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RAPPORT VOYAGE BIARRITZ SURF

Rapport de stage : RAPPORT VOYAGE BIARRITZ SURF. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Février 2019  •  Rapport de stage  •  1 888 Mots (8 Pages)  •  552 Vues

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        Tout a débuté le lundi matin à huit heures. Nous nous sommes retrouvés, tous les élèves, répartis en trois bus. Les classes une, deux et trois chacune dans un des trois bus respectifs. Etant en GT4, j’ai eu la chance de choisir mon bus. J’ai donc choisi, par affinité, le car numéro deux.

En entrant dans le bus, je fus ravi de reconnaitre beaucoup de têtes. Nous étions nombreux de la seconde GT4 à y être présent. Je fus d’autant plus réjoui en apprenant que monsieur CONCHEZ et monsieur ANGLES faisaient partie des professeurs encadrant notre équipe. Le trajet suffit pour nous familiariser avec tous les membres de notre équipe et nos liens d’amitié furent renforcés en arrivant car nous commencions par une pause. Nous avons pu nous comparer en natation dans la piscine du centre, mais aussi en rugby et en football. Même si personne n’excellait dans aucun domaine, des groupes se formèrent et des compétitions comiques rythmèrent toute la soirée. L’annonce du repas suffit amplement à calmer tout le monde puis, chacun s’en retourna dans sa chambre et, après une mise en place fastidieuse, je m’endormis enfin et je rêvais d’être devenu surfer.

Le lendemain, le réveil fut difficile mais l’envie et l’excitation de notre premier jour de surf nous donnait la force de déplacer les montagnes. Après un petit déjeuner vraiment petit, le moment tant attendu arriva. Nous prîmes le bus vers la plage. Nous étions tout excités : enfiler son maillot sans cabine n’était un moment très amusant mais, la fraicheur des combinaisons encore humides de la veille nous calma instantanément. Malgré tout, on trouva le courage de les enfiler entièrement. Puis, au lieu d’attendre sagement les consignes, nous nous sommes mis à courir vers l’eau comme des enfants n’ayant encore jamais vu l’Océan. Après avoir été gentiment réprimandé, nous avons été répartis en différents groupes. Contrairement à nous, notre moniteur était le stéréotype parfait du surfer : jeune beau, blond, viril. Après de rapides présentations, nous avons tout d’abord, appris à porter notre planche car la taille du surf rendait la tâche difficile. Puis, toujours sur la plage, il nous a enseigné la position idéale d’un surfer. Après cela, nous avons eu une petite leçon de vocabulaire sur les pièces de notre planche. Jamais je n’ai été aussi attentif à une leçon. J’ai appris, par exemple que le cordon qui nous reliait au surf se nomme « leash » en anglais ce qui signifie « laisse » en français. Ensuite, le moment le plus attendu survint, après la théorie nous commencions la pratique.

Au bout de quelque minutes, après avoir bu la tasse quelques fois, nous nous sommes rendu compte que même avec nos combinaisons, nous étions loin d’être des surfeurs. Les vagues, qui de la plage semblaient petites, devenaient tout à coup bien plus grosses. C’était horrible : on passait plus de temps sous la planche que sur la planche. Au bout de vingt minutes de pure souffrance, nous commencions à appliquer les leçons apprises sur la plage. Tout de suite, tout allait mieux. On allait à trente mètres de la plage et, lorsqu’une vague arrivait, on se couchait sur la planche, nos pieds devaient atteindre le bas du surf et on accélérait le mouvement des bras. Jusque-là, c’était facile, mais dès que la vague soulevait nos pieds, on était sensé se mettre debout. On devait mettre nos mains à plat sur la planche, au niveau de la poitrine, et se relever d’un coup, mettre nos pieds perpendiculaires à la planche et regarder loin devant. J’avais l’impression de bien me débrouiller, mais sur la plage, c’était bien plus simple. Je n’étais pas le meilleur c’était sûr mais c’était moins dur que je ne l’imaginais. J’ai même réussi à me mettre debout sur la planche et à prendre de grandes vagues avant la fin du cours. J’étais très heureux, même si les vagues étaient ridicules comparées aux vagues normales que prennent les surfeurs. J’étais fier de moi. Lors du retour, j’ai même pu me vanter de mes exploits auprès de mes amis qui tout d’un coup, s’empressaient d’affirmer qu’ils avaient fait de même. Le soir, bien que fatigués, nous avons dû nous battre pour aller à la douche car nous étions remplis de sable et n’avions qu’une douche pour six. Ensuite, à vingt-trois heures, il fallut dormir mais vu que nous étions très fatigués, ce ne fut pas un problème.

Le lendemain, le réveil fut encore plus difficile que la veille, la fatigue commençait déjà à s’accumuler. N’ayant pas voulu nous séparer nous avions choisi une chambre de six, nous commencions déjà à regretter notre choix. La chambre était dans un désordre impressionnant, pire qu’à l’internat : on était obligé de se déplacer en sautant. Comme la veille, le petit déjeuner était à sept heure trente et le départ à huit heures. Mais aujourd’hui nous commencions par monter la Rhune. Le trajet en bus était plus calme que la veille même si certaines personnes se retrouvant toute seule ne cessaient de raller. Cependant, le gros point négatif des trajets était la musique. En effet, comme lors de tout voyages scolaires, les élèves du fond du bus s’occupent de la musique mais, leur répertoire semblait limité à trois musiques différentes. Même les professeurs étaient déçus. L’après-midi, arrivé sur place, .

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