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ADM 1002 TN2, les assurances sécuriplus

Cours : ADM 1002 TN2, les assurances sécuriplus. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  3 Septembre 2017  •  Cours  •  1 581 Mots (7 Pages)  •  1 042 Vues

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Les assurances Sécuriplus

Question 1 (5 points)

En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes de division du travail et d’organisation scientifique du travail.

L’entreprise Assurances Sécuriplus oeuvre dans le domaine d’assurances vies, accidents et invalidités ainsi que d’assurances médicaments et dentaires clairement divisée en 3 divisions distinctes.  Chacune des divisions de l’entreprise sont dirigées par un directeur indépendant en fonction de leur environnement administratif et leur contexte de marketing qui sont bien différents les uns des autres.  Chaque direction comporte son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau.  Tel que démontré, (figure 1, étude de cas), la division médicale est subdivisée en plusieurs départements de façon à rendre les tâches le plus spécifiques que possible et ainsi améliorer la production de ses employés. Les tâches attribuées sont ainsi séparées de façon si précise que chacun connait exactement le travail a effectuer tel que démontré. (figure 2, étude de cas)

La planification du travail étant bien défini par l’établissement d’un échéancier clair par type de réclamations.

D’après M. Blanchette, directeur des réclamations médicaments, une formation intensive a été offerte aux employés lors de l’implantation d’un nouveau système informatique dernier cri qui a été installé l’année dernière.  «Le cours était donné par les représentants du fabricant et ils ont passé en revue tous les aspects importants du système» (cité par M. Blanchette, étude de cas)

Question 2 (5 points)

En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.

Fayol a établi des principes d’organisation pour permettre d’élaborer des structures génétiques afin d’assurer une efficacité maximale, en tenant compte des buts établis par la direction, et de repérer les principales fonctions du processus d’administration.

En considérant les 14 principes généraux de l’administration ayant pour but d’atteindre une efficacité optimale en fonction des objectifs de l’entreprise par la fonction de l’administration POCCC (administrer, organiser, commander, coordonner et contrôler), nous pouvons constater que l’entreprise Sécuriplus correspond en grande partie aux principes administratifs définis par Fayol malgré certaines lacunes.

Tout d’abord, l’entreprise maitrise bien le principe de la division du travail en définissant clairement un cheminement séquentiel spécifique. (figure 2, étude de cas)  La séparation des pouvoirs est d’ailleurs bien établi par la nomination d’un seul directeur par division de spécialité (figure 1, étude de cas), ce qui rejoins, par le fait même, le principe de l’unité de commandement.  Les employés travaillent également ensemble pour un seul programme définissant ainsi le principe de l’unité de direction.

Au niveau des principes de l’autorité, de la responsabilité et de la discipline, on peut constater certaines lacunes.  Dans la déclaration de M. Blanchette (page 10, étude de cas), on peut constater régulièrement qu’il est plus facile pour lui de reprocher le mauvais travail de ses employés que d’encourager leurs bonnes actions.  Néanmoins, M. Blanchette semble être bien en mesure d’exprimer clairement les directives et la marche à suivre au sein de son équipe.  Il a le souci que ses employés soient bien formé en s’assurant que plusieurs formations soient octroyées malgré que le coût défrayé était considérable.

En envoyant une même lettre à tous les commis, M. Blanchette a usé du principe d’équité. Chacun a obtenu le même message sans nécessairement que celui-ci soit dirigé envers une seule personne.  

Le mécanisme de communication entre le superviseur et l’employé est ainsi utilisé en fonction du principe d’hiérarchie.

En ce qui concerne le principe d’initiative, il est clairement absent.  Lorsqu’un commis aux réclamations, M. Le Scelleur, est venu consulter M. Blanchette afin de lui suggérer que les commis aux réclamations devraient, selon lui, être consulté afin de pouvoir expliquer les erreurs et ainsi suggérer des façons d’améliorer les choses, celui-ci a répliqué comme suit : « J’ai dit à M. Le Scelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirerais sur sa chaine mais qu’entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction » (cité par M. Blanchette, étude de cas).  Un gestionnaire habile devrait savoir laisser son personnel prendre des initiatives, dans la mesure oû le respect règne selon les principes d’autorités et de discipline imposées.  Les relations entre M. Blanchette et ses commis aux réclamations seraient grandement moins ardus si les employés sentaient qu’ils faisaient partie intégrante d’une équipe, ce qui rejoins d’ailleurs le principe d’union du personnel qui est absent.  

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