme, M.Blanchette est très autoritaire avec ses employés. Il est imputable des responsabilités confiées à ceux-ci, ce qui ne semble pas le cas, il met 100 % de la responsabilité des erreurs sur ces employés.

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